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  • Pentecôte

    Le cinquantième jour après la Pâque, c'est-à-dire une semaine de semaines (7 x 7 jours) après l'immolation de l'agneau pascal, marquant la sortie d'Egypte sous la conduite de Moïse, les juifs célébraient le moment où Dieu, sur le Sinaï, remit à Moïse les Tables de la Loi.

    En ce jour donc de la Pentecôte, le cinquantième jour après la Pâque du Seigneur, les disciples reçurent, non plus les tables de pierre de la Torah, mais le Saint-Esprit, la source de la Loi, la loi de la grâce.

    C'est ce à quoi fait allusion saint Jean à la fin du prologue de son Evangile :

    « Oui, de sa plénitude nous avons tous reçu, et grâce sur grâce ; car la Loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont advenues par Jésus-Christ. »

    Le Saint-Esprit s'est manifesté sous la forme de langues de feu : la Parole de Dieu. Par le Souffle divin, l'assemblée devient le lieu de la Présence du Verbe : l'Eglise, Corps du Christ.

  • François Hollande candidat (à la présidentielle)

    "Je n'ai pas à me changer moi-même, la politique ce n'est pas une communication", a dit hier soir François Hollande sur France 3. "Franchement, si je vous disais aujourd'hui que c'est en changeant je ne sais quoi de mon allure, de mon costume, que j'envisage de me présenter devant les Français, je serais indigne de la fonction à laquelle je pourrais prétendre. Moi je ne suis pas comme les autres, je considère que ce que j'ai à faire c'est apporter toute mon attention, toute ma vie aux idées et aux propositions, et c'est ce que je vais faire."

  • Les écoles islamo-turques en pleine expansion en Allemagne

    « Au début, nous n'avions que deux classes », raconte Muammer Akin, le directeur de l'école BIL de Stuttgart. Installée dans une ancienne fabrique métallurgique, l'école a vite grossi. Aujourd'hui, elle compte deux cent quatorze élèves répartis entre le « Gymnasium » (lycée) et la « Realschule » (collège).

    À la cantine, la nourriture est halal. Un tiers environ des jeunes filles portent le voile islamique.

    Des écoles de ce genre prolifèrent depuis quelques années dans le pays. À Berlin, Cologne, Dusseldorf, Hanovre... « Rien que dans le land du Bad Wurtenberg, on en compte quatre : à Stuttgart, Manheim, Karlsruhe et, depuis peu, Ludwisburg », confirme le sociologue Wolfgang Neumann, chercheur à l'institut franco-allemand.

    « Nous avons une liste d'attente de 80 noms », assure Muammer Akin en montrant la maquette des futurs locaux de l'école. Mise en chantier à la rentrée, elle pourra accueillir 650 élèves. Et n'aura pas de mal à les trouver : à Stuttgart, 64 % des enfants de moins de 5 ans sont issus de l'immigration.

    Ouest France explique que les Turcs créent ces écoles « pour palier les carences d'un système scolaire dans lequel leurs enfants ont du mal à trouver leur place »...

    (Ouest France, via Bivouac-ID)

  • Ils veulent des cimetières exclusivement musulmans

    De plus en plus de musulmans veulent se faire enterrer en France dans un cimetière islamique, ce qu'interdit la loi. Une association vient pourtant d'en faire la demande.

    L'initiative est unique en France, et risque de froisser les défenseurs de la laïcité. Une association de musulmans de Limoges recherche activement, et ce depuis plusieurs mois, un terrain dans la Haute-Vienne qui permettrait d'accueillir un cimetière uniquement réservé aux musulmans. Les membres de l'AMLF (Association des musulmans de Limoges pour la fraternité) savent bien que la loi française interdit les cimetières confessionnels et n'autorise que les carrés à l'intérieur des cimetières communaux. Mais le président Fethi Belabdelli compte bien trouver un moyen légal pour le créer...

    A Limoges, la place ne manque pourtant pas au carré musulman du cimetière de Louyat. Mais les anciens, comme Mohamed Anfouh, refusent d'y être enterrés. « J'habite Limoges, mes enfants et petits enfants vivent en France. J'aimerais reposer ici, mais sur un terrain réservé aux musulmans », martèle cet homme de 62 ans.

