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  • Secret de polichinelle

    Les radios et télévisions belges indiquent qu’elles n’attendront pas 20 h pour donner les résultats du premier tour de la présidentielle française. « Je serai sans doute en mesure de donner une estimation en direct à l'heure du journal télévisé de la RTBF, à 19 h 30 » dit au journal Le Soir Corinne Portier, la correspondante à Paris de la télévision publique belge francophone. Mais si son collègue de la RTBF-radio dispose déjà de résultats à 19 h, « c'est lui qui les annoncera au conditionnel ».

    Grande rivale de la RTBF, la chaîne privée RTL-TVI, dont le journal télévisé débute à 19 h, proposera également d'emblée de premières estimations.

    La loi française interdit de publier avant la fermeture des derniers bureaux de vote, à 20 h, les estimations réalisées par les instituts de sondages, qui sont susceptibles d'être disponibles à partir de 18 h 30. Communiquées aux partis politiques et aux rédactions, ces données sont soumises en France à un embargo strict de publication jusqu'à 20 h, sous peine d'une amende de 75.000 euros. En revanche, la loi française n'a pas les moyens d'empêcher la publication de ces estimations dans les médias étrangers.

    Des blogueurs français, dont Jean-Marc Morandini, ont affirmé qu'ils étaient prêts à braver la loi, ce qui a entraîné une mise en garde de la Commission de contrôle de la campagne présidentielle : « Toute reprise de l'information par le moindre blogueur ou média français tomberait sous le coup de la loi », a averti Gilles Bachelier, responsable de cette commission.

    Mais il est permis de dire que la RTBF (télévision et radio) et RTL-TVI sont diffusés sur internet…

  • Islam réel

    Trois hommes, deux Turcs et un Allemand, ont été égorgés dans une attaque visant une maison d'édition chrétienne à Malatya, dans l'est de la Turquie.

    Deux autres personnes ont été grièvement blessées, dont un des suspects potentiels, qui se serait jeté par la fenêtre lors de l'intervention de la police.

    Un responsable du gouvernorat de Malatya a indiqué au téléphone à l'AFP que les locaux visés « étaient engagés dans des activités de prosélytisme ». Ce qui est strictement interdit. Les victimes ont donc eu ce qu’elles méritaient. Selon les préceptes de la tolérance islamique.

  • La Cour suprême des Etats-Unis interdit l’avortement « par naissance partielle »

    Pour la première fois depuis la légalisation de l’avortement en 1973, la Cour suprême des Etats-Unis a restreint ce « droit », en validant, par cinq voix contre quatre, la loi fédérale de 2003 interdisant l’atroce méthode chirurgicale d’avortement tardif (entre trois et six mois de grossesse) qui consiste à faire sortir les jambes et le torse du fœtus vivant, puis aspirer le contenu de la boîte crânienne pour faciliter l'extraction de la tête. Toutes les juridictions inférieures saisies par les partisans de l'avortement avaient jusqu'à présent invalidé cette loi, au motif qu'elle ne comporte pas d'exception si la santé de la femme est menacée.

    Puisqu’il s’agit d’une défaite du lobby de la culture de mort, on peut dire que c’est une première victoire de la culture de vie, due à la récente nomination à la Cour suprême d’un juge « conservateur ». Mais c’est une victoire extrêmement limitée, de portée symbolique.

    En effet, la Cour suprême souligne que l’alternative légale, qui prévoit de démembrer le foetus avant de l'extraire, est suffisante, et que si le démembrement menaçait la santé de la femme, le médecin pouvait toujours se conformer à la loi en tuant le foetus par injection avant de l'extraire.

    La barbarie demeure quasi intacte. On ne comprend même pas comment des magistrats de la Cour suprême, censés être civilisés, peuvent énoncer froidement de telles horreurs.

  • Toujours Grosdidier

    « Le tribunal administratif a donné raison aux partis islamophobes contre la ville de Marseille », dit François Grosdidier.

    Non. Le tribunal administratif a dit que la ville de Marseille avait enfreint la loi. Ce n’est pas vraiment la même chose.

