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  • On ira jusqu’au fond du trou de la décadence

    Le gouvernement a donné son feu vert pour l’ouverture à Paris d’une « salle de shoot ». C’est la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et toxicomanies qui en sera chargée.

    J’avoue ne pas comprendre comment le gouvernement peut légalement ouvrir un local ouvertement destiné à la consommation de drogues illégales, et en plus sous la supervision de l’organisme chargé de lutter contre la drogue…

    Mais assurément on n’en est plus là… Une fois qu’on a légalisé le meurtre des petits enfants et quand on en est à faire croire que des personnes de sexe différent peuvent se marier, il va de soi qu’on peut légalement s’injecter de l’héroïne, là où le gouvernement dit qu’on peut le faire, de façon saine, citoyenne et certainement durable…

  • Réponse à Mgr Paglia

    De la Congrégation pour la doctrine de la foi (cardinal Ratzinger), le 28 mars 2003

    Là où l'État assume une politique de tolérance de fait, n'impliquant pas l'existence d'une loi qui accorde explicitement une reconnaissance légale à ces formes de vie, différents aspects du problème méritent d'être soigneusement discernés. La conscience morale exige d'être, en chaque occasion, témoin de la vérité morale intégrale à laquelle sont contraires aussi bien l'approbation des relations homosexuelles que la discrimination injuste vis-à-vis des personnes homosexuelles. Seront donc utiles des interventions discrètes et prudentes, dont le contenu pourrait, par exemple, être le suivant: clarifier l'usage instrumental ou idéologique que l'on peut faire de cette tolérance; affirmer clairement le caractère immoral de ce type d'union; rappeler à l'État la nécessité de contenir le phénomène dans des limites qui ne mettent pas en danger le tissu de la moralité publique et surtout de ne pas exposer les jeunes générations à une conception erronée de la sexualité et du mariage qui les priverait des défenses nécessaires et qui contribuerait, en outre, à la diffusion du phénomène lui-même. À ceux qui, sur la base de cette tolérance, veulent procéder à la légitimation de droits spécifiques pour les personnes homosexuelles qui cohabitent, il faut rappeler que la tolérance du mal est bien autre chose que son approbation ou sa légalisation.

    Lorsqu'on est confronté à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles, ou au fait d'assimiler juridiquement les unions homosexuelles au mariage, leur donnant accès aux droits qui sont propres à ce dernier, on doit s'y opposer de manière claire et incisive. Il faut s'abstenir de toute forme de coopération formelle à la promulgation ou à l'application de lois si gravement injustes, et autant que possible ne pas coopérer matériellement à leur application. En la matière, chacun peut revendiquer le droit à l'objection de conscience.

     

    (…) il y a de bonnes raisons pour affirmer que de telles unions sont nuisibles pour le juste développement de la société humaine, et qu'elles lui nuiraient dans la mesure où augmenterait leur incidence effective sur le tissu social.

     

    L'argumentation selon laquelle la reconnaissance juridique des unions homosexuelles serait nécessaire pour éviter que des homosexuels vivant sous le même toit ne perdent, par le simple fait de leur vie ensemble, la reconnaissance effective des droits communs qu'ils ont en tant que personnes et en tant que citoyens, n'est pas vraie. En réalité, ils peuvent toujours recourir – comme tous les citoyens et sur la base de leur autonomie privée – au droit commun pour régler les questions juridiques d'intérêt réciproque. Ce serait par contre une injustice grave que de sacrifier le bien commun et le droit de la famille, pour obtenir des biens qui pourraient et devraient être protégés par des moyens non nocifs pour l'ensemble du corps social.

     

    L'Église enseigne que le respect envers les personnes homosexuelles ne peut en aucune façon conduire à l'approbation du comportement homosexuel ou à la reconnaissance juridique des unions homosexuelles. Le bien commun exige que les lois reconnaissent, favorisent et protègent l'union matrimoniale comme base de la famille, cellule primordiale de la société. Reconnaître légalement les unions homosexuelles ou les assimiler au mariage, signifierait non seulement approuver un comportement déviant, et par conséquent en faire un modèle dans la société actuelle, mais aussi masquer des valeurs fondamentales qui appartiennent au patrimoine commun de l'humanité. L'Église ne peut pas ne pas défendre de telles valeurs pour le bien des hommes et de toute la société.

  • Et un petit coup de poignard de plus

    Vous en reprendrez bien un petit peu...

