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Europe - Page 139

  • Un effet de la dictature européenne

    La dictature européenne avait imposé Mario Monti à la tête du gouvernement italien. La démocratie étant revenue, Mario Monti et ses fidèles ont obtenu à peine 10% des voix… L’homme de Bruxelles et de Goldman Sachs n’a pas eu de mal à se rendre impopulaire, mais le résultat de sa gestion est en outre un désastre politique. La gauche n’a la majorité absolue à la Chambre que grâce à la grosse prime au vainqueur (elle n’a fait que 29,5%, contre 29,1% à la coalition de Berlusconi qui était soi-disant enterré), mais au Sénat il n’y a pas de majorité possible, et sans majorité au Sénat il n’y a pas de gouvernement italien. Cela résulte notamment de l’arrivée en fanfare de celui qu’on appelle, improprement semble-t-il, le « Coluche italien » (j’avoue n’avoir rien compris à son programme), dont le « mouvement cinq étoiles » a fait 25% des voix…

  • La zone euro en récession

    La Commission européenne fait savoir que la zone euro poursuivra sa récession en 2013.

    Pourtant on avait promis que la construction européenne apporterait forcément une mirifique croissance parce qu’on est plus fort à plusieurs et que la synergie est gage d’invincibles progrès. Ce qui était démultiplié par l’invention plus mirifique encore de la monnaie unique…

    Ce qui est merveilleux dans le monde politicien c’est qu’on peut dire tout et son contraire. Ainsi, aujourd’hui, François Hollande a affirmé que si nous étions dans les choux en termes de croissance c’est à cause de nos partenaires de la zone euro…

  • L’UE rend fou

    Le commissaire européen à l’Energie, Günther Oettinger, a déclaré : « Je suis prêt à parier que, dans la prochaine décennie, un chancelier allemand ou une chancelière, avec son homologue français, ramperont sur leurs genoux à Ankara pour demander aux Turcs : Amis, venez avec nous. »

    Le ministre turc des Affaires européennes, Egemen Bagis, s’est empressé de répondre : « Je ne sais pas s’ils viendront en rampant ou s’ils tomberont à genoux, mais il y a une chose que je sais de façon certaine, c’est qu’ils céderont. »

    José Manuel Barroso a cru nécessaire de préciser que la sortie de Günther Oettinger était « son opinion personnelle et non celle de la Commission européenne »…

    Günther Oettinger, pourtant ancien ministre-président du Bade-Wurtemberg, pourrait déjà apprendre que le chancelier allemand n’a pas d’« homologue » français.

  • Un tiers seulement des Britanniques pour le maintien dans l’UE…

    Selon un sondage Harris Interactive pour le Financial Times, s’il y avait aujourd’hui un référendum pour ou contre la sortie de l’UE, 33% des personnes interrogées voteraient pour que le Royaume-Uni reste dans l'UE, et 50% voteraient la rupture (17% n’iraient pas voter).

    Le résultat du sondage n’est donc pas que la moitié des Britanniques voterait pour la sortie de l’UE, comme on le lit partout, mais que la sortie de l’UE serait votée à une large majorité (les abstentionnistes ne comptent pas).

  • Petite chronique croate de la subversion

    Une journaliste de la télévision nationale croate a été virée de son poste de rédacteur en chef, et son émission suspendue, parce qu’elle avait dirigé une émission où était critiqué le programme d’éducation sexuelle obligatoire mis en place par le gouvernement. Jeanne Smits, qui rapporte le fait, souligne que les évêques croates se sont fermement élevés contre une éducation sexuelle qui érotise l’enseignement et qui, bien entendu, fait la promotion de l’homosexualité. Et elle a découvert un article intitulé « Education sexuelle en Croatie : la guerre entre l’Eglise et le gouvernement ». Article publié par un site internet italien intitulé « Observatoire des Balkans et du Caucase », et qui est une charge grossière contre l’Eglise catholique. A la fin de cet article de propagande antichrétienne, on découvre le logo de l’Union européenne. La publication de l’article bénéficie du soutien de l’UE, parce que le soi-disant Observatoire des Balkans et du Caucase a été choisi pour être cette année partenaire du programme de propagande européiste « Tell Europe to Europe » (Raconte l'Europe à l'Europe). L’Observatoire bénéficie déjà de subventions de la ville de Rovereto et de la province de Trente et « met en œuvre des projets financés par le ministère italien des Affaires étrangères, la Commission européenne, plusieurs fondations, des Etats et des organisations privées ». Le fric tombe de partout, quand il s’agit de promouvoir les subversions…

  • Le pire c’est qu’ils ont légalement raison

    Un « restaurant » Subway d’Angers offrait pour la Saint-Valentin un « menu » à prix spécial pour les couples. L’affiche précisait que c’était pour les couples homme-femme, et en petit caractères l’auteur de l’affiche soulignait qu’il n’y avait là aucune « discrimination » parce que la loi sur le « mariage » homosexuel n’est pas encore en vigueur et que jusque-là il utilise « la loi de liberté d’expression ».

