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Immigration - Page 28

  • Les pauvres réfugiés jihadistes

    Deux meneurs des affrontements entre « réfugiés » et forces de l’ordre hongroises à la frontière entre la Hongrie et la Serbie ont été identifiés comme des terroristes, dit Valeurs actuelles. Un autre migrant a envoyé à la police des photos de l’un des deux. On le voit en Syrie brandissant une kalachnikov ou prenant un moment de repos au milieu d’un groupe de jihadistes. Il a été arrêté en possession de sept passeports, tous munis de visas Schengen. La police hongroise a découvert qu’il possède une maison à Chypre, un bateau, cinq voitures, et qu’il vient d’investir 90.000 euros dans la construction d’une nouvelle demeure…

    Viktor Orban a confirmé que la police avait arrêté plusieurs terroristes.

  • Propos polonais

    « Dommage que Kaczynski ne soit plus là », dit un commentaire de ma note précédente. Mais il y a toujours Jaroslaw Kaczynski, qui est toujours président du PiS, et député. Et le 16 septembre, lors d’un débat à la Diète, il a dit notamment :

    « Il y a un risque sérieux que le processus suivant ait commencé : D’abord le nombre d’étrangers s’accroît de façon drastique, puis ils… déclarent qu’ils n’observeront pas nos lois, nos coutumes. Si quelqu’un dit que ce n’est pas vrai, qu’il regarde ce qui se passe en Europe, qu’il regarde la Suède, où il y a 54 districts où la charia est devenue obligatoire... La Grèce a intercepté des « réfugiés » qui cachaient des armes. Tout montre qu’ils venaient de l’Etat islamique… Est-ce que le gouvernement a le droit, en agissant sous une pression extérieure,  sans l’accord de la nation, de prendre des décisions qui, selon toute probabilité, auront un effet négatif sur notre vie quotidienne et, finalement, sur notre sécurité ? »

    Quant à Lech Walesa, il a radicalement changé d’avis. Lui qui était prêt à accueillir tout le monde, et même à aménager une chambre chez lui, a déclaré au Jerusalem Post :

    « Je comprends pourquoi la Pologne et l’Europe craignent cette arrivée en masse. Ils arrivent de lieux où les gens sont décapités. Nous avons peur que la même chose nous arrive.

    Nous, en Pologne, nous avons de petits appartements, de bas salaires et de maigres retraites. Regardant les réfugiés à la télévision, j’ai remarqué qu’ils ont l’air mieux que nous. Ils sont bien nourris, bien habillés, et peut-être même plus riches que nous.

    Je les comprends. Nous aussi, les Polonais, nous avons été des migrants et des réfugiés sous le communisme. Mais partout où nous allions, nous respections la culture et les lois locales. Ces immigrants sont différents. Même à la deuxième et à la troisième génération – regardez la France, par exemple – qui ont reçu une bonne éducation et se font de l’argent, ils se retournent contre les pays qui les ont accueillis.

    Le régime communiste m’a proposé de quitter la Pologne et de devenir un réfugié. J’ai refusé. Je suis resté pour me battre pour ce en quoi je croyais. C’est vrai qu’une partie des nouveaux réfugiés et immigrants s’en vont parce qu’ils craignent pour leur vie. Mais beaucoup aussi émigrent pour accroître leur niveau de vie et leur qualité de vie.

    C’est un problème. Si l’Europe ouvre ses portes, bientôt des millions vont passer, et en vivant parmi nous ils vont commencer à mettre en pratique leurs coutumes, dont la décapitation. »

    Jaroslaw Kaczynski propose qu’on les aide « d’une façon sûre, financièrement ». Lech Walesa précise que les Européens, « surtout les nations riches, comme l’Allemagne », doivent les aider financièrement « à créer des emplois, par exemple, dans leurs pays d’origine ».

  • UE : la dictature, plus l’hypocrisie

    Officiellement les ministres de l’Intérieur, hier, n’ont pas ratifié un plan imposant des quotas contraignants de « réfugiés » aux pays de l’Union européenne. Car dans le texte il n’y a pas le mot « quotas », ni le mot « contraignant ». Officiellement il s’agit d’un plan de répartition élaboré sur la base du volontariat.

