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Immigration - Page 50

  • Une nouvelle régularisation massive au cas par cas

    C'est aux Mureaux. Depuis le début du mois, quelque 400 clandestins occupent la maison de quartier Gérard Philippe.

    Une douzaine de clandestins sont d'ores et déjà régularisés par la préfecture des Yvelines. Selon Le Parisien, « tous les acteurs, sous-préfecture comprise, s'accordent à dire que ce mouvement, contrairement à d'autres, a été exemplaire. »
    Car il est « exemplaire » d'occuper un bâtiment municipal...

    Mais, comme dit leur porte-parole Moussa Diallo : « Nous sommes heureux d'avoir montré que, dans ces quartiers réputés sensibles, nous n'avons pas été l'étincelle qui met le feu aux poudres. »

    Double raison de régulariser ces bons clandestins acteurs de la paix civile...

    (d'après Le Parisien Yvelines, via Novopress)

  • Les méthodes de RESF

    Le préfet des Hauts-de-Seine Patrick Strzoda proteste contre le harcèlement dont il est victime, par courriel, de la part des militants de RESF.

    Ceux-ci, comme à leur habitude, ont envoyé au préfet une multitude de courriels pour lui demander d'annuler l'arrêté de reconduite à la frontière d'un clandestin chinois.

    Au point que cela a bloqué son système. Le préfet, qui dit qu'il «n'a rien contre RESF, et qu'il est prêt au dialogue », a fait savoir que des «dysfonctionnements» ont « interrompu » son réseau, l'«empêchant d'accéder au dossier de l'intéressé» et que «tant que ses collaborateurs et lui feront l'objet de harcèlements bureautiques, il refusera systématiquement et par principe de réexaminer un dossier d'éloignement».

    (d'après Le Parisien, via François Desouche)

  • Avortement « norvégien »

    La plupart des fœtus norvégiens avortés en Suède sont des filles, déclare Sissel Rogne, directrice de l'organisation médicale étatique norvégienne Bioteknologinemnda.

    Pourquoi des Norvégiennes vont-elles en Suède pour se faire avorter quand elles attendent une fille, et restent-elles en Norvège pour l'avortement d'un garçon ?

    La réponse de Bioteknologinemnda est simple : ces « Norvégiennes » qui avortent en Suède sont « des immigrées ». C'est-à-dire des musulmanes. Une sage-femme déclare que ces patientes sont surtout d'origine pakistanaise, et qu'elle entend souvent leurs parents masculins - mari, oncle, frère - déclarer ouvertement qu'ils ne veulent que d'un garçon.

    L'avortement peut être pratiqué jusqu'à la 12e semaine en Norvège, et le sexe du foetus n'est révélé aux parents qu'au terme de ces douze semaines. Il est permis jusqu'à la 18e semaine en Suède. Une fois qu'on sait que c'est une fille, il suffit de traverser la frontière pour s'en débarrasser.

    (Bivouac-id)

  • Exemple tchèque

    Un premier groupe de 16 travailleurs étrangers qui ont perdu leur travail en République tchèque à la suite de la crise économique a quitté hier le territoire, en profitant d'une aide financière de l'Etat.

    Pour faciliter le rapatriement des étrangers licenciés, le gouvernement leur propose une somme de 500 euros et un billet d'avion gratuit pour rentrer chez eux.

    Le ministère de l'Intérieur a reçu 2.000 demandes pour bénéficier de cette aide dans les trois premiers jours du programme.

    Le gouvernement explique qu'il veut éviter le travail clandestin ainsi que le risque de délinquance et de crime organisé.

  • Le Dal occupe un immeuble de La Poste

    Le Dal a investi samedi après-midi un immeuble d'habitation inoccupé de La Poste dans le centre-ville de Saint-Denis pour y loger une dizaine de familles.

    Associations, partis politiques (PCF et NPA) et personnalités ont apporté leur soutien à cette action, parmi lesquelles le député Patrick Braouezec (PCF), le maire de Saint-Denis Didier Paillard (PCF) et l'ancien leader trotskyste Alain Krivine (NPA).

    "On travaille, on paye des impôts, on est Français et malgré tout on ne trouve pas où se loger", a expliqué Lisette Mulamba, l'une des occupantes de l'immeuble, qui vit avec sa famille dans un hôtel depuis cinq ans. "On a le sentiment de n'avoir aucun avenir, d'être bloqué dans cette situation de précarité", a ajouté Abdul Karim Fofana, qui vit en foyer de jeunes depuis deux ans.

    (AFP)

  • Discrimination positive

    Le chef du Dal Jean-Baptiste Eyraud a annoncé hier soir à l'AFP que le dossier des “mal-logés” africains de la rue de la Banque (qui se relaient sur le trottoir depuis le 14 décembre) vient de connaître une "avancée significative" après une rencontre avec les services de la ministre du Logement Christine Boutin.

