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Vincent Lambert (encore) condamné à mort

La Cour de cassation, sur ordre de Macron et de son valet Molins, a cassé l’arrêt de la cour d’appel de Paris. A priori le « Dr » Sanchez va donc pouvoir recommencer à tuer Vincent Lambert.

Sauf si « la France » décide d’honorer sa parole et d’attendre les conclusions du comité des droits des personnes handicapées de l’ONU.

C'est un crime d'Etat, qui en annonce beaucoup d'autres.

Commentaires

  • Je prie pour un miracle pour Vincent

  • Comme par hasard, la TV d'état nous rappelle que maintenant le don d'organes est présumé accepté par tous, sauf opposition écrite (notez la condescendance du "bien sûr")
    Il y a combien de personnes "en état végétatif" qui évidemment ne pourront pas faire savoir leur éventuelle opposition au dépecage de leur organisme. Et il y a un manque criant de matériaux pour réparer les malades.
    Est t'il complotiste ou parano de rapprocher ces deux réalités?
    Il ne reste pour Vincent Lambert, et tous les autres dans ce cas, que notre prière.

  • la cour de cassation, en principe, n"a pas à recevoir d'ordres du pouvoir exécutif
    d'où vient votre information, et par quel canal cet "ordre" lui aurait-il été transmis ?

  • C'est le gouvernement qui a saisi la Cour de cassation, évidemment dans le but de... casser.

  • que le gouvernement ait saisi la Cour de cassation, c'est dans l'ordre des choses, mais on ne peut pas dire qu'il lui a donné un ordre que la Cour ne serait de toute façon pas obligée de suivre; l'important est ce qui va suivre
    Charles De Gaulle usait de méthodes bien plus expéditives quand il voulait faire disparaitre quelqu'un

  • Qu'est-ce que ce mecque qui a sur ce qui lui sert de conscience, cervelas bancorothschildaïque, la mort affreuse de centaines de Yéménites peut avoir à foutre de la vie d'un seul infirme lourd ?


    Note : suivez mon lien, S.V.P...

  • Dans un domaine où les institutions d'un Etat sain devraient s'effacer avec circonspection et délicatesse, quitte à rappeler que le droit à la vie est le plus naturel et le plus imprescriptible, cet acharnement institutionnel, qui rappelle l'assassinat du petit Alfie Evans par la reine d'Angleterre, est infernal. L'exécutif, le législatif et le judiciaire, en France, sont exercés par une bande de criminels sans foi ni loi, dignes d'un film de Sergio Leone.

  • Dans un futur film d'histoire-fiction, un locataire de la maison Ste Marthe, devant l'iniquité du comportement des candidats-assassins de Vincent Lambert déclencha une intense action diplomatique à l'échelle planétaire pour faire reculer le gouvernement illégitime de la France et la faire mettre au ban des nations. Le locataire, en plus de ses nonces en poste, bénéficiant d'une certaine sympathie des merdias mondiaux en ferait usage comme caisse de résonance. Et Vincent Lambert fut sauvé et le gouvernement français fut renversé par un gigantesque soulèvement populaire qui donna lieu à la restauration d'un état de droit en France.
    Le scénario est écrit, on cherche un réalisateur, metteur en scène , acteurs et mécènes.

  • @ Daoudal
    Dans l'article où vous rapportez la saisine par le procureur Molins de la cour de cassation, vous évoquez la possibilité en cas d'arrêt d'un renvoi par cette même cour. Qu'en est-il ici? Vu que vous ne le précisez pas, je suppose qu'il n'y a pas eu par la cour de demande pour un nouvel examen.

  • http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2019/06/25/le-procureur-de-la-culture-de-mort-6160327.html

    M. Molins a solennellement demandé aux dix-neuf magistrats de la haute juridiction de casser, sans renvoi, c’est-à-dire sans nouvel examen, l’arrêt de la cour d’appel. Sinon, a-t-il prévenu « cela remettrait en cause notre ordonnancement juridique », sans parler de la « remise en question immédiate de la loi Leonetti ou de la loi sur l’interruption volontaire de grossesse ».

  • Fait spectaculaire, Molins affirme que toute vacillation remettrait en cause l’ensemble de la structure du droit français. Ça n’est pas rien.

    Comme je ne suis pas juriste, j’ignore si cette assertion peut être contrée, je me contente de la prendre pour ce qu’elle implique touchant notre société.

    L’URSS, l’Allemagne nazie, l’État croate indépendant avaient eux aussi leur système juridique. Les cavernes de voleurs ont leurs règles sociales.

  • @ Daoudal
    C'est bien à cet article que je faisais allusion.
    Mais la cour de cassation n'est pas obligée de suivre les réquisitions du procureur, que ce soit concernant la cassation de l'arrêt ou le renvoi. C'était l'objet de ma demande : est-ce que la cour a suivi les réquisitions du procureur concernant le renvoi, et votre réponse semble confirmer qu'il n'y en a pas eu.
    Enfin, je ne suis pas juriste, mais la multiplication des instances, appels renvois et autres pourvois devant une infinité de strates ne plaide pas en faveur de la justice humaine, même si les partisans de la vie (ie de la loi naturelle) doivent savoir utiliser cette complexité à leur avantage.

  • Pardonnez-moi, je n'avais pas compris votre question. La Cour a suivi la demande du procureur: casser sans renvoi.

  • Ivan Rioufol :

    « Ce fanatisme des droits de l’homme, qui voit les nations et les peuples comme des obstacles à l’universalisme rédempteur, est un masochisme construit sur la haine de soi. Rien n’est moins généreux que cet humanitariste souriant mais sans âme, qui invite l’homme occidental à renoncer à défendre son identité au prétexte que son semblable venu d’ailleurs serait pareil à lui. Cet hymne à l’euthanasie d’une civilisation est un refrain morbide.

    Il est d’ailleurs repris par les droits-de- l’hommistes dans l’affaire Vincent Lambert. Vendredi, la Cour de cassation a invalidé d’arrêt de la cour d’appel de Paris qui avait abouti, le 20 mai, à la reprise de l’hydratation et de l’alimentation du jeune homme en état de conscience altérée. En droit, rien ne s’oppose plus depuis ce lundi à la mort programmée de Vincent Lambert.

    Or l’argument des magistrats de la cour de cassation fait froid dans le dos quand ils estiment que "le droit à la vie n’entre pas dans le champ de la liberté individuelle au sens de l’article 66 de la constitution".

    Les réquisitions du procureur François Molins, le 24 juin, avait développé cet argument : "Reconnaître le droit à la vie comme une valeur suprême aura pour conséquence la remise en cause de la loi Léonetti et de celle de l’IVG".

    Pour les nouveaux évêques et curés des droits de l’homme, le droit à la vie – c’est-à-dire le droit à ne pas être tué – est une valeur embarrassante ».

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