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  • Le cirque politique

    Le 17 juillet 2024, Ursula von der Leyen est condamnée par la Cour de Justice de l’UE.

    Le 18 juillet, elle reçoit un soutien « triomphal » du Parlement européen pour cinq ans de plus à la tête de la Commission européenne.

    *

    Dans son discours elle a réitéré sa volonté qu’il y ait un commissaire à la Défense, parce qu’il faut « une vraie défense européenne ». C’est impossible selon les traités européens. Mais les traités sont violés en permanence (Ursule en connaît un rayon) et on ose faire la leçon aux autres sur l’état de droit. La « vraie défense européenne » sonnera la fin du peu qui reste des souverainetés nationales dans l’UE.

    *

    Manon Aubry, égérie « insoumise » et co-présidente du groupe La Gauche au Parlement européen, tire à boulets rouges contre Ursule avant le vote. Petit extrait :

    Est-ce que vous avez agi pour la transparence, face à la toute-puissance des lobbies ? Non ! là aussi, plutôt que de faire primer enfin l’éthique sur le fric. Vous venez d’ailleurs de vous faire condamner, madame, par la Cour de Justice européenne pour l’opacité des contrats pour les vaccins contre le covid. Aujourd’hui, Mme von der Leyen, vous ne devriez même pas vous présenter face à nous, mais davantage face à un juge.

    Et en conclusion :

    Nous refusons de participer à la mascarade de votre coalition mortifère !

    Après le vote, elle enlace Ursule avec un grand sourire épanoui pour la féliciter. Et après cela, alors que d'autres courtisans se pressent, elle reste figée en arrière-plan avec un sourire extatique.


    Critiquée par des malveillants, l’égérie très soumise ne craint pas de répondre que c’est « un usage républicain et institutionnel », ce qui est évidemment faux. Doublement faux. Et à toujours répéter les mêmes mantras elle oublie qu’il y a six monarchies dans l’UE.

    *

    Le grain de sel de Maria Zakharova (et son unique commentaire sur tout ce cirque) :

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    Ursula Von der Leyen a déclaré qu'elle commençait à former la nouvelle composition de la CE, chaque pays de l'UE devant présenter deux candidats : un homme et une femme.

    Il me semble que les droits des personnes transgenres et non binaires sont violés.

    *

    Quelques heures plus tard, c’est à Paris le vote pour la présidence de l’Assemblée nationale. Selon le réel usage républicain, chaque votant serre la main du benjamin de l’Assemblée, qui est assesseur. Et le benjamin est RN. Les amis de Manon Aubry (et aussi la ministre Nullachier - ou un nom dans ce genre-là) refusent ostensiblement la main tendue .

    Les temps changent :

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    Ursule déconsidérée à Bruxelles est reconduite. A Paris, Macron honni par une très large majorité de Français réussit à faire réélire au perchoir la Braun-Pivert. Bref on fait des élections pour que rien ne change. Et bien entendu avec une magouille ouvertement contraire à la Constitution : la Braun-Pivert a été élue avec 13 voix d’avance. Or parmi les votants il y avait 14 ministres. Ce qui est interdit par la Constitution, article 23 : « Les fonctions de membre du Gouvernement sont incompatibles avec l'exercice de tout mandat parlementaire. »

  • Saint Vincent de Paul

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    Hymne des deuxièmes vêpres de l’office de Paris et des bréviaires qui le suivaient (l’hymne des premières vêpres est ici).

    Qui novus caelis agitur triumphus ?
    Caelitum plausum comitentur hymni ;
    Ecce lux cleri, Pater indigentum
    Aethere splendet.

    Quel triomphe réjouit le ciel ?
    Unissons nos cantiques aux voix de esprits célestes :
    le père des pauvres, la lumière du clergé,
    brille au séjour de la gloire.

    Facta, Vincenti, tua te perornant :
    Caritas aptat capiti coronam ;
    Teque, quam terris humilis parasti,
    Gloria vestit.

    Vos vertus, ô Vincent, sont votre parure :
    la charité couronne votre tête,
    et votre humilité sur la terre
    est le vêtement de votre gloire.

    Quam rudes olim populos docebas,
    Veritas nunc se tibi tota pandit ;
    Pauperi quidquid pia dextra fudit
    Reddit Olympus.

    La vérité que vous prêchiez aux peuples ignorants,
    se montre maintenant à vous sans voiles ;
    les biens que votre main charitable versa dans le sein des pauvres,
    le Ciel vous les rend.

    Te sacerdotes vel adhuc magistro,
    Optimum Christi referunt odorem :
    Pullulat per te sacra laetiori
    Vinea foetu.

    Les prêtres, formés à votre école,
    répandent la bonne odeur du Christ :
    par vous, l'Eglise, la vigne sainte,
    a la joie de produire des fruits plus abondants.

