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Culture de mort - Page 125

  • Une messe préparatoire à la gay pride

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    C’est à la paroisse Saint François d’Assise de New York, dans le cadre du « ministère gay et lesbien » de cette paroisse officiellement catholique : « Inspirés par notre foi en Jésus-Christ, et enracinés dans le charisme de saint François d’Assise, nous accueillons activement tout le monde. » « Nous célébrons de nouveau ce radical accueil à tous à notre messe de pré-Pride le 28 juin à 17h15. C’est une opportunité pour toute notre communauté paroissiale de se souvenir que le Seigneur invite tout le monde à le suivre, quelle que soit sa race, son ethnie, sa position sociale, son orientation sexuelle ou de genre. C’est aussi l’occasion pour tous d’inviter à la messe tous vos amis dont beaucoup ne se sentent pas bienvenus à la table du Seigneur pour quelque raison que ce soit, mais particulièrement s’ils sont gays ou lesbiennes. Saisissez l’occasion de porter témoignage de l’amour inconditionnel de Dieu en contactant et en invitant à revenir un frère ou une sœur qui n’est pas venu à la maison depuis longtemps. »

    Au chapitre du « ministère gay et lesbien », on lit ceci :

    « Selon les paroles de saint François d'Assise: “Nous avons été appelés à panser les blessures, à rassembler ce qui est divisé, à reconstruire ce qui tombe en ruines, et à ramener au bercail ceux qui se sont perdus." L'Accueil gay et lesbien de l’église Saint-François d'Assise est une confrérie où les croyants gays et lesbiennes sont invités à explorer leur spiritualité et à partager leur expérience, leur force, et leur espoir mutuel. Nous fournissons activement et promouvons les occasions de foi qui construisent la communauté pour ceux qui ont connu la déconnexion spirituelle. Nous nous efforçons de remplir notre mission en offrant un lieu sûr pour les événements spirituels, des activités éducatives et sociales, et une sensibilisation à la paroisse plus large et à la communauté archidiocésaine. »

    (Via le FC)

  • L’euthanasie au Québec

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     L’Assemblée nationale du Québec a adopté hier, par 94 voix contre 22, un projet de loi sur les « soins de fin de vie » qui mélange les soins palliatifs et l’euthanasie, appelée « aide médicale à mourir » (pour des cas « exceptionnels », bien sûr).

    Comme le dit Québec Hebdo, « il sera désormais possible pour certains malades d’avoir recours à des soins de fin de vie pour mourir dans la dignité. »

    Christine St-Pierre, ministre des Relations internationales, a voté contre et a déclaré :

    « Je pense qu'on ne peut pas donner le pouvoir à quelqu'un de tuer, même si c'est un médecin, même si c'est le corps médical. Pour moi, c'est une journée très triste, Ma conscience me dit que ce projet de loi là, il va à l'encontre de la morale, il va à l'encontre de la vie. C'est de l'euthanasie et je pense qu'on a enrobé le terme euthanasie comme quand on était des petits enfants et qu'on nous mettait une pilule enrobée dans le sirop. »

    Le gouvernement fédéral du Canada pourrait contester cette loi qui est contraire au code pénal canadien condamnant l’euthanasie et le suicide assisté, même si le Premier ministre du Québec prétend qu’il ne s’agit pas d’euthanasie.

  • La Slovaquie protège le mariage

    Le Parlement slovaque a adopté hier un amendement constitutionnel qui sépare la présidence de la Cour suprême de la présidence du Conseil de la magistrature, et qui spécifie que le mariage est « l’union d’un homme et d’une femme ».

    L’amendement était présenté par le gouvernement… de gauche, conjointement avec les chrétiens-démocrates qui sont dans l’opposition. Il a été voté par 102 députés sur les 128 présents (dont tous les députés socialistes), 18 ont voté contre. Les deux tiers requis ont donc été largement dépassés.

  • Le record annuel des euthanasies en Belgique

    Selon les chiffres officiels, il y eu 1.807 euthanasies en Belgique l’an dernier. Soit 27% de plus qu’en 2012, année où il y en avait eu 25% de plus que l’année précédente…

    Et il ne s’agit que de la moitié du nombre réel d’euthanasies dans le pays, selon les membres de la Commission de contrôle qui ne contrôle que ce que l’on veut bien lui donner à contrôler.

  • « What did you expect ? »

    Vous vous attendiez à quoi ? C’est au slogan de cette publicité de Schweppes que je pense en lisant les réactions justement indignées au refus de la Commission européenne de prendre en compte la pétition « Un de nous ».

    Et l’on aura remarqué avec quel mépris la Commission répond qu’elle ne tiendra pas compte de ce que pensent 2 millions d’Européens.

    Ceux qui avaient le privilège de lire Daoudal Hebdo se souviennent peut-être que j’avais suivi de près la très longue, très laborieuse et néanmoins très rocambolesque et gaguesque fabrication des règles de la méchante farce intitulée « initiative citoyenne européenne ». J’avais montré alors comment la Commission européenne avait bordé l’affaire, multipliant les obstacles pour qu’il soit extrêmement difficile d’aller jusqu’au bout d’une telle « initiative », et qu’elle ne puisse pas être suivie d’effet si elle n’est pas dans la ligne de la pensée unique européenne. Ceci étant explicite dans les règles du machin, et c’est pourquoi un recours devant la Cour européenne de Justice est voué à l’échec : il ne faut pas prendre les dictateurs de l’UE pour des imbéciles.