    Comme le souligne Jean-Marie Le Pen dans son communiqué, tous les soutiens municipaux de Sarkozy, Bayrou et Royal qui cherchent à faire financer l’islam sur les deniers publics se mettent hors la loi. Et ce sont Sarkozy, Bayrou et Royal qui sont coupables de ces violations de la loi. C’est particulièrement net avec ce Grosdidier qui veut financer une mosquée de l’UOIF dans sa ville et qui est secrétaire national à l’intégration dans le parti de Sarkozy.

    « La République se discrédite à entretenir l'inégalité et à encourager l'Islam des caves », ose-t-il dire encore, alors que c’est lui et ses semblables qui se discréditent, vis-à-vis à la fois de la République laïque qui ne connaît ni ne finance aucun culte, que vis-à-vis de la France chrétienne qui ne peut considérer l’islam que comme une « religion » étrangère (rappelons inlassablement qu’il ne s’agit pas à proprement parler d’une religion, mais d’une idéologie totalitaire qui couvre tous les aspects de la vie individuelle et sociale).

    Remonté à bloc depuis qu’il a participé, seul de son espèce, au congrès de l’UOIF, Grosdidier, l’homme qui organise chaque année, aux frais de la commune, une fête du ramadan dans sa ville de Woippy (pas moins de six soirées la dernière fois), dénonce l'« hypocrisie » qui consiste « à ne pas vouloir considérer l'Islam quasi-absent jusqu'aux années 50 mais aujourd'hui deuxième religion du pays ». Ce qui est sûr est que lui n’est pas hypocrite, il est ouvertement un propagandiste de l’islam, dont il ne sait absolument rien, comme sa prose et son action le prouvent abondamment.

    Alors il ne craint pas d’ajouter que « la jurisprudence impose une modification réglementaire, voire législative ». C’est bien ce que pense son maître Sarkozy, comme les deux autres candidats en tête dans les sondages. Trois candidats antifrançais dans leur volonté de promouvoir l’islam comme ils sont antifrançais dans leur européisme. En toute bonne logique antinationale.

    Mais comment peut-on imaginer voter pour ces fossoyeurs de l’identité et de la souveraineté de notre pays ?

  • Les candidats qui encouragent à violer la loi

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Comme on vient encore de le voir à Marseille, les tribunaux administratifs annulent régulièrement des délibérations municipales accordant à des associations musulmanes des privilèges contraires aux lois de la République.

    Ces délibérations municipales sont le fait d’élus UMP, UDF, PS, qui se réclament à l’occasion de déclarations de Nicolas Sarkozy, de François Bayrou ou de Ségolène Royal.

    Les trois candidats sondagiquement en tête représentent tous trois des partis politiques dont les élus violent la loi. Ils encouragent tous les trois les municipalités à se mettre hors la loi.

    On attend, pour le moins, d’un candidat à la présidence de la République qu’il respecte les lois de la République. Non seulement je suis le seul à respecter la laïcité, mais le mouvement que je préside est aussi celui qui, en saisissant les tribunaux, s’honore de faire rétablir la légalité.

  • Et Cécilia ?

    Jean-Marie Le Pen sur RMC et BFM : « je suis assez étonné ces jours-ci qu’il n’y ait aucune curiosité de la part de la presse autour de Mme Sarkozy qui pourrait devenir la première dame de France... Ce serait une curiosité normale... Tout Paris fait état de rumeurs. Je constate que la crainte révérencielle rend prudents des gens qui d’habitude n’hésitent pas à lancer des bruits quelquefois infondés. »

    Agoravox résume ainsi la situation :

    « Il y a une semaine, une recherche sur Google avec les mots-clés « rumeur Cecilia Sarkozy » ne renvoyait que quelques pages, essentiellement à propos de la brève aventure de Cecilia avec le publicitaire Richard Attias. Aujourd’hui, ce sont plusieurs centaines et le bruit s’étend sur toute la Toile.

    « Pourtant, on en trouve peu de traces dans la presse officielle. Le journal 20 minutes note bien l’absence de Cecilia durant les fêtes de Pâques, Le Monde y fait une courte allusion. En dehors de cela, rien. Une chape de plomb. Soit les journalistes des grands quotidiens nationaux n’ont pas Internet, soit ils ont une trouille bleue à l’idée d’évoquer, ne serait-ce qu’allusivement, une information qui pourrait déplaire à notre futur président.