    Par exemple, la République tchèque est volontaire pour accueillir un premier paquet de 1.591 clandestins migrants réfugiés. Mais la République tchèque a voté contre ce plan…

    Le texte est donc un mensonge. Un mensonge de la dictature de l’UE au service de l’invasion islamique.

    Quatre pays prouvent le mensonge : avec la République tchèque, la Slovaquie, la Hongrie, la Roumanie. Plus la Finlande qui s’est abstenue.

    Le gouvernement polonais, pour une raison encore occulte, a fait volte face et a signé le plan.

    Beata Szydlo, qui sera sans doute, sans aucun doute désormais, Premier ministre de Pologne après les élections du mois prochain : « La décision prise hier par les ministres de l'Intérieur de l'UE est un scandale. Elle a été prise aux dépens de la sécurité et sans l'accord des Polonais. Le plus scandaleux, c'est le fait que le gouvernement ait trompé les pays du Groupe de Visegrad. Encore lundi, on déclarait que la Pologne défendrait le principe de l'accueil volontaire. Hier ce principe a été violé. »

    Le Premier ministre slovaque Robert Fico : « Tant que je serai Premier ministre, les quotas contraignants ne seront pas appliqués sur le territoire slovaque. Je préfère plutôt transgresser les règles européennes que d'accepter ce diktat… Nous déposerons plainte à la Cour à Luxembourg. »

    Le président tchèque, Milos Zeman : « L'avenir montrera à quel point ceci a été une erreur. »

    Jan Zahadril, député tchèque, ancien président du groupe ECR : « Ce vote aura des conséquences fatales sur la confiance en l’UE en République tchèque. Ce n’est pas seulement un vote, cela bouleverse fondamentalement la façon dont l’UE opère. »

    On rappellera que le Royaume-Uni, l’Irlande et le Danemark se sont exemptés des politiques liées à ces questions et n’ont donc pas participé au vote... ni au partage des clandestins migrants réfugiés.

    D’autre part, le soi-disant accord ne porte que sur 66.000 clandestins migrants réfugiés (ci dessous la répartition), et non sur 120.000 comme on nous le dit. De toute façon ces chiffres sont dérisoires par rapport au tsunami, et en outre cela ne sert à rien puisque les clandestins migrants réfugiés ont assez montré qu’ils allaient où ils voulaient… Le seul effet de la décision européenne est de montrer aux pays qui ont encore le sens national que l’UE est leur adversaire. Au fond ce n’est pas une mauvaise chose.

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  • L’UE et les “réfugiés”

    Les ministres de l’Intérieur des 28 sont de nouveau réunis à Bruxelles aujourd’hui pour trouver une solution sur la répartition des clandestins migrants réfugiés. La menace d’un vote à la majorité qualifiée plane, mais celle d’une sanction financière contre les récalcitrants a été abandonnée.

    Hier les ministres du groupe de Visegrad (Pologne, Hongrie, République tchèque, Slovaquie) étaient réunis à Prague. Ils ont réitéré mot pour mot leur déclaration du 4 septembre : « Toute proposition conduisant à l’introduction de quotas contraignants et permanents pour des mesures de solidarité serait inacceptable. »

    Le gouvernement tchèque a fait savoir à Bruxelles que selon lui des quotas contraignants seraient illégaux et qu’il saisirait la Cour européenne de Justice s’ils devaient être imposés.

    Selon un nouveau sondage, 56% des Polonais sont hostiles à l’accueil de clandestins migrants réfugiés, et 38% favorables. En trois semaines, 13% sont passés du camp des favorables au camp des hostiles…

    Addendum

    Selon Jean-Claude Juncker, par twitter, la décision de répartition de 120.000 personnes a été adoptée « à une large majorité des Etats membres ».

    Selon Milan Chovanec, le ministre tchèque de l’Intérieur, la République tchèque, la Slovaquie, la Hongrie, et la Roumanie ont voté contre. La Finlande s’est abstenue.

    Et le gouvernement libéral polonais a brisé le consensus du V4 (groupe de Visegrad) en votant pour. Ils étaient déjà sûrs de perdre les élections. Là ils vont vers la déroute…

     

  • Ah bon ?

