Zelensky en 2019:
"Zelensky a déclaré que l'Ukraine ne se tiendrait pas la main tendue devant les États-Unis."
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Zelensky en 2019:
"Zelensky a déclaré que l'Ukraine ne se tiendrait pas la main tendue devant les États-Unis."
Cette fois la rumeur disait vrai : Zelensky a destitué son ministre de la Défense, Oleksiy Reznikov, « en pleine contre-offensive », comme disent, sans rire, les gazettes.
Pour la presse anglaise, c’est le dernier scandale de corruption du gang ministériel de Reznikov qui a été la goutte d’eau faisant déborder le vase. Apparemment les Anglais ne savent pas que Reznikov doit devenir l’ambassadeur d’Ukraine à Londres, si la même rumeur dit encore vrai…
Reznikov est remplacé par Roustem Oumerov, un Tatar de Crimée d’autant plus russophobe qu’il est né en exil, et qui fut boursier du Future Leaders Exchange Programme (FLEX) du gouvernement des Etats-Unis.
Roustem Oumerov a commencé sa carrière chez lifecell, l’un des trois grands opérateurs de téléphone mobile ukrainien, où il a occupé divers postes de direction tout en s’occupant d’investissements. En 2013 il a fondé avec son frère la société d’investissements ASTEM. En 2019 il a été élu député. En 2022 Zelensky l’a nommé chef du Fonds de la propriété d’Etat, l’organisme qui s’occupe des privatisations.
Il est remplacé à ce poste par Olga Pichtchanska, une amie d’enfance de Zelensky (ils habitaient sur le même palier à Krivoï Rog). Olga est ensuite aller travailler pour l’oligarque Rinat Akhmetov, tandis que Vladimir devenait un protégé de l’oligarque Igor Kolomoïsky.
Au fait, ce même samedi, Zelensky a fait mettre en prison Igor Kolomoïsky. Ou bien il prend de très gros risques pour sa vie, ou bien ce n’est qu’une mise en scène de plus. La deuxième hypothèse est évidemment la plus vraisemblable. Reznikov dégagé, Kolomoïsky en prison, Zelensky montre aux gazettes et à ses maîtres internationaux qu’il est impitoyable contre la corruption… Non sans mettre sa copine à la tête du Fonds de la propriété d’Etat…
En Mongolie, François a commencé par condamner la corruption et dire qu’il fallait sauver la planète.
Mais ça devient plus que banal.
Alors il a dit que les catholiques chinois devaient être « de bons citoyens » bien soumis au régime communiste.
Puis il a fait l’éloge de Teilhard de Chardin, qui certes était jésuite mais n’était pas chrétien, et qui outre son idéologie panthéiste fut mêlé à la supercherie évolutionniste de « l’homme de Piltdown ». Il avait même personnellement découvert une canine du soi-disant ancêtre de l’homme moderne. Mais son imposture idéologique (qui nécessitait des preuves matérielles inventées) est évidemment beaucoup plus grave. Et ce qui est plus grave est que le pape fasse l’éloge d’une pensée antichrétienne.
*
Au Brésil, le 28 août, un archevêque a donné la communion au chef d’une organisation musulmane. Puis il a longuement justifié ce sacrilège. En résumé, il n’y a pas de différence notable entre l’islam et le christianisme.
Le martyrologe romain, ce jour, commence par commémorer Moïse :
In monte Nebo, terræ Moab, sancti Móysis, legislatóris et Prophétæ.
Sur le Mont Nébo, dans la terre de Moab, saint Moïse, législateur et prophète.
Mais, à de rares exceptions près, la liturgie latine ne célèbre pas les saints de l’Ancien Testament. Moïse est commémoré également ce jour dans la liturgie byzantine, mais liturgiquement, conjointement avec l’évêque martyr d’Antioche saint Babylas. Moïse y est présenté comme qui-vit-Dieu, en un seul mot, théoptos :
Τοῦ Ἁγίου καὶ θεόπτου Μωϋσέως τοῦ Προφήτου.
Le saint et qui-vit-Dieu Moïse le Prophète.
C’est ce que souligne le premier stichère des vêpres concernant Moïse :
Dans l'ouragan tu contemplas, autant qu'il te fut possible, l’Incorporel, dans la nuée, Moïse, tu as vu l’Immatériel ; la gloire suprême te rendit semblable à Dieu, au charnel Israël tu servis de législateur ; car ce n’est pas un esprit terrestre qui aurait pu pénétrer les mystères divins, mais la grâce est donnée à ceux qui voient les choses d'en-haut.