    « Beaucoup d'anciens ne veulent pas être enterrés aux côtés des juifs, des chrétiens, et encore moins des athées », explique le secrétaire de l'AMLF, Mohamed Ouladmoussa.

    (Le Parisien, via François Desouche)

  • SPMF : premier syndicat des professionnels musulmans de France

    Un syndicat d'entrepreneurs musulmans. Tout le monde en rêvait, mais jamais personne, jusqu'en 2008, n'avait porté un tel projet à son aboutissement. L'idée, qui faisait son chemin depuis quelques années dans la tête de quelques entrepreneurs de Seine-Saint-Denis, s'est finalement concrétisée. Synergie des professionnels musulmans de France, premier et unique syndicat de patrons musulmans en France, inaugurait le 28 mai en région parisienne son lancement officiel.

    La première intervention a été celle du président du Comité contre l'islamophobie en France...

    Suite

    (via François Desouche)

  • L’œcuménisme vu de Russie

    « On perçoit un progrès dans les relations entre l'Eglise orthodoxe et  l'Eglise catholique en Russie. Tout n'est pas résolu, mais il me semble que nous nous comprenons mieux qu'avant », a déclaré à l'université de Navarre (Espagne) l'archiprêtre Igor Vyzhanov, secrétaire pour les relations interchrétiennes du département pour les relations extérieures du patriarcat de Moscou.

    Le père Igor Vyzhanov, qui s'exprimait à la faculté de théologie, faisait un état des lieux des relations entre les deux Eglises aujourd'hui, en présence notamment du délégué diocésain pour l'oecuménisme, Alfredo López Vallejos, et du vicaire général de Pampelune, Luis Oroz, rapporte à ZENIT un communiqué de l'université de Navarre.

    Igor Vyzhanov souligne qu'« il existe une collaboration entre catholiques et orthodoxes russes » et exhorte les deux Eglises à parler d'une même voix chrétienne : « Les possibilités sont nombreuses tout comme les questions que nous pouvons traiter ensemble, telles que la famille, l'avortement, le mariage..., tout ce qui touche la vie humaine ».

    « Prêcher Jésus Christ » est l'une des responsabilités que catholiques et orthodoxes ont en commun pour revitaliser les racines chrétiennes de l'Europe, a-t-il dit.

    Les défis d'évangélisation de l'Eglise orthodoxe russe sont vastes. « La Russie se remet de longues années d'athéisme officiel, a reconnu le responsable orthodoxe. Nous devons évangéliser nos populations, ce qui n'exclue pas de le faire au niveau européen ou mondial ».

    « Nous devons le faire avec l'Eglise catholique », a-t-il ajouté.

    « Le peuple russe n'a pas perdu la foi, a-t-il souligné. Le régime communiste a tenté de la lui arracher, mais il n'y est pas parvenu ». Il précise que sous le communisme, « la foi était cachée, mais pas morte », et qu'après les changements survenus dans le pays (perestroïka) « tant de personnes se sont converties ».

    Pour Igor Vyzhanov, le grand défi de l'Eglise orthodoxe en Russie est de « faire en sorte que la foi des fidèles soit plus profonde ».

    Selon lui pour atteindre cet objectif, il faut effectuer des pas concrets : « la catéchèse dans les écoles, l'activité des aumôniers dans l'armée et dans les prisons, l'institution de bons centres d'éducation supérieure, le travail avec les jeunes... ».

    « Dans ce travail social nous pouvons suivre, sous tant d'aspects, l'exemple et l'expérience de l'Eglise catholique », a-t-il estimé.

    C'est la raison pour laquelle Igor Vyzhanov considère que la collaboration entre catholiques et orthodoxes russes a  « un bel avenir devant elle ».

  • Le Christ en Mongolie

    La Mongolie compte trois millions d'habitants, en majorité bouddhistes tibétains. Les catholiques sont quelques centaines. Les petites communautés catholiques sont nées après la chute du régime communiste.

    Les premiers missionnaires sont arrivés en Mongolie en 1992, lorsque le Saint-Siège a établi des relations diplomatiques avec le pays. Il s'agissait d'un Belge et de deux Philippins. Pratiquement personne n'avait alors entendu parler de Jésus.