    « Par contre, sur Internet, la rumeur enfle. Daniel Schneidermann en parle brièvement sur son blog. On en parle sur les forums. Sur les sites d’extrême droite, on se déchaine, allant jusqu’à affirmer que Nicolas Sarkozy aurait pété les plombs, frappé son épouse et démoli son appartement. On parle aussi d’une main courante déposée par Cecilia. Selon d’autres, elle filerait le parfait amour avec l’écrivain à succès Marc Levy. Même le président François Mitterrand y fait allusion sur le blog posthume qu’il anime directement depuis l’au-delà !

    « (...) Le vrai problème, ce n’est pas la vie privée de monsieur Sarkozy. (...) Non, le vrai problème c’est que personne, parmi la horde de journalistes qui le suivent et l’entourent, n’ose lui poser la question ! Personne n’ose l’aborder en lui disant : « Dites, monsieur Sarkozy, elle est où votre épouse ? ».

  • La « profession de foi » de Jean-Marie Le Pen

    Appel à la France et à tous les Français

    Le 21 avril 2002, porté au second tour par vos suffrages, je vous avais dit : « N’ayez pas peur, entrez dans l’espérance ! »

    Hélas, dans un même élan de complicité destiné à tromper l’opinion, les partis du système UMP-UDF-PS-PC se sont solidarisés pour maintenir leurs privilèges. Ils ont ainsi permis la réélection de Jacques Chirac. Cinq ans se sont passés depuis… Cinq ans de perdus.

    Cinq ans désastreux pour notre pays : toujours plus de pauvreté, de chômage, de délocalisations, d’immigration, d’insécurité, toujours plus de dettes. Et toujours plus de promesses de la part de ceux qui, depuis trente ans, ont participé comme ministres ou apporté leur soutien à des gouvernements dont les politiques ont mis en péril notre indépendance, notre équilibre économique, notre stabilité sociale et notre identité nationale.

    Leurs engagements d’aujourd’hui ne valent pas plus que leurs promesses passées.

    Comment pourriez-vous croire qu’ils feront demain ce qu’ils n’ont ni su, ni pu, ni voulu faire hier ?

    La France est aujourd’hui ruinée, démoralisée, humiliée et, pour la première fois de son histoire, chaque Français pense au fond de lui qu’il n’arrivera pas à assurer à ses enfants un avenir meilleur que le sien. Ils vous ont tout pris ! Ils ne vous ont laissé comme dernier privilège – pour combien de temps encore ? – que votre bulletin de vote. Mais, grâce à Dieu, celui-ci peut tout changer !

    Vous l’avez montré, le 29 mai 2005, en rejetant la Constitution européenne.

    En cinq ans, nous allons ensemble restaurer la souveraineté française, retrouver les frontières qui protègent notre peuple et notre économie, rétablir dans leurs droits légitimes les Français et leurs familles, retrouver nos libertés et la première d’entre elles : la sécurité, rendre à l’État son autorité et son rôle protecteur, rendre à chacun le bonheur et l’honneur d’être Français.

    Ma vision de la France est réaliste et humaine car elle vise à assurer à chaque Français, quels que soient sa race, sa religion, ses choix personnels ou sa condition sociale, le choix de son avenir et la priorité dans son propre pays. Mon projet est avant tout populaire dans la mesure où les grands desseins de société ne peuvent se faire qu’avec le soutien du peuple souverain, par le référendum.

    Tout dans mon engagement politique témoigne de mon attachement aux libertés de chacun.

    C’est parce que j’ai une haute considération pour les valeurs de la République française, que j’ai toujours défendues, et un profond respect de la dignité humaine que je dirigerai la France en rassembleur de tous ses fils et filles.

    Je suis le candidat de la vérité contre le mensonge. Je suis le candidat de la lucidité contre l’aveuglement, le candidat du bon sens contre l’incompétence. Je suis le candidat des vraies réformes contre les candidats des fausses promesses. Je suis le candidat de la France, de la vie, de l’avenir et de la paix contre les candidats du mondialisme, des communautarismes, de l’argent-roi et des guerres. Je serai le défenseur de la France et des Français d’abord !

    Faites-moi confiance pour incarner le Peuple et l’État.