    Radio Vatican rend compte des propos de Mgr Paglia:

    L’Eglise ne mène pas de bataille contre le « mariage pour tous »

    (Mgr Paglia félicite les évêques français d'avoir "ouvert le débat"...)

  • Le coup de poignard de Mgr Paglia. HALLUCINANT !

    Mgr Vincenzo Paglia est le président du conseil pontifical pour la famille, ce que les gazettes traduisent par « ministre de la Famille du pape ».

    Hier, au cours d’une conférence de presse, « pour la première fois dans l’histoire de l’Eglise » comme le soulignent les journaux italiens, il a ouvertement demandé la reconnaissance juridique des « couples homosexuels ». Ce qui permet au Point de titrer : "Le Vatican reconnaît le droit des couples gays".

    Parce que, a-t-il dit, selon Le Point, il existe « toutes sortes d’unions familiales ». Sic. Et « la politique doit sereinement s’en occuper ». Sic.

    Il explique :

    « Le non de l’Eglise au mariage gay n’est pas un fait religieux : la Constitution italienne en parle clairement, mais avant cela il y avait le droit romain, qui a établi ce qu’est le mariage. Et Giorgio Gaber dit que les hommes et les femmes sont destinés à rester différents, parce que sans deux corps différents et deux pensées différentes il n’y a pas d’avenir. Mais cela ne veut pas dire que nous (sic) ne devrions pas reconnaître les droits des couples non mariés, y compris homosexuels. En effet, il est temps que le législateur s’en préoccupe. »

    On appréciera le fait de se fonder, pour exprimer la doctrine traditionnelle, non sur le magistère, mais sur un… chanteur, apparemment célèbre en Italie, ce qui n’en fait pas vraiment un docteur de l’Eglise…

    Et ce n’est pas tout. Mgr Paglia dénonce le fait que l’homosexualité soit un délit dans certains pays et « souhaite que nous nous battions contre ça ».

    Faut-il rappeler aussi à Mgr Paglia le Catéchisme de l’Eglise catholique ? « Les actes d’homosexualité sont intrinsèquement désordonnés. Ils sont contraires à la loi naturelle. Ils ferment l’acte sexuel au don de la vie. Ils ne procèdent pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable. Ils ne sauraient recevoir d’approbation en aucun cas. »

    Le délit, Mgr Paglia, est une infraction aux lois. Le Catéchisme dit clairement que l’acte homosexuel est une infraction à la loi morale naturelle.

    Pour faire bonne mesure, Mgr Paglia déclare qu’il faut trouver rapidement une solution au problème de la communion des divorcés remariés et il ose se fonder pour cela sur un propos du pape dans son discours au tribunal de la Rote sur « l’absence de foi ». Il s’agit de l’absence de foi lors du consentement, qui pourrait faire conclure à la nullité du mariage, et non à la possibilité de communier pour les divorcés remariés.

  • Le totalitarisme en marche

    Cet homme fait partie de l’avant-garde du totalitarisme homosexualiste qui s’installe :

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    Il s’appelle Dominique Rousseau. Il est le maire de Bergerac. Il a interdit sur sa commune la distribution des tracts de la Manif pour tous.

  • Ils n’ont pas honte…

    Une fois de plus, les fonctionnaires de l’Union européenne sont en grève aujourd’hui. Deux jours avant un débat sur le budget, où plusieurs pays vont demander, de nouveau, une modération sur les salaires des fonctionnaires européens au moment où les Etats membres sont obligés d’imposer à leurs citoyens des mesures d’austérité, parfois drastiques.

    Dimanche, le quotidien allemand Die Welt a rappelé que des milliers de fonctionnaires européens ont un salaire mensuel de base (18.370 €) plus élevé que celui de Mme Merkel (16.359 €).

    Ça n’a pas plu du tout à Bruxelles…

  • Elle est idiote ou elle le fait exprès ?

    Nathalie Kosciusko-Morizet annonce qu’elle s’abstiendra sur la loi de destruction du mariage.

    Elle explique qu’elle est favorable au mariage des paires, mais qu’elle ne veut absolument pas de la PMA et de la GPA.

    Est-ce que quelqu’un pourrait expliquer à la sauterelle sans cervelle que la loi sur le « mariage » homosexuel implique forcément, que ça y soit indiqué ou non, immédiatement la PMA, et à (court) terme la GPA ?

