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  • Les trois nonnes de Walsingham

    Trois religieuses du prieuré anglican Notre-Dame de Walsingham ont déclaré qu'elles ont quitté le prieuré « pour une période de discernement avec l’intention de rejoindre l’ordinariat quand il sera établi ».

    Damian Thompson indique que selon une source de l’ordinariat en gestation, « lorsque ces religieuses ont formulé le souhait de rejoindre l’ordinariat, on leur a demandé de partir sans rien prendre avec elles ».

    (Walsingham fut le grand centre de pèlerinage anglais au moyen âge. Il était appelé le Nazareth anglais, parce qu’y avait été construite une maison de la Sainte Famille sur les indications d’une mystique qui avait des visions de la Sainte Vierge. Il s’y produisit de nombreux miracles. Tout y fut détruit par Cromwell, et la statue de Notre Dame fut brûlée. En 1897, Léon XIII bénit une nouvelle statue « pour l’ancien sanctuaire restauré de Notre-Dame de Walsingham ». Deux ans pus tôt, une anglicane convertie au catholicisme avait racheté la Slipper Chapel (qui était la dernière étape du pèlerinage avant Walsingham) et l’avait restaurée. Les pèlerinages, catholiques, reprirent et se développèrent. Le lieu devint le « sanctuaire national catholique de Notre-Dame de Walsingham ». En 1931, des anglicans établirent un « sanctuaire anglican de Notre-Dame de Walsingham » et commencèrent à organiser des pèlerinages…)

  • La propagande de la Commission européenne auprès des enfants : elle efface le christianisme

    La Commission européenne a édité un agenda, à trois millions d’exemplaires, qu’elle offre aux collégiens pour Noël. L’agenda comprend bien sûr 51 pages de propagande européiste. Mais le plus remarquable est qu’il ne fait allusion à aucune fête chrétienne, pas même à… Noël. En revanche sont indiquées les fêtes musulmanes, juives, hindoues, sikhs, et d’autres encore, et les fêtes inventées par l’Union européenne.

    La porte-parole de la COMECE, Johanna Touzel, trouve cela « ahurissant », mais elle ajoute : « C’est une étrange omission. J’espère que ce n’était pas intentionnel. » Sic.

    Un porte-parole de la Commission a dit que c’était une « bourde » et que dans les prochaines éditions il n’y aurait… aucune fête religieuse.

    (Telegraph)

  • L'Eglise orthodoxe grecque dénonce la tutelle de l’UE et du FMI

    Un long message des évêques orthodoxes grecs sera lu dans les églises dimanche. Extraits :

    "Notre pays semble ne plus être libre mais être régi par ses bailleurs de fonds… Sur le plan social, des remises en cause de droits et données sont entreprises, avec comme argument que ce sont des mesures imposées par nos créanciers", comme si "le pays était sous occupation". La faute en revient aux responsables politiques, "les mêmes depuis des décennies (...) dont le seul but était d'exercer le pouvoir", au mépris "des intérêts du peuple et du pays". Mais aussi aux Grecs, qui ont été "irresponsables en se livrant à l'enrichissement facile et à l'hédonisme", et qui doivent revenir à l’Eglise et apprendre à pratiquer "l'ascèse" face au consumérisme.

  • A Bethléem

    Benoît XVI aux étudiants de Rome :

    "A Bethléem se croisent l'aujourd'hui de l'homme et l'éternité de Dieu pour entreprendre ensemble un dialogue et une intense communion."

  • Le Saint-Siège dénonce la prétendue assemblée des catholiques chinois

    Et il s’en prend au gouvernement chinois avec une vigueur très peu diplomatique. Ah, quand Rome ose parler clair…

  • Benoît XVI et les crucifix en Italie

    En recevant les lettres de créances du nouvel ambassadeur d’Italie près le Saint-Siège, Benoît XVI a ouvertement apporté son soutien au gouvernement italien contre la Cour européenne des droits de l’homme dans l’affaire des crucifix dans les salles de classe :

    "L'exercice adéquat et la reconnaissance correspondante de ce droit [à la liberté religieuse] permettent à la société d'approuver les ressources morales et l'activité généreuse des croyants. On ne peut donc pas imaginer poursuivre un authentique progrès social en perpétrant une mise à l'écart voire un refus explicite du facteur religieux comme on a tendance à le faire aujourd'hui de différentes façons. L'une d'elles est par exemple la tentative d'éliminer des lieux publics l'exposition de symboles religieux, le crucifix en premier, qui est sans doute le symbole, par excellence, de la foi chrétienne, mais qui, en même temps, parle à tous les hommes de bonne volonté et, en tant que tel, n'est pas un facteur de discrimination". A ce propos, Benoît XVI a remercié le gouvernement italien d'avoir agi "conformément à une vision correcte de la laïcité et à la lumière de son histoire, sa culture et sa tradition, trouvant de plus le soutien d'autres nations européennes."