    Sed tibi quantum decus elaborant
    Virgines castae sociaeque matres !
    Pauperum gaudent, duce te fideles
    Esse ministrae.

    Mais quelle gloire ne recevez-vous pas de ces chastes vierges,
    de ces mères réunies en société !
    A votre exemple, elles se glorifient d'être
    les fidèles servantes des pauvres.

    Corde qui puro miseros levabas,
    Disce nunc votis hominum rogari,
    Te suum clamant inopes, amica
    Turba, patronum.

    Vous qui, d'un cœur si aimant, soulagiez les malheureux,
    ne soyez pas insensible à nos vœux :
    les pauvres, vos anciens amis,
    vous proclament leur patron.

    Summus aeterno sit honos Parenti ;
    Par decus Nato miseros levanti ;
    Sancte, sit compar tibi laus per omne,
    Spiritus, aevum.Amen.

    Gloire au Père éternel ;
    gloire au Fils, qui soulage les malheureux ;
    gloire au Saint Esprit,
    pendant toute l'éternité. Ainsi soit-il.

  • Triste perspective

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    Sur une autoroute près de Lvov, une affiche à la gloire de la division SS Galicie :

    Hier c’était eux, aujourd’hui c’est toi.

    A gauche sous l'écusson :

    Les 80 ans de la bataille de Brody.

    C’était effectivement en juillet 1944. Lors de cette bataille la division SS Galicie fut anéantie.

    Aujourd’hui c’est ton tour…

  • Le Napoléon Express

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    "Vous rêvez d’admirer les paysages Morbihannais au cœur de la Bretagne, Pontivy l’ancienne « Napoléonville », la vallée du Blavet ou encore la forêt de Camors et vous souhaitez voyager à bord d’anciens autorails des années 50 et 60 ? Cela est de nouveau possible avec le Napoléon Express ! Le Napoléon Express est opéré par les Chemins de Fer du Centre Bretagne (CFCB) sur une distance de 35 km."

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    On voit toujours "Napoléonville" dans la gare. Le nom a été donné par Napoléon Ier en 1804, la gare a été construite sous Napoléon III soixante ans plus tard.

    Le train circule le mercredi et le dimanche. Il s’arrête à Saint-Nicolas-des-Eaux, Saint-Rivalain, Coët Blavet à Quistinic, Lambel-Camors.

    Breizh Info ajoute :

    Une nouveauté pour cette année est l’introduction de quatre trajets aller-retour jusqu’à Auray, les 14 et 28 juillet ainsi que les 11 et 25 août. Les départs de Pontivy sont prévus à 9 h avec une arrivée à Auray à 10 h 50. Le retour s’effectuera à 14 h 15 avec une arrivée à Pontivy à 16 h 09.

    Pour ceux qui souhaitent prolonger leur voyage jusqu’à la presqu’île de Quiberon, une correspondance avec le Tire-Bouchon est disponible, nécessitant toutefois un billet TER BreizhGo Tire-Bouchon.

    Mais, malgré son nom pittoresque, le Tire-Bouchon est très moderne :

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  • L'UE jusqu’à Marioupol…

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    La Commission européenne a annoncé hier un « investissement record de 7 milliards d’euros dans des infrastructures de transport durables, sûres et intelligentes ». Sic.

    80% de la somme ira en fait aux « projets ferroviaires ». Parmi eux, « des études et des travaux visant à intégrer le système ferroviaire ukrainien dans l'UE ». L’Ukraine ne fait pas partie de l’UE, mais son système ferroviaire le sera… C’est l’intégration à marche forcée. Ce projet est évidemment illégal, contraire aux traités, mais c’est devenu la norme, et ça ne va pas s’arranger avec la nouvelle présidence d’Ursule. C’est proprement une ingérence étrangère. Sauf si en fait c’est l’UE qui fait partie de l’Ukraine, comme semble le montrer le bandeau ubuesque du compte X de la Commission européenne.

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    Sur la carte, on constate que le train de l’UE va aller jusqu’à Chisinau (en Moldavie, pays lui aussi hors UE) puis à Odessa. Il y a même une autre ligne, de Lvov à Odessa.

    Plus fort, il va aller jusqu’à Marioupol, autrement dit au cœur de la République de Donetsk…

    Naturellement c’est absurde. Sans doute est-ce un prétexte pour quelques prébendes supplémentaires dans la poche de quelques clients de l’UE à Kiev, en plus des 4,2 milliards supplémentaires qui viennent également d’être promis.

    En attendant, les palissades devant la gare de Marioupol ont été enlevées : les travaux de restauration se terminent. Avec de l’argent russe. Puisque c'est en Russie.