    Le lobby LGBT est aussitôt monté au créneau des « réseaux sociaux ». Le gérant du Subway a aussitôt été viré, et son enseigne fermée. Le lendemain même de la Saint-Valentin.

    Telle est l’efficacité du lobby, et la réalité de la dictature.

    Mais le lobby local n’entend pas en rester là et veut porter plainte, pour homophobie.

    Le Français moyen ne voit certes pas où il y aurait homophobie dans cette affaire. Elle est pourtant légalement caractérisée. Car il y a de la part d’un commerçant refus de service à raison de l’orientation sexuelle, ce qui est strictement interdit par les directives de la Commission européenne retranscrites dans la loi française.

    Bien sûr, quand la loi sur le « mariage » homosexuel sera en vigueur, ce sera encore pire…

  • Le Parlement européen et ses trolls

    Une fois de plus, à l’occasion des prochaines élections européennes, les institutions européennes vont accroître leur propagande. D’habitude c’est surtout la Commission européenne qui cherche à faire prendre les vessies bruxelloises pour de salvatrices lanternes. Cette fois, si l’on en croit Bruno Waterfield (qui est généralement fiable), c’est le Parlement européen qui veut être en première ligne : il va dépenser 2 millions d’euros pour payer des « trolls » qui vont intervenir sur les blogs et les réseaux sociaux, comme s’ils étaient de simples lecteurs anonymes, surtout dans les pays où croît l’euroscepticisme, pour marteler que l’UE n’est en rien responsable des problèmes et qu’il faut davantage d’Europe pour les résoudre.

    (article de Bruno Waterfield, traduction sur Fdesouche)

  • UE-Turquie : ça repart, grâce à Hollande…

    Laurent Fabius a déclaré hier que le gouvernement français était « favorable » à l’ouverture d’un nouveau chapitre de négociations entre l’UE et la Turquie, le chapitre 22 sur la politique régionale. Ce qui pourrait se faire dès cette semaine si aucun pays n’y met de veto. Or le seul veto aurait été français. Car, malgré la très hypocrite égalité des pays de l’UE dans les institution européennes, Chypre n’a évidemment pas les moyens d’opposer un veto toute seule (comme on l’a déjà vu à plusieurs reprises). En outre Chypre est aujourd’hui plongée dans une terrible crise. En outre il y aura dimanche prochain une élection présidentielle. Le moment n’a pas été choisi au hasard…

    Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Philippe Lalliot, a souligné que la France souhaitait « apporter un nouvel élan aux relations entre l'Union européenne et la Turquie », comme en écho à la réaction immédiate du commissaire européen à l’élargissement, Stefan Fuele, qui a twitté : « Le signal que la France est prête pour que l’UE reprenne les discussions sur la politique régionale avec la Turquie ajoute à l’élan qui doit faire de 2013 un tournant dans nos relations. »

    On rappellera qu’il y a toujours 35.000 soldats turcs dans la partie occupée de Chypre, et que la Turquie interdit toujours l’accès à ses ports et aéroports aux bateaux et avions chypriotes. Ce qui fait que, quand même, la Commission européenne elle-même a mis son veto à un certain nombre de chapitres.

  • Une nouvelle attaque de l’UE contre les pêcheurs

    Vote du rapport Rodust : vers la mise à mort du secteur de la pêche




    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    En aggravant considérablement les contraintes environnementales sur la pêche, le Parlement européen vient de proposer la mise à mort de ce secteur.



    La Commission européenne avait déjà proposé un projet de réforme irréaliste et inadapté, le Parlement européen, sous la pression des lobbies écologistes, l’a conforté par son vote du 6 février.



    Sous couvert de bonnes intentions tel le « zéro rejet », le Parlement européen a cédé à la démagogie et montré sa méconnaissance totale des réalités de ce métier et des contraintes qu’il subit.



    Les professionnels de la pêche avaient présenté des solutions alternatives qui étaient respectueuses de l’environnement et assuraient l’avenir de leur secteur, ils n’ont pas été entendus.

    

La pêche artisanale sera bien sûr la première à en faire les frais. C’est notre sécurité alimentaire qui est en jeu, le maintien de l’emploi et des économies de nos zones côtières.



    Pour ce secteur en crise depuis longtemps et qui essaie de survivre, cette nouvelle réforme radicale et idéologique est une preuve, s’il en fallait encore une, que l’Europe n’aime pas les pêcheurs.

  • Les Pays-Bas et l’UE

    Le Parlement néerlandais débattait hier du discours de David Cameron sur l’Europe.

    On notera déjà le fait.

    On notera ensuite que selon le président du groupe VVD (le parti du Premier ministre), ce discours était « la version longue du chapitre sur l’Europe dans l’accord de coalition » entre les partis au pouvoir.

    On notera enfin que, par ailleurs, le parti chrétien-démocrate a demandé que l’UE ne s’occupe plus des domaines qui relèvent du plan national, comme par exemple les congés de maternité, la politique de l’environnement ou la liberté de la presse.