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Gouvernement - Page 10

  • Vincent Lambert (encore) condamné à mort

    La Cour de cassation, sur ordre de Macron et de son valet Molins, a cassé l’arrêt de la cour d’appel de Paris. A priori le « Dr » Sanchez va donc pouvoir recommencer à tuer Vincent Lambert.

    Sauf si « la France » décide d’honorer sa parole et d’attendre les conclusions du comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.

    C'est un crime d'Etat, qui en annonce beaucoup d'autres.

  • Buzyn dans le texte

    A propos de la canicule, Agnès Buzyn dit qu’elle veut « éviter des morts inutiles ».

    J’ai beau regarder de près, je ne vois pas ce qu’elle entend par morts utiles.

  • 18 semaines

    Vendredi dernier, au Sénat, Laurence Rossignol a fait adopter un amendement à la loi Santé qui allonge le délai d’avortement de 12 à 14 semaines. Amendement voté par… 12 sénateurs contre 10.

    Le Salon Beige rapporte ce qui s’est passé avant ce vote. Laurence Rossignol a souligné que pendant la campagne des européennes « le gouvernement » (sic) a promis de « promouvoir un bouquet législatif qui aligne le droit européen sur la législation nationale la plus favorable, pour chacun des droits des femmes ».

    De fait, si personne ne lit plus depuis longtemps les promesses électorales (surtout pour les européennes), le fait est que dans le programme de l’autre Loiseau (pas Rossignol mais Ducoulombier), il est stipulé que « nous harmoniserons par le haut les droits des femmes en Europe », par un « pacte » qui « inclura les droits sexuels et reproductifs », dont « l’IVG ». Or, a remarqué la Rossignol, le mieux disant en la matière, dans l’UE, est la Suède, où le délai est de 18 semaines.

    Par conséquent, l’allonger à 14 semaines n’est encore qu’une étape.

    Et pourquoi s’en tenir à l’UE ? Les prochaines étapes devraient nous rapprocher du mieux disant mondial. En l’occurrence le Canada où il n’y a pas de loi sur l’avortement, qui est donc permis jusqu’à la naissance sans aucune condition…

     

    Addendum

    Comme on pouvait s'en douter, Alain Milon, avec l'appui du gouvernement, a demandé une seconde délibération, et l'amendement a été rejeté par 205 voix contre 102 et 41 abstentions.

    Reste que le programme du gouvernement ouvre discrètement la porte à un allongement. Ce sera pour une prochaine fois...

  • Macron veut tuer Vincent Lambert

    Le gouvernement français a déposé hier un pourvoi en cassation contre la décision de la cour d'appel de Paris ordonnant la reprise de l’alimentation de Vincent Lambert.

    Lorsque le “Dr” Sanchez avait décidé de tuer Vincent Lambert, Emmanuel Macron avait dit qu’il ne pouvait pas intervenir. Il avait omis de préciser qu’il ne pouvait pas intervenir pour sauver Vincent Lambert, parce qu’il se réservait d'intervenir pour qu’il soit mis à mort.

  • Amnésique

    Interrogée sur l’affaire Vincent Lambert lors des questions d’actualité à l’Assemblée nationale, Agnès Buzyn a déclaré : « Pour que cette situation ne se reproduise pas, nous devons tous remplir nos directives anticipées. » (Parce qu'on lui a appris ce matin que seulement 13% des Français l'ont fait.)

    Elle n’a pas rappelé son propos du 5 mai :

    « Aujourd’hui, juridiquement parlant, tous les recours sont arrivés au bout, et toutes les instances juridictionnelles, qu’elles soient nationales ou européennes, confirment le fait que l’équipe médicale en charge de ce dossier est en droit d’arrêter les soins. Les parents de Vincent Lambert se sont retournés vers ce comité [de l’ONU] qui s’occupe des personnes handicapées, et non des personnes en état végétatif comme Vincent Lambert. (…) Nous ne sommes pas tenus par ce comité légalement. »

    La cour d’appel de Paris a désavoué Agnès Buzyn et décidé le contraire de ce qu’elle prétendait « légalement ».

    Au lieu de démissionner, elle plaide donc l’amnésie…

  • Elle est comme saint Thomas d’Aquin

    Qui ça ? Mais la meuf, yes, qu’elle est la porte-parole du gouv. La Sénégalaise qu’est aussi française (depuis trois ans).

