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Immigration - Page 51

  • La dictature

    Michèle Tribalat, directrice de recherche à l’Institut National d’Etudes Démographiques (INED) :

    Les sciences sociales sont en France terriblement propices au politiquement correct. Mais la sphère politique est très largement touchée elle aussi, ce qui ne fait qu’encourager les sciences sociales à poursuivre dans cette voie. Sur la question de l’immigration, c’est encore plus marqué. Il faut prendre parti absolument. Si vos travaux n’entrent pas dans le champ de la polarisation idéologique, ils sont jugés sans intérêt. Aucun écho. S’ils y entrent et qu’ils ne donnent pas les gages suffisants à la défense de l’immigration, des immigrés, de la diversité etc., ils sont dénigrés, balayés ou tout simplement ignorés. C’est un fonctionnement soviétique où l’on ne risque, il est vrai, que sa réputation. Les dégâts en termes de connaissance sont terribles.

    (lu chez François Desouche)

  • L’objectif de la loi SRU

    Lu sur altermedia

    Dès l’ouverture du débat sur le logement à l'Assemblée, le gouvernement renonce officiellement à modifier les règles de calcul de logements sociaux dans les villes qui en vertu de la Loi SRU doivent atteindre 20%.

    La loi SRU ne concerne en effet que les logements loués. Or, beaucoup d’élus souhaitaient, à juste titre, ajouter aux décomptes du parc social, les logements sociaux en accession à la propriété.

    La gauche, résolument contre, a fait le forcing et cette modification logique est enterrée.

    On peut se demander pourquoi exclure ainsi les logements sociaux en accession à la propriété qui permettent également d’assurer la mixité sociale répondant ainsi à l’ objectif affiché de la Loi SRU.

    Tout simplement parce que l’objet de Loi SRU n’est pas la mixité sociale mais l’étalement de l’immigration dans tous les quartiers. Dès lors que l’accession à la propriété sociale concerne particulièrement les couches populaires franciennes, ces logements ne doivent pas être pris en compte.

  • L’islam réel à Rosengaard

    A Rosengaard, quartier « sensible » de Malmö (Suède), où des émeutes avaient éclaté en décembre après la fermeture (par son propriétaire) d’un « centre culturel » musulman, les islamistes contrôlent le comportement des familles et fixent les règles de la vie sociale, constate un rapport remis au gouvernement.

    Les femmes qui ne portaient pas le voile dans leur pays d'origine sont contraintes de le revêtir, les jeunes filles sont mariées à l’étranger, "des familles qui viennent de s'installer et qui n'ont jamais été particulièrement religieuses ou traditionnelles admettent qu'elles vivaient plus librement dans leur pays d'origine".

    « C’est complètement inacceptable », dit le ministre de l’Intégration…

    (Ne disons pas : pauvres Suédois. Il en est ainsi de plus en plus dans certains quartiers de villes françaises.)

  • Les Turcs en Allemagne : « pour toujours étrangers »

    Lu chez François Desouche, d’après un article du Monde

    Selon une étude publiée lundi 26 janvier par l’Institut berlinois pour la population et le développement, la communauté turque - 2,8 millions de personnes, dont un million de naturalisés allemands - souffre d’un taux exceptionnellement élevé de chômage et d’échec scolaire, comparé à l’ensemble des immigrés vivant outre-Rhin: 30 % des jeunes d’origine turque quittent l’école sans le moindre diplôme, seuls 14 % obtiennent le baccalauréat.

    Des chiffres “dramatiques”, a reconnu la secrétaire d’Etat chargée de l’intégration, Maria Böhmer.

    “Pour toujours étrangers”, titrait, polémique, l’hebdomadaire Der Spiegel du 26 janvier.

    “L’Allemagne a trop longtemps pensé que ces immigrés, venus comme “travailleurs invités” dans les années 1950, retourneraient un jour chez eux. On en paie aujourd’hui les résultats“, regrette Franziska Woellert, l’une des auteurs de ce rapport.

  • Eric Besson est bien sarkozyste…

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    On ne doute pas une seconde que les images de M. Besson, ministre de l’Immigration, jouant au football avec des immigrés clandestins, ne fassent le tour du monde.

    De telles images sont une pompe aspirante bien plus efficace que les lois les plus laxistes.

    Quand M. Besson dit en même temps qu’il veut rendre « étanche » la zone du Calaisis où se regroupent les immigrants illégaux, il se moque du monde. C’est de la politique de Gribouille.

