Vous savez quoi ?
Il n'y en a pas un seul qui présente ses excuses pour avoir aussitôt et longuement accusé les Russes.
Il n'y en a pas un seul pour dénoncer le mensonge de Zelensky.
Telle est l'information démocratique.
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Vous savez quoi ?
Il n'y en a pas un seul qui présente ses excuses pour avoir aussitôt et longuement accusé les Russes.
Il n'y en a pas un seul pour dénoncer le mensonge de Zelensky.
Telle est l'information démocratique.
En un peu plus long ici.
Le ministre allemand de la Défense a annoncé hier soir (dimanche…) un doublement, à 8 milliards d'euros, de l'aide militaire prévue initialement par son pays pour l’Ukraine en 2024. « Cela constitue un signal fort », a-t-il dit. En effet. L'Allemagne est le principal contributeur européen au soutien à Kiev, ayant fourni jusqu’ici quelque 22 milliards d'euros d’aides diverses.
C’est une tradition, en quelque sorte. L’Allemagne a été le premier soutien financier de l’armée ukrainienne nazie de Bandera, dont la plus grande avenue de Kiev porte le nom. En 1940, les dirigeants de cette armée avaient juré loyauté au troisième Reich, au château royal de Cracovie occupé par les nazis. C’est émouvant, en fait, de voir cette fidélité. Et de voir comment, 80 ans plus tard, les chars allemands continuent d’aller se faire cramer en Ukraine.
Dans les ruines de Gaza, un soldat israélien inverti brandit un drapeau LGBT « au nom de l’amour ». Ce n’est hélas pas une blague de très mauvais goût. C’est la réalité du monde occidental actuel.
Addendum. Le compte X de l'Etat d'Israël a fait l'éloge de la chose, disant que le soldat Yoav Atzomi, membre de la communauté LGBTQ+, a voulu envoyer un message d'espoir au peuple de Gaza...
Abraham Lotych, le seul moine de la Laure des Grottes de Kiev qui ait rejoint l’Eglise du pouvoir, et qui a donc été nommé « abbé par intérim de la Laure » dont il est le seul moine, a publié cette « icône » sur Facebook. C’est tellement hideux qu’on croirait un faux. Mais c’est leur religion. Un horrible chromo sulpicien censé représenter le Christ avec une chemise brodée ukrainienne, tellement contraire à la tradition qu’il manque les inscriptions désignant le Christ de part et d’autre et dans l’auréole.
Vu sur le site de l'association des journalistes orthodoxes ukrainiens :
Lotysh a accompagné son "icône" du texte suivant : "Quel que soit le pécheur qui se trouve devant vous, ne le lapidez pas, mais souvenez-vous que Dieu veut le sauver et que le diable veut le détruire. C'est donc à chacun de nous de choisir son camp..."
Lotysh n'a pas précisé de quel côté il se situait lui-même.
Murillo (Bartholomé), ou plutôt Esteban Murillo, né à Séville en 1618, mort en 1682 ; élève de Juan del Castillo. (Ecole espagnole.)
Saint Diégo
Saint Didace, appelé Diégo par le vulgaire d'Espagne dans la Castille, et Jaime, dans l'Aragon, n'est autre que Jacques, qui naquit vers la fin du quatorzième siècle dans le bourg de Saint-Nicolas, au diocèse de Séville en Andalousie. Son goût pour les choses spirituelles, son abstinence et la pureté de ses mœurs lui firent embrasser la vie monastique; il se présenta, à cet effet, au couvent d'Aressafa, dans le territoire de Corfou, où il fut reçu à sa première sollicitation ; il observa, avec la plus grande sévérité, la règle de son institut jusqu'au 12 novembre 1463, terme de son existence.
Saint Diégo est ici représenté au moment où, après avoir cueilli quelques racines qu'il a déposées à terre, ainsi que l'outil aratoire dont il s'est servi pour les arracher, s'arrête devant le signe de la Rédemption pour prier Jésus-Christ, qu'il considérait toujours dans sa passion et dans l'eucharistie.
Le général de l'ordre de Saint-François, auquel appartient saint Diégo, entretient un cardinal des vertus austères, de l'humilité profonde et de la piété toute évangélique de saint Diégo.
Ce tableau a été envoyé au Musée, en 1846, par le gouvernement.
Ce que l’on vient de lire est extrait de la « Notice des tableaux exposés dans le musée de Toulouse, rédigée par P.-T. Suau, peintre d’histoire, inspecteur de l’Ecole des Beaux-Arts et des Sciences industrielles, membre du Bureau d’administration des Sciences et des Arts de la ville de Toulouse », 1850.
Il est amusant de voir que Diégo est le nom donné « par le vulgaire d’Espagne » à saint Didace. C’est plus proche de la réalité que ce que l’on peut lire sur des sites qui se veulent très sérieux et qui affirment que Diego vient de Didace qui vient du latin Didacus qui vient peut-être du grec didaskein, enseigner. Une étymologie qui assurément aurait fait rire notre saint franciscain, qui était quasiment analphabète. P.-T. Suau avait raison de dire que Diego « n’est autre que Jacques ». C’est en effet une déformation de Santiago (vu comme san Tiago et non comme sant Iago). L’ironie de l’histoire est qu’un clerc qui se croyait très savant, sans doute au moment de la canonisation (en 1588), ait trouvé intelligent d’inventer un Didacus dont serait dérivé Diego.