    C’était dans sa grande interview à BFM TV, avant-hier. Et j’apprends seulement maintenant qu’elle a fait cette révélation :

    « Je suis comme saint Thomas d’Aquin. »

    C’est-à-dire ?

    Eh bien :

    « Je ne crois que ce que je vois. »

    Superbe.

  • La Sénégalaise

    Le porte-parole du gouvernement français est désormais, par la grâce de Macron, une Sénégalaise.

    Sibeth Ndiaye (qui faisait partie de l’équipe de campagne de Strauss-Kahn en 2006 avec… Benjamin Griveaux, Ismaël Emelien, Stanislas Guérini… et Cédric O nommé lui aussi hier secrétaire d’Etat) est la conseillère en communication de Macron qui avait répondu « Yes, la meuf est dead » à un journaliste qui lui demandait si c’était vrai que Simone Veil était morte.

    C’est elle aussi qui a dit qu’elle « assume pleinement de mentir » quand il s’agit de « protéger le président ». Au moins c’est clair.

    Mais ce qui est curieux est de nommer comme premier contact avec les journalistes une personne qui est très mal vue des journalistes par sa brutalité et ses pressions. Même Le Monde dénonçait après le dernier Salon de l’Agriculture sa manière de communiquer « sur un mode fait d’injonctions et de menaces »…

  • La blague du jour de Castaner

    Castaner a demandé en conseil des ministres « la dissolution de quatre associations qui « légitiment de façon régulière le djihad armé ».

    Y aura-t-il quelqu’un pour lui apprendre que c’est le Coran qui légitime le jihad armé ?

  • Castaner ça suffit

    Christophe Castaner a participé à une cérémonie à la mémoire des victimes juives de Mohammed Merah à Toulouse.

    Il a dénoncé la montée de « l’antisémitisme » et « ce parfum des années 30 qui flotte dans l'air que l'on espérait à jamais disparu ».

    On sait que Castaner dit n’importe quoi plus souvent qu’à son tour.

    Ici il répète une immonde propagande. Car tout le monde voit qui est visé quand on parle des années 30 : c’est le fantasme de « l’extrême droite ».

    Sauf que ça n’a strictement rien à voir.

    Combien de jihadistes Castaner a-t-il dénombré dans les années 30 ?

  • Loiseau se flingue en plein vol

    Nathalie Loiseau (Ducoulombier de son nom de jeune fille) est le type même, ou plutôt la caricature, de l’insupportable arrogance de l’idéologie européiste enfermée dans son mensonge, sa propagande et son politiquement correct. Elle se délectait d’être invitée à un débat contre Marine Le Pen. Elle savait qu’elle, la grande spécialiste de l’UE, sûre de sa légitimité à imposer la dictature bruxelloise, représentante patentée de l’eurocratie, elle n’allait faire qu’une becquée de l’extrémiste inculte qui se contente de répéter de stupides fake news sur l’Europe. Mais c’est elle qui est tombée sur le bec, et qui s’est complètement déconsidérée.

    Olivier Mazerolle (dont le moins qu’on puisse dire est qu’il n’est pas un partisan de Marine Le Pen) :

    À la fin d'un débat médiocre, Nathalie Loiseau a littéralement explosé en vol en annonçant qu'elle avait changé d'avis, qu'elle allait se porter candidate aux Européennes en raison du comportement de Marine Le Pen pendant l'émission. Une annonce noyée dans les rires de la présidente du Rassemblement national. Avec sa déclaration qui semblait aussi spontanée que le vrombissement d'un 2CV qu'on fait démarrer à la manivelle, Nathalie Loiseau a provoqué le sarcasme de son adversaire.

    Ce sentiment est partagé jusque dans les couloirs de l’Elysée, selon Le Figaro :

    La prestation de la ministre, qui paraissait réciter des formules apprises par cœur, a suscité des interrogations. «Elle a fait tout ce qu’il ne fallait pas faire, s’inquiète un familier de l’Élysée. Elle coupait la parole au risque de paraître agressive. Et elle est tombée dans les pièges habituels face à Marine Le Pen: le procès en incompétence et le procès en héritage par rapport à son père. Cela n’a jamais fonctionné.» Un autre ajoute, sèchement: «C’est très raté. Cela manquait de sincérité. C’était trop préparé.»

    Quant à l’annonce de sa candidature et la réaction de Marine Le Pen :

    «Le rire qu’elle a eu à ce moment-là a été désastreux pour nous en matière de communication», reconnaît-on dans l’entourage d’Emmanuel Macron.