Un tweet hongrois daté d’hier :
Aujourd'hui est un mauvais jour...
À partir d'aujourd'hui, l'enseignement en langue hongroise en Transcarpatie est supprimé et 15.000 enfants de langue maternelle hongroise seront contraints d'apprendre l'ukrainien.
C'est ainsi que Zelensky nous remercie d'avoir permis à 5.000 enfants ukrainiens d'étudier dans nos écoles et pour les milliards avec lesquels nous le soutenons.
(Rappel. Le ministère russe de l’Education a publié des livres de classe en ukrainien, destinés aux enfants de la minorité ukrainophone des « nouvelles régions » (Donbass, etc.), comme il en existe dans les langues des autres parties de la Fédération de Russie. Une loi sur l’enseignement des langues maternelles à l’école, signée en 2018 par Vladimir Poutine, donne aux parents la possibilité de choisir la langue de l’enseignement lors de l’inscription de l’enfant à la première puis à la cinquième année.)
Commentaires
Bientôt Zizilensky va imposer l'hébreu dans toute l'Ukraine, vivement que les Russes en finissent. Cela servira de leçon au gouvernement hongrois de soutenir des nazis. Qu'ils demandent aux Russes de libérer la Transcarpatie.
Je ne comprends pas bien comment des nazis pourraient promouvoir l'hébreu !!!
C'est une boutade, mais pas tout à fait. L'ukronazi Zizilensky étant juif et cherchant à mettre à feu et à sang l'Ukraine en provoquant les minorités et même la majorité, pourquoi pas imposer l'hébreu? L'Ukraine n'est-elle pas Israël de l'est?
On ne comprend pas non plus comment ce président Zizilensky (d'origine judéo-etc.) peut accepter d'être conduit et/ou de conduire des ukronazis.
Faut croire que la soupe est très très bonne.
Tout le monde connaît la citation de Groucho Marx qui amusait tant Jean d'Ormesson : "Je ne ferais jamais partie d'un club qui m'accepterait pour membre". Remarquons au passage que c'est la définition parfaite de la judéité.
Son corollaire logique est : Je m'assurerai le contrôle de tous les clubs susceptibles de ne pas m'accepter pour membre.
J'aime bien aussi la définition du judaïsme que proposait Jean-François Dérec : "Il y a un seul Dieu et on n'y croit pas."