    (Oui, je sais: il est probable qu'elle s'en moque éperdument et qu'elle raconte cela pour apparaître "gay friendly modérée" dans le cadre des prochaines municipales à Paris.)

  • Ils sont pitoyables

    Les députés de l’opposition sont là pour s’opposer. Particulièrement quand il s’agit de lois contre nature. Mais une centaine de députés opposés à la loi de destruction du mariage n’étaient pas là, samedi, quand a eu lieu le vote de l’article 1.

    Ce qui fait que cet article 1 qui institue l’impossible « mariage » homosexuel a été adopté par « 70% des députés » (présents) : une très large majorité, grâce à l’absence des opposants qui ne s’opposent pas.

    L’assistant de Marion Le Pen-Maréchal a expliqué que :

    - premièrement, la gauche étant majoritaire « il est donc vain de déposer un bulletin de vote qui n'aurait aucun effet sur le dénouement du débat parlementaire ». Sic. Il est donc vain de voter contre quoi que ce soit puisque de toute façon les socialistes sont majoritaires…

    - deuxièmement il y avait des manifestations contre le projet de loi, et c’est « beaucoup plus utile » qu’un vote « au final purement symbolique ». Sic. Voter contre l’article qui institue le prétendu « mariage » homosexuel, c’est « purement symbolique ». Mais le rôle d’un député est de voter les lois, pas de manifester dans les rues d’Avignon le jour où l’on vote un article crucial à Paris.

  • Inde: une ONG catholique demande d’agir contre les extrémistes hindous

    Le 1er février, le Catholic Secular Forum (CSF) a demandé au ministère fédéral indien de l’Intérieur d’interdire deux organisations appartenant à l’aile la plus extrémiste de la mouvance hindouiste, responsables de nombreuses attaques contre les chrétiens. Il s’agit de Sanathan Sanstha (‘Forum éternel’) et Abhinav Bharat (‘Inde nouvelle’), affiliées au RSS (Rashtriya Swayamsewak Sang, ‘Corps national des volontaires’), qui fédère les organisations prônant l’hindutva (l’hindouité) et soutient le BJP (Bharatiya Janata Pary, ‘Parti du peuple indien’), vitrine politique du nationalisme hindou.

    Il se trouve que le 20 janvier dernier, lors d’une réunion du Parti du Congrès, le ministre de l’Intérieur, Sushil Kumar Shinde, a cité le « terrorisme hindou » parmi les « menaces » sécuritaires qui affectent le pays - ce qui a provoqué une polémique, le BJP demandant immédiatement la démission du ministre. Mais deux jours plus tard, c’est le ministre de l’Intérieur du Maharashtra qui demandait au gouvernement fédéral l’interdiction du Sanathan Sanstha et Abhinav Bharat…

    Aux côtés du directeur du CSF Joseph Dias se tenait Michael Saldanha, membre du CSF, ancien juge à la Haute Cour de Bombay et du Karnataka. Il a pris la parole pour dénoncer la « timidité » des responsables des Eglises chrétiennes face aux attaques visant les chrétiens. « La communauté chrétienne est devenue une cible facile parce que nos cardinaux, nos évêques et notre clergé n’osent pas protester dans les termes les plus fermes auprès du gouvernement », a-t-il affirmé, ajoutant que si les responsables des Eglises se montraient déterminés à « exiger une tolérance zéro » face aux attaques dont sont victimes les chrétiens, « les violences antichrétiennes, qui pour le moment vont croissant, diminueraient de manière drastique ».

    (Eglises d’Asie)

  • Enlevée, violée, torturée

    Une fois encore, au Pakistan, une jeune chrétienne d’une famille pauvre a été enlevée, violée et torturée par de riches musulmans. Elle s’appelle Fouzia Bibi. Elle a 15 ans. Alors qu’elle revenait de faire une course à la ville pour le propriétaire terrien chez qui elle travaille, elle a été enlevée par deux personnages influents du secteur qui l’ont violée et torturée à plusieurs reprises avant de l’abandonner inconsciente dans la rue. Son père a voulu porter plainte, malgré les menaces des violeurs. La police a refusé. Il s’est alors adressé à des pasteurs anglicans qui ont contacté une ONG, laquelle a réussi à ce qu’une plainte soit déposée.

    Les jeunes chrétiennes sont considérées comme des marchandises par les musulmans. On estime que 700 d’entre elles sont ainsi violées chaque année.

    (Fides)