En revanche P.-T. Suau, ou le typographe, a fait une erreur en parlant de Corfou. Il s’agit de Cordoue. Quant au nom du peintre c’est Bartolomé Estéban Murillo (Estéban étant le nom de son père, Murillo de sa mère). D’autre part il aurait pu quand même signaler que Diego fut envoyé aux Canaries, où simple frère lai il dirigea le couvent, puis à Rome où il devint célèbre par les nombreuses guérisons miraculeuses qu’il accomplit, avant de revenir mourir en Espagne. Et d’accomplir post mortem quelques miracles spectaculaires.
Murillo peignit aussi un tableau intitulé "San Diego de Alcalá nourrissant les pauvres". Le titre du premier est "San Diego de Alcalá en extase devant la croix".
Il y en a un autre au Louvre intitulé "La Cuisine des Anges". Selon certains il représenterait aussi saint Diègue, mais pour le Louvre c’est "Un miracle du frère Francisco" (un frère convers inconnu par ailleurs), conformément à ce qui a pu être déchiffré de l’inscription (Dans son action, François n'a pas échoué / Si les invités sont bien servis / Eh bien, sans que le Saint ne s'en soucie / Ils diront que la nourriture vient du Ciel.).
C'était hier soir, par la Capella de Saint-Pétersbourg, le Gloria de Vivaldi dans toute son ampleur, à l'opposé des baroqueux étriqués et grinçants qui font la loi chez nous.
C’était samedi 4 novembre, fête de l’icône de la Mère de Dieu de Kazan, en la cathédrale de la Sainte Trinité de Iekaterinbourg, l’une des plus belles divines liturgies que j’ai vues retransmises par Soyouz. Rien que l’entrée de l’évêque, qui dure plus d’un quart d’heure, est somptueuse.
La divine liturgie proprement dite commence à 18’.
27’ Fils unique et Verbe de Dieu
30’ 55 « petite entrée » et bénédiction solennelle
43’ Trisagion
1h09’12 hymne des chérubins et grande entrée
1h25’18 Credo
1h30’40 Sanctus
1h33’17 Nous te chantons, nous te bénissons
1h36’25 mégalynaire (il est digne en vérité de te célébrer, ô Mère de Dieu)
1h47’30 Notre Père
1h54 chants avant la communion
2h14’12 chant de communion (Recevez le corps du Christ, goûtez à la source immortelle)
2h20’23 Nous avons vu la vraie lumière.
Curieusement ça s’arrête avant la fin, pendant la récitation du psaume 33.
A la messe, les chants sont ceux du 23e dimanche, et les oraisons, l’épître et l’évangile sont du 5e dimanche après l’Epiphanie.
"Ramassez l’ivraie pour la brûler, portez le bon grain dans mon grenier."
L’interprétation de la parabole se divise en trois parties : 1. Les semailles du froment et de l’ivraie ; 2. La conduite du maître envers l’ivraie pendant la croissance ; 3. La récolte ou moisson. Au temps de l’Épiphanie, c’est plutôt la seconde partie que nous considérions. Nous voyions le Christ, en Juge et Roi sage et patient, laisser croître et mûrir la bonne et la mauvaise semence. Mais, maintenant, à l’automne liturgique où nous avons les yeux fixés sur la fin de la vie et du monde, le Seigneur nous montre le ciel et l’enfer. L’Église soulève aujourd’hui le voile de l’au-delà ; elle nous fait jeter un regard dans l’abîme fumant de l’enfer, et aussi lever les yeux vers les bienheureux dans le ciel. En outre, l’Église nous apprend à comprendre le mystère du mal ; car, justement dans les derniers temps, à la fin du monde, le mal relèvera encore une fois la tête. Enfin nous pensons que, aujourd’hui aussi, à la messe, le Christ veut jeter dans nos âmes la bonne semence, le froment divin ; celui-ci doit croître dans une vie bien chrétienne (pensée de Pâques).
Dom Pius Parsch
On s’y attendait depuis la « visite » de deux évêques envoyés par François : « Le Saint-Père a relevé du gouvernement pastoral du diocèse de Tyler (États-Unis) Joseph E. Strickland. »
Sans donner la moindre raison. D’ailleurs les raisons de la visite apostolique n’avaient pas été données non plus.
Il est vrai qu’il est difficile pour le chef de l’Eglise catholique d’expliquer qu’il vire un évêque parce qu’il est catholique.
L’association des journalistes orthodoxes ukrainiens, qui suit d’assez près la dérive LGBT de l’Eglise de Rome, explique à ses lecteurs :
« L'évêque catholique Joseph Strickland est connu pour être farouchement opposé à l'avortement et à la propagande LGBT et estime que les hommes politiques qui soutiennent les lois sur l'avortement ne devraient pas recevoir la communion. »
« Ils ne m'arrêteront pas », avait-il affirmé en juillet. » "Ils", non, mais il y en a un seul qui pouvait, et qui l'a fait.
Mgr Strickland est un ami de la paroisse de la Fraternité Saint-Pierre à Tyler et soutenait son projet de construction d'une nouvelle église. Autre raison de le virer.
Et il était contre le « vaccin », donc contre cet « acte de charité » qu'était l'injection selon l'injonction de François.