    What did you expect ?

  • Politique d’abord

    Le score des listes « Force Vie » est tout simplement négligeable. C’est a priori surprenant, si l’on pense à la mobilisation de la Manif pour tous, ses suites et ses ramifications, d’autant que cette mobilisation se poursuit. Sauf, donc, dans les urnes. Du moins si l’on s’en tient aux listes qui étaient censées porter le message.

    C’est que, sans doute inconsciemment pour la plupart, les électeurs pro-vie et pro-famille ont réagi selon le principe maurrassien « politique d’abord ». Un principe qui, pour ces élections, avait une valeur toute particulière. En effet, comme je l’avais signalé, la politique de la vie et de la famille ne fait pas partie des compétences européennes en l’état actuel du traité. Par conséquent il ne sert à rien d’élire des députés européens spécifiquement pro-vie et pro-famille. Il y a bien les obsessionnelles résolutions subversives, mais pour s’y opposer il suffit d’avoir des députés… d’opposition. Comme les députés nationalistes et souverainistes, dont la mission est de faire progresser la perspective d’une Europe des patries. D’une Europe d’où sera écarté le spectre d’une dictature s’étendant aux questions de la vie et de la famille.

    (Au passage, ce scrutin confirme, pour ceux qui en doutaient encore, que Christine Boutin, comme je l’ai toujours su et dit quant à moi, ne représente rien. Comme quelques autres « personnalités » alibi, elle ne peut se faire élire que soutenue par l’UMP.)

  • Scandale : la fête des mères n’est pas encore interdite !

    On apprend que dans une école de Haute Savoie on ne fait rien pour la fête des mères, et on ne fera rien pour la fête des pères. « Afin d’éviter les situations délicates pour de nombreux élèves ». Sic.

    Ce qui m’étonne est que cela est rapporté comme un fait exceptionnel, alors que ce devrait être général. Alors que la fête des mères devrait être purement et simplement interdite. Depuis le mariage pour tous, cette fête est une évidente discrimination envers les enfants qui ont deux papas. Comme la fête des pères est une évidente discrimination envers les enfants qui ont deux mamans.

    On dirait que l’idéologie officielle n’est pas encore entrée dans les têtes, et que la logique est partie en vacances… (Il est vrai que lorsque la raison est malade elle déraisonne dans tous les sens.)

  • Selon la justice, les homosexuels ne s’enfilent pas… la bague au doigt

    L’hebdomadaire Minute a été condamné à 4.000€ d’amende et 3.000€ de dommages et intérêts (à SOS Homophobie) pour sa une qui disait : "Mariage homo: bientôt ils vont pouvoir s'enfiler... la bague au doigt" et "Sida: malgré les risques ils vont vous donner leur sang".

    Le parquet considérait que la première phrase n’était pas condamnable mais que la seconde l’était.

    Le tribunal a condamné les deux titres.

    Il faudra que SOS Homophobie publie un glossaire des expressions qu’il est interdit d’utiliser quand on parle de la communauté protégée.

  • Et maintenant la Pennsylvanie…

    Un juge fédéral, saisi par cinq paires, a déclaré contraire à la Constitution des Etats-Unis la loi de Pennsylvanie qui définit le mariage comme étant un mariage. La parodie de mariage entre personnes de même sexe devient donc légale dans cet Etat.

    C’est en 1996 qu’une loi, votée à une écrasante majorité par les deux chambres de l’Etat de Pennsylvanie, avait stipulé que « le mariage est un contrat civil par lequel un homme et une femme se prennent l’un l’autre pour mari et femme », et que si les mariages entre personnes de même sexe étaient légalisés ailleurs, ils seraient nuls en Pennsylvanie.

    Le juge qui a pris la décision de donner raison au lobby s’appelle John Edward Jones III. Il est républicain, et il a été nommé juge fédéral en 2002 par George W Bush.

    Il a osé comparer l’interdiction du « mariage » homosexuel avec les lois de ségrégation raciale dans les écoles…

  • Encore un juge américain contre le peuple et la loi naturelle

    Le juge fédéral Michael McShane a décrété que la disposition constitutionnelle de l’Oregon sur le mariage violait la Constitution des Etats-Unis d’Amérique.

    En 2004, les citoyens de cet Etat avaient voté à 57% pour un amendement à la Constitution de l’Etat indiquant que « seul le mariage entre un homme et une femme est valide ou reconnu légalement comme un mariage ».

    C’est seulement en février 2013 que le lobby LGBT s’est lancé dans la bataille pour renverser la situation. Et, comme d’habitude, il s’est trouvé un juge fédéral pour lui donner raison. Sur décision de ce juge, la parodie de mariage entre homosexuels est donc désormais légale dans l’Oregon.