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Europe - Page 205

  • Rapprochement tchéco-slovaque…

    La République tchèque et la Slovaquie se sont entendues pour avoir une représentation commune dans les institutions financières internationales. Seize ans après la partition de la Tchécoslovaquie, les deux Etats voisins auront un seul et même représentant au Fonds monétaire international et un autre à la Banque mondiale. Les intérêts des deux pays seront défendus par un représentant slovaque au FMI et par un représentant tchèque à la Banque mondiale. Les fonctions tourneront tous les quatre ans. L'accord entre Prague et Bratislava a été signé par le ministre tchèque des Finances, Miroslav Kalousek, et le gouverneur de la Banque nationale tchèque, Zdenek TÛma, avec leurs partenaires slovaques, samedi, à Washington. Miroslav Kalousek a justifié cet accord par la volonté des deux parties de réaliser des économies.

    (Radio Prague)

  • Vaclav Klaus

    Le président tchèque Vaclav Klaus présidera le sommet UE-Japon à Prague le 4 mai, et le Premier ministre désigné Jan Fischer sera invté au déjeuner de travail, indique le bureau présidentiel.

    D'autre part, Vaclav Klaus a annoncé qu'il nommera le nouveau gouvernement d'experts dirigé par Jan Fischer le 8 mai.

  • Blurps

    couvertureplunkt3.jpgLes eurodéputés ont adopté vendredi à Strasbourg une résolution encourageant des candidatures féminines à la prochaine élection présidentielle en Afghanistan.

    (AFP)

    P.S. - Mercredi, ils ont voté le rapport Belet "sur l'étiquetage des pneumatiques en relation avec l'efficacité en carburant et d'autres paramètres essentiels" et le rapport Markov "relatif aux prescriptions uniformes concernant la réception de véhicules commerciaux pour ce qui est des saillies extérieures à l'avant de la cloison postérieure de la cabine".

  • Ça bouge au Royaume Uni

    33 parlementaires britanniques, dont plusieurs pairs du royaume (et l'inoxydable Paisley), appellent à quitter l'Union européenne.

    (Better off out, via Bruges Europe)

  • Grave revers pour Schulz au Parlement européen

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    La Commission institutionnelle du Parlement Européen a rejeté la proposition de modification du règlement tendant à remplacer le doyen d'âge par une personne nommée par les groupes politiques, lors de la présidence de la session inaugurale de la prochaine mandature du Parlement.

    Cet échec constitue un grave revers moral pour Monsieur Schulz, président allemand du groupe socialiste, qui avait été l'initiateur de la manœuvre mesquine visant à empêcher éventuellement Jean-Marie Le Pen de présider cette séance inaugurale.

    [Et pourtant les présidents des groupes s'étaient mis d'accord sur cette infamie.]

  • M. Besson aux ordres de Bruxelles

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Nicolas Sarkozy a trouvé un disciple de choix, en la personne de M. Besson, pour ce qui est du faire-semblant.

    Après l'opération médiatique qui a consisté à interpeller près de 200 clandestins pour les relâcher quelques heures plus tard, le ministre de l'Immigration s'est rendu à Calais pour annoncer la « fermeture » de la « Jungle » où des centaines de clandestins attendent de passer en Grande-Bretagne, mais aussi pour assurer que l'Etat ne laisserait pas sans soutien ces personnes qui n'ont pourtant aucun titre à se trouver sur le territoire français.

    En réalité, M. Besson n'est que l'exécuteur des ordres de la Commission européenne.

    La Commission européenne a en effet décidé que seraient installés à Calais des CADA : centres d'accueil de demandeurs d'asile, c'est-à-dire des Sangatte améliorés, ainsi qu'un « bureau d'appui » aux demandes d'asile, afin de traiter en France les demandes d'asile concernant la Grande-Bretagne, et d'obliger ainsi les Britanniques à « prendre leur part du fardeau de l'immigration clandestine », selon les propres paroles de Jacques Barrot.

    Autrement dit, Bruxelles va mettre en œuvre à Calais, par l'entremise de ses laquais de Paris, une gigantesque pompe aspirante de l'immigration clandestine, en violant la souveraineté nationale de la France comme du Royaume-Uni.

    Il est du devoir des médias d'informer les Français de ce diktat de l'Europe apatride, afin qu'ils puissent voter en connaissance de cause lors de l'élection des députés au Parlement européen.

  • La Croatie patine

    La présidence tchèque de l'Union européenne annoncé le report sine die de la prochaine session de négociations sur l'entrée de la Croatie dans l'UE, en raison du différend frontalier avec la Slovénie.