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  • Exorciser le Parlement européen

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    Diana Iovanovici-Șoșoacă, sénatrice de Iasi en Roumaine, présidente du parti « d’extrême droite » SOS Roumanie, a fait parler d’elle à plusieurs reprises, notamment pour avoir vigoureusement protesté contre la dictature covidienne, pour ses positions anti-UE et anti-américaines, pour sa demande véhémente de récupérer les territoires roumains occupés par l’Ukraine…

    Candidate à la prochaine élection présidentielle roumaine, les sondages la donnent en troisième position alors qu’elle avait fait 1% en 2019. Au début de sa campagne elle déclare : « Ma stratégie pour l'avenir est établie par Dieu, comme elle l'a toujours été jusqu'à présent. Elle consiste à reconquérir la souveraineté et l'indépendance de la Roumanie, et à assurer un niveau de vie décent aux Roumains en encourageant l'économie nationale. »

    Et la voilà devenue député européen. Elle a immédiatement fait scandale, lors de la réélection de la présidente du Parlement, en rayant ouvertement tous les noms sur le bulletin et en inscrivant des slogans contre l’aide à l’Ukraine, contre l’idéologie LGBT et contre « la dictature de l’UE ».

    Lors de sa première intervention dans l’hémicycle, elle a déclaré : « Il y a des démons au Parlement européen, tout comme au Parlement roumain. J'amènerai un prêtre pour consacrer les bureaux et les autres locaux. C'est mon droit d'exprimer ma foi religieuse. J’ai déjà apporté de l'encens, de la myrrhe et une icône de sainte Paraskeva. »

    Bravo. On en redemande...

    Addendum

    Lorsque Valérie Hayer a demandé à Ursule « de faire tout (son) possible pour inscrire le droit à l'IVG dans la Charte européenne des droits fondamentaux», Diana Iovanovici-Șoșoacă a bruyamment protesté, et elle s'est fait sortir du Parlement manu militari. Elle avait déjà osé protester, et se mettre une muselière, pendant le discours d'Ursule réinstallée par les députés.

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  • Natalité géorgienne

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    Dimanche dernier, plus de 1.200 enfants ont été baptisés à Tbilissi, capitale de la Géorgie, tous ayant pour parrain le patriarche de l’Eglise orthodoxe géorgienne Elie II.

    L’Eglise a décidé en 2008 de procéder à ces baptêmes spectaculaires, afin de contribuer à redresser la situation démographique catastrophique du pays : le patriarche s’engageait à devenir le parrain du troisième enfant (ou du quatrième oui du cinquième, etc., le cas échéant) de couples mariés à l’église.

    Le baptême célébré à la cathédrale de la Sainte-Trinité dimanche était le 69e du genre (car cela a lieu plusieurs fois par an). Le patriarche a actuellement plus de 48.000 filleuls…

  • Saint Camille de Lellis

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    Livre publié en 1946 pour le deuxième centenaire de la canonisation, muni de la bénédiction apostolique de Pie XII.

    Au temps de Camille, à Rome comme ailleurs, l’hôpital était l’ultime refuge pour les désespérés. Alors que les riches ou les personnes aisées étaient soignées dans leur maisons par des médecins privés, l’hôpital accueillait des pauvres de tous genres, abandonnés, vagabonds, personnes affamées et amaigries, ainsi qu’une marée de malades contagieux refusés par la société. Et lorsque ceux-ci ne pouvaient pas ou ne voulaient pas se rendre à l’hôpital, ils restaient dans leurs misérables habitations ; ou bien, lorsqu’ils n’en avaient pas, ils se réfugiaient dans les "grottes romaines, c’est-à-dire dans les anfractuosités des ruines de l’antiquité classique ou sous les arches de l’aqueduc de la campagne romaine. La société de la Renaissance les ignorait, les considérait comme les derniers et les tenait en marge. Saint Camille les recherchait ; il les assistait et en faisait "les premiers" dans un sens absolu.

    "Servir les pauvres malades, enfants de Dieu et mes frères". Pour saint Camille, le malade est vraiment un "homme", un homme concret, un homme pauvre, pauvre de biens, mais surtout pauvre du bien qu’est la santé. D’abord il "voit" cet homme, et ensuite il "discute" sur ses droits. Les "droits du malade" ne sont pas, pour lui, des principes théoriques imprimés dans les constitutions ou dans les lois, mais ce sont des "nécessités concrètes" qui exigent une réponse de la part de ceux qui sont auprès du malade. La vision chrétienne enrichit mais ne brouille pas la perception humaine intégrale du malade comme homme, de l’individu qui, même dans sa pauvreté et son infirmité, garde toujours une "dignité" unique que l’on ne peut pas supprimer.

    C’est au service de cet homme que Camille a consacré sa vie.