    Le service fédéral allemand de renseignement intérieur (qui s’appelle « Office fédéral de protection de la Constitution ») se « préoccupe grandement » du « prosélytisme » des islamistes chez les « réfugiés ».

    Tiens donc. On n’arrête pourtant pas de marteler dans les médias qu’il ne PEUT PAS y avoir un quelconque problème de ce genre…

  • Le pape donne l’exemple !

    Une famille syrienne a été accueillie au Vatican : un couple et leurs deux enfants.

    Ce sont des chrétiens.

    Des grecs-catholiques melkites.

    Que tous les pays d’Europe fassent comme le pape !

    Il y a juste un petit problème. On nous dit que cette famille de Damas a d’ores et déjà fait sa demande d’asile. Mais à Damas les chrétiens vivent tranquillement, en sécurité, et le patriarche grec melkite catholique fait tout ce qu’il peut pour que ses ouailles ne partent pas…

    Il y a de fortes chances pour que l’asile soit refusé à cette famille, et en prime pour que ça fasse un incident diplomatique entre le patriarche et le pape…

  • Le Japon est une île

    Le ministère japonais de la Justice annonce une réforme du droit d’asile qui durcit encore les conditions pour obtenir l’asile, dans le cadre d’un durcissement des lois sur l’immigration.

    Encore plus dur ?

    En 2014, il y a eu 5.000 demandes d’asile. Ont été acceptées 11 d’entre elles…

    Autant dire qu’il devient strictement impossible d’obtenir l’asile dans ce pays.

    Mais on n’entend pas les cris de l’Union européenne qui donne habituellement des leçons à la terre entière. Peut-être est-elle occupée, après tout…

  • Les petits dictateurs

    Les 28 Etats membres de l’UE n’ont évidemment pas pu parvenir hier soir à un accord sur la répartition des clandestins migrants réfugiés par quotas contraignants, puisque plusieurs pays les refusent.

    Le ministre allemand de l'Intérieur, Thomas de Maizière, veut des mesures de rétorsion contre les récalcitrants. Ce sont « des pays qui reçoivent beaucoup de fonds structurels » européens, dit-il, il serait « juste qu'ils reçoivent moins de moyens ».

    Et il souligne qu’il reprend une proposition du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker.

    Les petits apprentis dictateurs ont juste oublié que pour punir les pays de l’Est il faudrait qu’ils aient une majorité qualifiée. Et que ce n’est certainement pas gagné... comme on l'a vu hier soir.

    Surtout quand on voit un ministre letton (pays qui ne fait pas partie de méchants) souligner que 90% des migrants ne sont pas des réfugiés, ou même quand on voit simplement l’Allemagne rétablir ses frontières en catastrophe…

    A propos, monsieur de Maizière… Quand vous dites à propos des contrôles aux frontières allemandes : « Nous ne voulons pas qu’ils soient une solution durable, mais ils ne sont pas non plus passagers », c’est contraire aux règles de l’espace Schengen, non ?

  • Le miracle Carlotti

    Il faut des années aux mal-logés (français) pour obtenir un logement. Mais Marie-Arlette Carlotti, présidente du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, propose « la mobilisation des 77.310 logements sociaux vacants afin d’accueillir les personnes réfugiées ».

    Quelques réactions sur twitter :

    Et en hiver pour nos SDF, ça non !

    Mal logés et sans-logis apprécieront.

    Racisme social antifrançais ?

    Le FN n’a même plus à faire campagne.

    Mais d’où ils les sortent, ces logements ? 7 ans d’attente !

    Carlotti c’est la fée Carabosse ! Un coup de baguette, hop, 77.000 logements dispo ! Et si elle s’occupait du chômage ?

  • Pas de chrétiens !

    L’ambassade de France à Beyrouth a consigne de ne pas donner de visas aux Syriens « pro-régime » qui voudraient demander l’asile en France. En clair : les chrétiens.

    C’est au point que même le chœur de la cathédrale grecque-orthodoxe de Damas, qui devait se produire à Strasbourg lors d’un festival (et qui avait ses billets de retour), s’est vu refuser les visas…