    Jean-Marie Le Pen

  • Mosquées et présidentielle

    Commentant la décision du tribunal  administratif d’annuler la délibération de la municipalité de Marseille sur la grande mosquée, Jean-Marie Le Pen a souligné que la délibération avait été prise « en vertu d’un décret de Nicolas Sarkozy », et qu’en conséquence la décision du tribunal « sanctionne à la fois Jean-Claude Gaudin et Nicolas Sarkozy ». Il a ajouté qu’il n’avait pas d’hostilité « à ce que les musulmans aient leurs mosquées », mais qu’il était un « adversaire résolu de la construction de mosquées dites cathédrales », car « ces bâtiments, qui sont souvent d’une grande importance, ne se bornent pas à des édifices religieux, et sont généralement financés par l’Arabie saoudite dans un but de propagande ». « On en voit dans toutes les capitales du monde. Ils ont même poussé la délicatesse jusqu’à en faire une à Rome, sans attendre qu’on construise une cathédrale à Médine... »

    Sur France Inter ce matin, Nicolas Sarkozy a refusé de commenter la décision du tribunal administratif de Marseille. Mais il a répété qu’il n’y a « aucune raison pour qu’une religion ne puisse pas vivre son culte tranquillement », que « les problèmes que nous avons sont dans les caves et les garages, pas dans les mosquées », et qu’il est « pour un islam de France ». Il a dit aussi : « On ne change pas les grands équilibres de la loi de 1905. » Ce qui renforce l’ambiguïté de sa position : le tribunal administratif a constaté que la municipalité avait violé la loi de 1905, mais Sarkozy ne veut même pas le reconnaître...

    Parmi les multiples affaires de construction de mosquées, celle de Woippy : le conseil municipal de la ville de l’ineffable Grosdidier a voté lundi l’appel d’offres pour la construction d’un « espace interculturel », qui n’est rien d’autre qu’une mosquée, financée par la commune. « C’est d’autant plus scandaleux que l’argent en cause provient pour partie d’aides nationales pour la rénovation urbaine destinées aux quartiers défavorisés de Woippy et que la gestion de la mosquée doit être confiée à une filiale locale de l’UOIF, l’une des composantes les plus radicales de l’islam de France », souligne Thierry Gourlot, président du groupe FN au conseil régional de Lorraine. L’élu a décidé de s’associer à un groupe d’habitants de Woippy pour saisir le tribunal administratif.

    François Grosdidier, qui est aussi député et secrétaire national de l’UMP à l’intégration, s’est distingué le week-end dernier en étant le seul élu national à participer au congrès de l’UOIF. Il s’est livré à un plaidoyer en faveur de Nicolas Sarkozy, rappelant le rôle de l’ancien ministre de l’Intérieur dans l’organisation de l’islam en France et insistant sur le fait qu’il n’a pas accepté qu’un recteur interdise l’ouverture d’un lycée musulman...

    Mais le nom de Nicolas Sarkozy a été vigoureusement sifflé quand le premier vice-président de l’UOIF, Fouad Alaoui, évoquant l’élection présidentielle et le devoir d’aller voter, a lancé « vous nous avez fait mal », à l’adresse du candidat de l’UMP, et aussi à l’adresse de Ségolène Royal. Fouad Alaoui ayant d’autre part précisé qu’on ne pouvait pas voter pour « les extrêmes », il ne reste donc que François Bayrou. D’autant que Fouad Alaoui a précisé qu’il serait bon de voter pour un « croyant ». Or François Bayrou, laïciste forcené en politique, revendique d’être catholique pratiquant dans l’intimité.

    Bayrou candidat des islamistes, ce n’est guère étonnant, quand on voit ses déclarations insensées sur l’islam (« c’est comme une nouvelle famille qu’on accueille dans le village »), ou le bandeau qu’il a installé sur son site de campagne, où il apparaît en compagnie d’une femme voilée.

  • Ego sum vitis vera

    Au Benedictus :

    « Je suis la vigne véritable, alléluia, et vous êtes les vrais sarments, alléluia. »

    Au Magnificat :

    « Parce que tu m’as vu, Thomas, tu as cru, heureux ceux qui n’auront pas vu et qui croiront, alléluia. »