    Il se consacre naturellement à "tout" l’homme, pas seulement à sa "maladie". Camille a compris que c’est l’homme tout entier qui entre à l’hôpital : il ne laisse rien dehors, ni de sa personne ni de sa personnalité ; il amène quelques loques, mais aussi son âme libre et immortelle. C’est ainsi qu’il institua son ordre religieux "avec deux ailes", comme il disait, pères et frères, d’égale dignité, dans des services distincts et complémentaires, qui retrouvaient leur unité du fait de l’unicité de la personne du malade. Mais ceci, la médecine psychosomatique moderne l’a compris elle aussi, au moins en théorie ! Ce qu’il convient surtout de faire ressortir ici, c’est le caractère de service total que Camille a imposé par rapport à la personne humaine, même dans le seul domaine de l’assistance que nous appelons corporelle ou de soins médicaux: il a fixé immédiatement des règles pour répondre à toutes les nécessités de la personne, en ne réduisant pas cette assistance à des prestations cliniques essentielles mais en les étendant à toutes les exigences que le personnel soignant d’alors — et peut-être aussi celui d’aujourd’hui — aurait pu être porté à négliger.

    Lorsque, par exemple, Camille recommande de veiller à la propreté de la bouche et des dents des malades, lorsqu’il indique la manière de bien faire le lit, lorsqu’il écrit aux responsables d’un hôpital pour demander que l’on donne à chaque malade des tricots de laine ou une robe de chambre contre les rigueurs du froid, lorsqu’il recommande sur tous les tons l’hygiène dans l’environnement, il est clair que Camille vise à offrir au malade une "maison", un accueil et une assistance convenable, on pourrait dire familière, qui le soulage des désagréments et lui enlève la sensation d’être devenu un objet hors d’usage. L’hôpital doit être la maison de l’"hospitalité", avec toute l’épaisseur classique et chrétienne que comporte ce mot.

    Mais qu’en est-il des services qui étaient fournis alors dans les hôpitaux romains ? Saint Camille s’en était rendu compte lorsque, comme il a été dit plus haut, il était entré à Saint Jacques des Incurables pour soigner une plaie à la jambe dont il souffrait depuis des années et qui l’avait empêché de revêtir la bure franciscaine. Cette plaie qui ne guérissait pas le cloua à l’hôpital. Il observa autour de lui et décida en premier lieu de se mettre volontairement au service de ses frères. Il y en avait de toutes les catégories, et il choisit les plus négligés : les malades atteints du typhus, de maladies vénériennes ou de la peste. Son empressement et son dévouement suscitèrent l’estime des administrateurs qui bientôt le nommèrent "maître de maison", c’est-à-dire... directeur sanitaire et administratif ainsi que responsable de l’ensemble du personnel !

    Extrait du texte trouvé ici.

  • Liturgie russe

    Hier, fête de la translation des reliques de saint Philippe métropolite de Moscou, « thaumaturge de toutes les Russies » (et assassiné sur ordre d’Ivan le Terrible en 1569), la divine liturgie était célébrée par le patriarche Cyrille en la cathédrale de la Dormition du Kremlin de Moscou.

    Avec une ordination épiscopale. La première partie à partir de 12’30, le sacrement à partir de 48’50, au milieu du trisagion.

    C’est l’occasion d’admirer les exceptionnelles peintures murales du XVIIe siècle, abondamment filmées, et l’iconostase de 16 mètres de haut. Par exemple à partir de 29’, ou à partir de 1h47 pendant la communion du clergé.

    *

    La nuit dernière c’était à Iekaterinbourg, devant la basilique "sur le sang", la traditionnelle messe des « porteurs de la Passion » l’empereur Nicolas II, l’impératrice Alexandra, le tsarévitch Alexis, les grandes-duchesses Olga, Tatiana, Maria, Anastasia et du porteur de la Passion Eugène le médecin.

    Images de la foule immense à 21’25, 24’18, etc. (la foule qui se signe, à 1h05, les drapeaux de l'empire russe par exemple à 1h06'40)...

    Après trois heures de liturgie, on voit les plus courageux commencer la procession de 21 km jusqu'au monastère édifié sur les lieux où les dépouilles de la famille impériale avaient été jetées.

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  • Ursule

    Aujourd’hui, veille du vote du Parlement européen sur la reconduction ou non d’Ursule à la tête de la Commission européenne, le tribunal de première instance de la Cour de Justice de l’UE a publié deux arrêts qui condamnent son action dans l’affaire des « vaccins ». Voici le début du communiqué de presse :

    La Commission n’a pas donné au public un accès suffisamment large aux contrats d’achat de vaccins contre la Covid-19. Cette infraction concerne notamment les stipulations de ces contrats relatives à l’indemnisation ainsi que les déclarations d’absence de conflit d’intérêts des membres de l’équipe de négociation pour l’achat des vaccins.

    La reconduction d’Ursule, détestée jusque dans ses propres rangs, peut se jouer à quelques voix près…