La réunion plénière du Congrès du Pérou a rejeté, le 4 juillet, la proposition d’un de ses membres d’inclure les discriminations en raison de l’« orientation sexuelle » et de « l’identité de genre » parmi les circonstances aggravantes du délit de « discrimination », en soulignant au passage que le Pérou n’a jamais signé aucun traité international qui l’impose et que la Constitution péruvienne ne les reconnaît pas davantage.
A lire sur le blog de Jeanne Smits.