    Mais cela confirme en effet que M. Besson est devenu sarkozyste…

  • Revoilà les tentes du Dal

    Le Dal a installé une vingtaine de tentes hier après-midi sur le trottoir de la rue de la Banque « pour signifier que le combat des mal-logés continue ». Car les tentes ont « l'avantage de rendre plus visible » le mouvement, souligne Jean-Baptiste Ayraud.

    La rue de la Banque est barrée par une large banderole réclamant l'"Application de la loi Dalo et la réquisition" de logements.

    Une cinquantaine de personnes sont dans la rue et dansent sur de la musique africaine, s'interrompant de temps à autre pour scander ensemble "un toit c'est un droit, un toit c'est la loi", écrivait l’AFP.

    Dans la soirée, Jean-Baptiste Ayraud a annoncé que le Dal avait cette semaine un rendez-vous au ministère du Logement.

  • Les cours « d’éthique et de culture religieuse » au Québec

    Depuis la mise en place dans les écoles québécoises, à la rentrée, d'un cours d'Etat obligatoire d'« éthique et de culture religieuse » dans les écoles privées comme dans les écoles publiques, certains parents ont décidé de boycotter le cours. Soutenus par le cardinal Ouellet, ils dénoncent la dictature du relativisme et réclament le droit de choisir pour leurs enfants scolarisés « un enseignement moral ou religieux en accord avec leurs croyances et leurs convictions ».

    Pour en savoir plus, lire l’article de Marine Soreau sur Zenit.

  • La soupe subventionnée

    Lu chez François Desouche :

    “Une Chorba pour tous” est une association qui distribue gratuitement de la chorba (soupe traditionnelle d’Afrique du nord) lors du mois du ramadan. Elle dresse tous les ans depuis 1992 un chapiteau dans le 19ème arrondissement de Paris.

    L’association a bénéficié en 2006 d’une subvention de la Mairie de Paris, d’une subvention du Fond Social Européen de 23.000 euros ayant permis de lancer des ateliers d’insertion, une aide de Western Union de 20.000 euros ayant permis le paiement en totalité de la location du chapiteau, une aide de 5.000 euros de Aéroports De Paris, le financement d’un poste FONGEP par le Ministère de la Jeunesse et des sports. La mairie du 19ème, la mairie de Paris et l’O.P.A.C ont mis à la disposition de l’association un terrain situé au 29, rue Riquet.

    Une Chorba Pour Tous est une association loi 1901, les dons donnent droit à une réduction d’impôt à hauteur de 60%.

    On pourra comparer le traitement réservé à “Chorba pour tous” avec celui de l’association Solidarité des Français : interdictions, condamnation médiatique unanime, et, bien entendu, pas un centime de subventions.

  • Zéro, puis 7, puis 26, puis 36…

    La préfecture des Hauts-de-Seine annonce qu'elle procédera à 26 régularisations parmi les 58 clandestins africains qui avaient occupé durant 7 mois les locaux paroissiaux de l'église Saint-Paul de Nanterre, puis avaient passé un mois sous des tentes sur la pelouse ; 22 dossiers sont refusés, et 10, « nécessitant un examen plus approfondi, vont bénéficier d'une autorisation provisoire de séjour de trois mois en attendant qu'il soit statué définitivement sur leur cas ».

    Les 22 refus sont assortis d'une « obligation de quitter le territoire français »…

    Ces « oubliés de Saint-Paul » avaient reçu le 23 décembre dernier le soutien d’Olivier Besancenot, de Josiane Balasko et d'élus de gauche venus à l'église Saint-Paul de Nanterre. Quelques jours plus tard, on les avait relogés dans des hôtels.

    Fin octobre, la préfecture avait annoncé que seuls 7 des 58 dossiers étaient susceptibles d'être réexaminés.

  • Les pérégrinations du Dal

    Le Dal a réinstallé des familles de « mal-logés », hier, rue de la Banque à Paris.

    Il s’agit des familles africaines qui étaient à la Halle Carpentier de la Porte d'Ivry depuis le 4 janvier, après avoir quitté le gymnase Saint-Merri, où elles s’étaient installées le 27 décembre.

    Du moins une partie d’entre elles. Car il y avait 200 familles Porte d’Ivry, et il n’y avait qu’une centaine de personnes, hier, à scander « On n'est pas fatigué, la lutte continue », « on va gagner ».

    Selon Jean-Baptiste Eyraud, une soixantaine d’entre elles ont reçu un avis favorable au titre du Droit au logement opposable (Dalo) et doivent être relogées par le préfet…

    Et il a déclaré à propos de celles qu’il remet dans la rue : « Les familles ont estimé (sic) qu'elles étaient plus visibles dans la rue et que c'était plus efficace pour elles d'être dans la rue de la Banque, malgré le froid. »