    L'Eglise compte aujourd'hui un évêque, Mgr Wenceslao Padilla, de la Congrégation du Coeur immaculé de Marie, préfet apostolique de Ulán Bator, à la tête de la petite communauté catholique. Une centaine de personnes sont baptisées chaque année.

    Dans son discours au nouvel ambassadeur de Mongolie près le Saint-Siège, le pape Benoît XVI a rappelé que le « droit fondamental » de la liberté religieuse est garanti par la constitution de la Mongolie, qui fut une république communiste jusqu'en 1990.

    Il s'est réjoui de « l'ouverture du peuple mongol qui conserve précieusement les traditions religieuses transmises de générations en générations, et qui fait preuve d'un profond respect pour les traditions qui ne sont pas les siennes ».

    « Les peuples qui pratiquent la tolérance religieuse ont l'obligation de partager la sagesse de cette doctrine avec la famille humaine tout entière, afin que tout homme et toute femme puisse percevoir la beauté de la coexistence tranquille et trouver le courage de construire une société qui respecte la dignité humaine et observe le commandement divin d'aimer son prochain », écrit le pape.

    Benoît XVI explique que les bonnes relations entre la Mongolie et le Saint-Siège sont le fruit de cette tolérance religieuse. Il cite un « signe particulier de cette collaboration féconde : « La dédicace de la cathédrale des saints Pierre et Paul en juillet 2002 », à l'occasion du 10ème anniversaire de l'établissement des relations diplomatiques entre la Mongolie et le Saint-Siège.

    « Je désire exprimer personnellement ma profonde reconnaissance pour tout ce que votre gouvernement et les autorités civiles ont fait pour que cela puisse se réaliser », écrit le pape, en précisant que cela a permis de renforcer l'unité entre les catholiques de Mongolie et les catholiques du monde entier.

    (Zenit)

  • Vigile de la Pentecôte

    Ego rogabo Patrem, et alium Paraclitum dabit vobis, ut maneat vobiscum in æternum, Spiritum veritatis, alleluia. Si enim non abiero, Paraclitus non veniet ad vos ; si autem abiero, mittam eum ad vos, ut maneat vobiscum in æternum, Spiritum veritatis, alleluia.

    Moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre Paraclet, qui demeure avec vous pour l'éternité, l'Esprit de vérité, alléluia. Car si je ne m'en vais pas, le Paraclet ne viendra pas à vous ; mais si je m'en vais, je vous l'enverrai, afin qu'il demeure avec vous pour l'éternité, l'Esprit de vérité, alléluia.

  • Le festival de l’enfer

    La 4e édition de Hellfest (le festival de l'enfer) aura lieu à Clisson du 19 au 21 juin.

    Au programme des groupes aussi sympathiques que Satan Jokers, Anthrax, Pentagram, Eyehategod, God Forbid, Heaven shall burn, Destroyer 666, Amon Amarth, Aborted, ou Pestilence, Terror, Immolation, Enslaved, etc.

    Avec en tête d'affiche Marilyn Manson, qui brûle des Bibles sur scène et fut intronisé Révérend de l'Eglise de Satan par son fondateur Anton Lavey.

    Tout cela est non seulement autorisé mais promu. On ne s'étonne pas du silence sur les profanations de cimetières.

  • La dérive des magistrats

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La cour d'appel de Paris a relaxé le DAL, alors que ce groupuscule gauchiste avait été condamné en première instance pour avoir occupé la rue de la Banque, à Paris, pendant deux mois et demi.

    Les magistrats ont décrété que l'"association" de M. Eyraud avait eu raison d'installer des tentes dans la rue pour y parquer des « mal-logés » africains, au nom de « l'état de nécessité », qui innocente celui qui commet une infraction pour échapper à une menace ou à un danger imminent.

    Les magistrats précisent que « le simple fait de ne pouvoir vivre dans un logement ayant une surface normale représente une menace », et soulignent que grâce à cette action les protégés de M. Ayraud ont eu gain de cause.

    Cet arrêt est une insulte pour tous les Français condamnés à vivre dans un logement trop petit par la politique de préférence étrangère, ainsi approuvée par la « Justice ».