    Un avenant à l'accord de relogement conclu le 14 décembre 2007 sur le relogement de familles pourrait être signé le 24 février, a-t-il précisé. Un "accord de principe" pour signer cet avenant a été trouvé pour permettre leur relogement dans une échéance de 12 mois.

    Depuis le premier acte de ce mouvement du Dal entre octobre et décembre 2007, une partie des 374 familles “de la rue de la Banque” ont été relogées, mais 215 d'entre elles ne le sont toujours pas.

    Le Dal doit remettre dans les tout prochains jours une liste de ces familles concernées, liste à laquelle doivent s'ajouter de nouvelles familles qui ont fait l'objet d'un avis favorable dans le cadre de la loi Dalo (droit au logement opposable)…

  • 22 clandestins régularisés au Bourget

    Une autorisation provisoire de séjour a été accordée à 22 sans-papiers en grève depuis juin dans l'entreprise de nettoyage du bâtiment Alfa Services au Bourget (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris mardi auprès de la préfecture.

    Au total, 30 sans-papiers s'étaient mis en grève le 16 juin pour réclamer leur régularisation et des conditions de travail conformes au droit, dans le cadre du mouvement enclenché en avril en région parisienne.

    Le ministère de l'Immigration a donné mardi "son accord pour attribuer des autorisations de séjours de trois mois aux 22 salariés d'Alfa services", a précisé la préfecture.

    Dans un communiqué, la CGT 93 s'est félicitée de cette "première victoire", mais elle souhaite "que tous les soutiens restent mobilisés afin d'obtenir une solution pour les huit salariés toujours en attente de la régularisation de leur situation administrative".

    De son côté, le député Daniel Goldberg (PS), aux côtés des salariés d'Alfa Services depuis juin, a qualifié dans un communiqué ce conflit "d'exemplaire", rappelant la "solidarité" et le "courage" dont les salariés "ont su faire preuve pendant huit mois".

    Le nouveau préfet de Seine-Saint-Denis, Nacer Meddah, avait rencontré la CGT le 2 février afin d'évoquer ce dossier.

    (AFP)

  • Les clandestins des Mureaux

    Une centaine de clandestins occupent depuis vendredi la maison de quartier Gérard-Philipe, aux Mureaux (Yvelines). Ils sont en tout près de 400, qui se relaient.

    La plupart sont « originaires d'Afrique subsaharienne », beaucoup sont des noirs de Mauritanie, qui fuient leur pays dominé par les Arabes…

    Ils sont soutenus par le « Collectif étrangers-français en Yvelines », qui a déposé une liste de 391 noms hier à la préfecture.

    "Nous allons étudier tous ces cas individuellement mais cela va prendre du temps car ils sont très différents les uns des autres", a indiqué à l’AFP une employée de la préfecture.

    C’est tout le problème de la régularisation « au cas par cas ». C’est beaucoup plus long que la régularisation massive, pour un résultat identique.

  • Les immigrés d’abord

    Le tribunal administratif de Paris a enjoint hier à l'Etat de reloger seize familles au titre du droit au logement opposable (Dalo). 15 dans un délai de deux mois. La 16e immédiatement : il s’agit de la célèbre Namizata Fofana, première bénéficiaire de la loi Dalo, à qui un logement a été proposé le 20 janvier…

    Le 28 janvier, le TA de Paris avait examiné 19 premiers recours déposés dans la capitale par des familles qui avaient été reconnues prioritaires dans l'attribution d'un logement par la commission de médiation. Il s’agissait de familles africaines choisies par le Dal pour monter cette opération.

    Trois des 19 recours ont été retirés lors de l'audience au motif que les familles en question s'étaient déjà vu proposer un relogement par le préfet de Paris…

  • Mohamed inquiète le directeur de la police belge

    Propos de Glenn Audenaert, directeur de la police judiciaire fédérale belge :

    “Les études montrent que Bruxelles est l’une des villes les plus mondialisées au monde, que pour sept jeunes sur dix en obligation scolaire, leur langue maternelle n’est ni le néerlandais ni le français et que la population bruxelloise, dont 30% sont des citoyens d’origine non européenne, a augmenté en 2008 de 20.000 personnes, soit la population d’une petite ville.”

    “La situation politique internationale en général et les questions autour du Moyen-Orient ont une influence évidente sur la radicalisation de la communauté musulmane de notre pays.”

    “Je suis donc très préoccupé par l’intégration des jeunes dans la capitale.”

    Depuis plus de vingt ans, le prénom le plus donné aux enfants à Bruxelles est Mohamed.

    (via Bivouac ID)