    Il a également remercié le gouvernement italien qui est souvent le seul, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Franco Frattini, à dénoncer les persécutions anticatholiques dans le monde :

    "Alors que certaines sociétés tentent de mettre à l'écart la dimension religieuse, de récentes informations témoignent de ce qu'aujourd'hui sont commises des violations ouvertes à la liberté religieuse. Face à cette douloureuse réalité, la société italienne et ses autorités ont fait preuve d'un intérêt particulier pour le sort de ces minorités chrétiennes qui, en raison de leur foi, subissent des violences et sont discriminées ou contraintes à une émigration forcée vers leur patrie."

  • L’exode des chrétiens d’Irak

    "Depuis l'attaque du 31 octobre contre une église à Bagdad et les attaques ciblées ultérieures, les communautés chrétiennes de Bagdad et de Mossoul ont entamé un lent mais régulier exode", a expliqué une porte-parole du HCR, Melissa Fleming, lors d'un point presse. "Quelque 1.000 familles sont arrivées au Kurdistan depuis novembre", et elle estime que des "milliers" d'entre eux ont fui leur foyer pour se réfugier dans d'autres régions d'Irak ou à l'étranger.

    "Nos bureaux dans les pays voisins en Syrie, Jordanie et Liban constatent un nombre croissant de chrétiens irakiens qui arrivent et contactent le HCR pour se faire enregistrer et demander de l'aide", a-t-elle ajouté. "Les églises et les organisations non gouvernementales nous ont avertis de l'arrivée de nouvelles personnes ces prochaines semaines."

    (AFP)

  • Les Turcs attaquent

    Plusieurs centaines de sites de l'enseignement catholique en Bretagne ont été piratés, les internautes y découvrant à la place des pages d’accueil une carte de la Turquie en rouge, avec le croissant et l'étoile et la mention "1923Turk-grup".

    L’enseignement catholique fait semblant d’avoir été la cible de « hackers » anonymes dont le seul but est de « semer la pagaille ».

    Mais « 1923Turk-grup » n’en est pas à sa première action. Il a déjà piraté d’autres sites, en mettant la photo d’Atatürk (1923 est l’année de son arrivée au pouvoir) ou le drapeau turc avec ce message :

    "Qui sommes-nous?

    Nous sommes les soldats fantômes Turcs du cybermonde. Nous avons juré de protéger notre drapeau dans le cybermonde.

    Nous serons le cauchemar de ceux qui reconnaissent les revendications du soi-disant génocide Arménien, qui soutiennent les organisations terroristes, ou qui publient de la pédopornographie.

    Nous serons votre ange de la mort jusqu'à ce que vous nous respectiez."

  • L’amendement au traité européen

    Le Conseil européen s’est mis d’accord hier soir sur une modification du traité concernant l’aide aux pays en difficulté. L’amendement est ainsi libellé :

    "The member states whose currency is the euro may establish a stability mechanism to be activated if indispensable to safeguard the stability of the euro area as a whole. The granting of any required financial assistance under the mechanism will be made subject to strict conditionality."

    Oui, le seul texte que l’on ait ce matin est en anglais. On le trouve dans le communiqué du président Herman Van Rompuy, uniquement en anglais.

    La traduction donne à peu près ça : « Les Etats membres dont la devise est l’euro peuvent établir un mécanisme de stabilité qui sera activé si cela s'avère indispensable pour sauvegarder la stabilité de l'euro dans son ensemble. L'octroi de toute nécessaire aide financière au titre du mécanisme sera soumis à une stricte conditionnalité. »

    Herman Van Rompuy précise que cet amendement n’accroît pas les compétences de l’Union et que « tout le monde est tombé d’accord pour utiliser la procédure de révision simplifiée ». Autrement dit l’amendement devra seulement être formellement adopté à l’unanimité par les chefs d’Etat et de gouvernement, qui viennent de le rédiger. Non seulement les peuples n'ont pas le droit à la parole, mais même les parlements sont hors jeu...

  • Pas de « droit » à l'avortement, dit la CEDH

    La Cour européenne des droits de l'homme, par un arrêt définitif rendu un an après l'audience à Strasbourg le 9 décembre 2009, vient de reconnaître le droit de l'Irlande de protéger la vie de l'enfant à naître par une législation propre, même si cette législation va à l'encontre du « consensus » largement constaté en faveur d'un « droit » à l'avortement, variable selon les pays, dans la grande majorité des autres pays du Conseil de l'Europe.

    La reconnaissance d'un droit de l'enfant à naître, dût-il être mis en balance avec celui, supposé, de la mère, constitue une bonne surprise et même une première devant la CEDH qui au fil des décisions parcellaires avait institué une tendance inverse.

    A lire sur le blog de Jeanne Smits.