Un « restaurant » Subway d’Angers offrait pour la Saint-Valentin un « menu » à prix spécial pour les couples. L’affiche précisait que c’était pour les couples homme-femme, et en petit caractères l’auteur de l’affiche soulignait qu’il n’y avait là aucune « discrimination » parce que la loi sur le « mariage » homosexuel n’est pas encore en vigueur et que jusque-là il utilise « la loi de liberté d’expression ».
Le lobby LGBT est aussitôt monté au créneau des « réseaux sociaux ». Le gérant du Subway a aussitôt été viré, et son enseigne fermée. Le lendemain même de la Saint-Valentin.
Telle est l’efficacité du lobby, et la réalité de la dictature.
Mais le lobby local n’entend pas en rester là et veut porter plainte, pour homophobie.
Le Français moyen ne voit certes pas où il y aurait homophobie dans cette affaire. Elle est pourtant légalement caractérisée. Car il y a de la part d’un commerçant refus de service à raison de l’orientation sexuelle, ce qui est strictement interdit par les directives de la Commission européenne retranscrites dans la loi française.
Bien sûr, quand la loi sur le « mariage » homosexuel sera en vigueur, ce sera encore pire…
Commentaires
Un conseil : achetez vos sandwichs en boulangerie, c'est incomparablement meilleur et vous éviterez de financer des multinationales complices de la décadence des mœurs.
Et bien le restaurateur évitera de faire de la pub pour la saint valentin dans le paganisme actuel n'a rien à voir avec l'amour fidèle et le mariage religieux tels que L'évêque Valentin martyr sous l'empire romain prônait.
Oui,enfin,on est dans de sales draps comme dirait Céline.