Le théotokion de la première ode des matines ramasse en une seule phrase la vision de Dieu, celle du buisson ardent comme symbole de l’enfantement virginal du Christ Dieu, et la vision du Christ par-delà les siècles :
Moïse fut stupéfait de contempler en premier lieu l'étonnante vision, la flamme et le buisson par leur étrange union préfigurant le Dieu né de la Vierge Mère, sans corruption, celui que, franchissant les siècles, il vit aussi dans la chair.
Quelques impies en sont venus à ce degré de démence que d’oser trouver à redire dans ces paroles du Sauveur. Il ne devait pas, disent-ils, proposer aux hommes l’exemple des oiseaux, puisqu’il voulait porter les hommes à agir librement et volontairement, au lieu que les oiseaux n’agissent que par l’instinct et le mouvement de la nature. Que répondre à cela sinon que nous pouvons acquérir par la volonté ce que la nature a donné aux oiseaux ? Aussi Jésus-Christ, ne dit pas : Considérez que les oiseaux du ciel volent, parce que nous ne pouvons pas les imiter en cela, mais qu’ils n’ont point de soin de leur nourriture, ce que nous pouvons faire aisément si nous le voulons.
L’exemple des saints qui ont vécu selon ce précepte en est une preuve. Admirable sagesse du divin Législateur qui pouvant nous proposer l’exemple de tant d’excellents hommes, comme de Moïse, d’Elie, de saint Jean, et de tant d’autres, qui ne se sont mis nullement en peine de trouver de quoi se nourrir, aime mieux se servir de celui des oiseaux, comme plus capable de frapper l’esprit de ses auditeurs et de ses disciples. Car s’il leur eût donné ces hommes de Dieu pour modèle, ils lui eussent peut-être répondu qu’ils n’étaient pas encore arrivés comme ces saints, au comble de la vertu. Mais en ne leur proposant que l’exemple des oiseaux, ils ne pouvaient pas s’excuser, et ils devaient plutôt rougir de ne pouvoir pas les imiter.
Il imite encore en ce point l’ancienne loi, qui renvoie quelquefois les hommes à l’exemple de l’abeille, de la fourmi, de la tourterelle, et de l’hirondelle. Et ce n’est pas une petite preuve de la gloire, et de la grandeur de l’homme, de pouvoir imiter par le choix libre de sa volonté ce que ces animaux font par la nécessité de l’instinct de la nature. Si donc Dieu prend tant de soin des choses qu’il a créées pour nous, combien en prendra-t-il plus de nous-mêmes ? S’il veille tant sur les serviteurs, combien veillera-t-il plus sur le maître ? C’est pourquoi après avoir dit : "Regardez les oiseaux du ciel" il n’ajoute point : que ces oiseaux ne s’occupent point à des commerces et à des trafics injustes, parce qu’il semblerait n’avoir eu en vue que les hommes les plus méchants et les plus avares ; mais seulement "qu’ils ne sèment et qu’ils ne moissonnent point".
Quoi donc ! me direz-vous, voulez-vous nous empêcher de semer ? Jésus-Christ ne défend point de semer ; mais il défend d’avoir trop de soin de ce qui est même le plus nécessaire. Il ne défend point de travailler, mais il ne veut pas qu’on travaille avec défiance, et avec inquiétude. Il vous promet donc, et il vous commande même de vous nourrir ; mais il ne veut pas que ce soin vous tourmente, et vous embarrasse l’esprit. David avait longtemps auparavant marqué cette vérité obscurément : "Vous ouvrez votre main, et vous remplissez de bénédiction tout ce qui a vie." (Psaume 144.) Et ailleurs : "Dieu donne aux animaux et aux petits des corbeaux la nourriture qu’ils lui demandent." (Ps. 146.)
Vous me direz, peut-être, quel est l’homme qui puisse s’exempter de ces soins ? Ne vous souvenez-vous point de tant de justes que je viens de vous nommer ? Ne savez-vous pas encore que le patriarche Jacob sortit nu de son pays et qu’il dit : "Si le Seigneur me donne du pain pour manger et des habits pour me couvrir", etc. (Gen. 28.) Ce qui marque assez qu’il n’attendait point sa nourriture de ses soins, mais de Dieu seul. C’est ce que les apôtres ont fait depuis en quittant tout et ne s’inquiétant de rien. On a vu ces cinq mille personnes ensuite, et ces trois mille autres pratiquer la même chose. Si après toutes ces raisons et tous ces exemples vous ne pouvez vous résoudre à vous décharger de ces soins qui sont comme des chaînes qui vous accablent, reconnaissez au moins combien ils vous sont inutiles, et que cette inutilité vous porte à vous en dégager. "Car qui est celui d’entre vous qui puisse avec tous ses soins ajouter à sa taille naturelle la hauteur d’une coudée ?" Il se sert de la comparaison d’une chose claire, pour en faire comprendre une qui est obscure et cachée. Comme avec tous vos soins, dit-il, vous ne pouvez faire croître votre corps, vous ne pouvez de même avec toutes vos inquiétudes, quelque nécessaire que vous les croyiez, vous assurer votre nourriture. Ceci nous fait donc voir que ce ne sont point nos soins particuliers, mais la seule providence de Dieu qui fait tout dans les choses mêmes où nous paraissons avoir plus de part : que si Dieu nous abandonnait, rien ne nous pourrait soutenir, et que nous péririons avec tous nos soins, toutes nos inquiétudes, et tous nos travaux.