    Cette question "n'est toujours pas résolue". Les négociations d'adhésion de la Croatie à l'UE sont en conséquences reportées, et aucune nouvelle date n'a été fixée pour leur tenue.

    Mauvaise nouvelle pour Sarkozy, qui avait trouvé l'idée géniale de glisser les concessions à l'Irlande dans le traité d'adhésion de la Croatie...

  • Rachida Dati

    Entre hilarité peu contrôlée et phrases approximatives, Rachida Dati avait du mal à répondre aux jeunes populaires réunis mardi à l'Assemblée nationale.

    Soumise à un quizz des jeunes de l'UMP, Mme Dati, arrivée très en retard à la réunion, a avoué, répondant à une question sur le nucléaire, qu'elle "récitait".

    Hilare, elle avait du mal à boucler ses phrases, face à une salle dans laquelle se trouvaient plusieurs chefs de file de l'UMP.

    L'Europe s'occupe-t-elle trop des affaires nationales?", demande un jeune homme du public. "Elle s'occupe de ce qu'on lui donne à s'occuper", risque Mme Dati en pouffant. "Et puis elle s'occupe de ce qu'on lui donne à s'occuper avec les personnes qui peuvent porter ces affaires à s'occuper", poursuit-elle.

    (AFP)

  • L’information sur la Turquie

    Le ministre turc des Afffaires étrangères et son homologue tchèque se sont réunis hier à Prague (avec le ministre suédois, représentant la prochaine présidence de l'UE).

    L'AFP titre ainsi :

    L'UE et la Turquie pour la poursuite active du processus d'intégration

    Voici le début de la dépêche :

    Les dirigeants européens et turcs ont plaidé mardi à Prague en faveur de la poursuite active des négociations sur l'entrée de la Turquie dans l'UE, malgré les divisions des pays européens sur le sujet.

    "Le processus en cours de négociations sur l'accession montre que la Turquie est de plus en plus proche de l'UE", a déclaré le ministre tchèque des Affaires étrangères Karel Schwarzenberg dont le pays préside l'UE, tout en soulignant que le règlement de la question chypriote restait un point crucial.

    Et ensuite l'AFP reproduit des propos de Carl Bildt, le ministre suédois :

    "Tous les processus d'élargissement ont suscité des oppositions, mais tous ont été un succès, (l'intégration de la Turquie) est soutenue par une vaste majorité de pays et par une vaste majorité au parlement européen actuel." "Nous croyons au succès, l'EU avec la Turquie sera plus forte et plus dynamique (...), l'Europe doit surmonter les divisions du passé pour un meilleur avenir", a ajouté le diplomate dont le pays, un des principaux partisans de l'adhésion turque, prendra la présidence semestrielle de l'UE le 1er juillet.

    Voici comment Radio Prague résume les informations de la principale agence de presse tchèque :

    Schwarzenberg : le processus de réformes en Turquie a besoin d'une nouvelle impulsion

    Le processus de réformes en Turquie a besoin d'une nouvelle impulsion, a déclaré, ce mardi à Prague, le chef de la diplomatie tchèque Karel Schwarzenberg, à l'issue d'une rencontre avec son homologue turc Ali Babacan. Depuis 2005 où elle a entamé le processus d'admission, la Turquie a clos seuls 10 des 35 chapitres de négociations. Karel Schwarzenberg a invité Ankara à des réformes constitutionnelles et à l'harmonisation de la législation turque avec celle de l'Union européenne. Toujours selon Schwarzenberg, l'UE s'attend également à ce que la Turquie garantisse à ses citoyens la liberté d'expression et de conviction et qu'elle intensifie sa lutte contre la corruption.

    Alors même que Schwarzenberg et tous les dirigeants tchèques sont favorables à l'adhésion de la Turquie, on voit une grosse différence dans le traitement de l'information. L'AFP dit : tout le monde est d'accord pour continuer "activement". Les Tchèques soulignent qu'il y a des problèmes et qu'ils viennent de la Turquie.

    D'autre part, on remarque que l'AFP dit : l'UE, LES dirigeants de l'UE, et les dirigeants turcs, comme s'il s'agissait d'un sommet. Les Tchèques disent : Karel Schwarzenberg et son homologue Ali Babacan.

    Sur le site de la présidence de l'UE, il n'y a pas un mot sur cette rencontre. L'AFP, pour relancer la propagande, a fantasmé un sommet.

  • Le forcing

    Lu dans le quotidien El Mundo : alors qu'il n'y a que 50 sièges à pourvoir, les Espagnols vont élire 54 députés européens.

    Comme si le traité de Lisbonne était en vigueur.