Saint Jean Chrysostome, homélie 21 sur saint Matthieu.
Un tweet hongrois daté d’hier :
Aujourd'hui est un mauvais jour...
À partir d'aujourd'hui, l'enseignement en langue hongroise en Transcarpatie est supprimé et 15.000 enfants de langue maternelle hongroise seront contraints d'apprendre l'ukrainien.
C'est ainsi que Zelensky nous remercie d'avoir permis à 5.000 enfants ukrainiens d'étudier dans nos écoles et pour les milliards avec lesquels nous le soutenons.
(Rappel. Le ministère russe de l’Education a publié des livres de classe en ukrainien, destinés aux enfants de la minorité ukrainophone des « nouvelles régions » (Donbass, etc.), comme il en existe dans les langues des autres parties de la Fédération de Russie. Une loi sur l’enseignement des langues maternelles à l’école, signée en 2018 par Vladimir Poutine, donne aux parents la possibilité de choisir la langue de l’enseignement lors de l’inscription de l’enfant à la première puis à la cinquième année.)
La Préfecture de police de Paris a interdit un « rassemblement » prévu ce jour à Thiais « en hommage à Pierre Sidos ».
Il s’agissait d’un discret rendez-vous devant la tombe de Pierre Sidos dans le cimetière de Thiais. Mais la dictature macronicodarmaniste interdit désormais d’aller sur une tombe quand la personne enterrée ne lui plaît pas.
On pense ce qu’on veut de Pierre Sidos, qui avait de bons et de moins bons côtés, mais il est évident qu’un hommage sur sa tombe pour le troisième anniversaire de sa mort n’est une menace pour personne.
Il y avait des fourgons de police à l’entrée du cimetière, et Yvan Benedetti, qui fut le successeur de Sidos à l’Œuvre française, a été interpellé…
Rappelez-vous d’abord la prophétie de Porochenko :
« Nous aurons un travail, eux n'en auront pas. Nous aurons des retraites, ils n'en auront pas. Nous aurons des aides pour les gens, les enfants et les retraités, ils n'en auront pas. Nos enfants iront dans les écoles primaires et maternelles, les leurs resteront assis dans leurs caves. Parce qu'ils ne sont capables de rien faire ! »
Voyez maintenant le nouveau jardin public de Lougansk. Inauguré le 28 août.
Et l’école n°9 de Marioupol, restaurée grâce au jumelage avec Saint-Pétersbourg, comme on le voit à 3’03.
L’affiche dit :
23-24 septembre
Au VDNG, pavillon 4
L’événement principal de cet automne
La Foire ukrainienne du cannabis 2023
Au profit des Forces armées d’Ukraine !
Et ce n’est pas confidentiel, puisque c’est au VDNG, à savoir le Centre national des expositions. Ici :
(VDNG veut dire: Exposition des réalisations de l'économie nationale...)
Pour en savoir plus, le site de « Cannafair » détaille la fête : c’est la première édition ukrainienne, sur le modèle de celles qui existent dans d’autres pays d’Europe. Il y a un restaurant et un « espace de relaxation et de plaisir ».
« Toutes les entreprises de cannabis d’Ukraine sont réunies sous le même toit » :
Début de la « Loi fondamentale » (constitution) hongroise (les premiers mots sont aussi ceux de l’hymne national) :
Que Dieu bénisse les Hongrois !
Profession de foi nationale
Nous, membres de la Nation hongroise, au début du nouveau millénaire, déclarons avec le sens des responsabilités pour tous les Hongrois ce qui suit :
Nous sommes fiers que notre Roi, saint Étienne, il y a 1 000 ans, ait bâti l'État hongrois sur des fondations solides et ait fait de notre patrie une partie de l'Europe chrétienne ;
...
La couronne de saint Etienne se trouve au centre du hall du Parlement de Budapest.