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Le blog d'Yves Daoudal - Page 1073

  • Une 23e occupation pour Barroso !

     

    Depuis qu’il n’est plus président de la Commission européenne, José Manuel Barroso avait réussi à accumuler pas moins de 22 fonctions différentes (oui, en même temps). Et voici la 23: il devient président non-exécutif de Goldman Sachs International et conseiller de Goldman Sachs à Londres.

  • Vincent Lambert

    La cour d’appel de Reims confirme que le tuteur de Vincent Lambert sera bien son épouse, qui veut sa mort et qui vit en Belgique…

    Face à cette décision « délirante », qui empêche tout transfert de Vincent Lambert, les avocats de ses parents ont décidé de se pourvoir en cassation.

  • Grand remplacement

    Pour la première fois de son histoire, il y a eu en 2015 davantage de décès que de naissances dans l’Union européenne : 5,2 millions de morts pour 5,1 millions de naissances. Sans compter les millions d’avortements : si on comptait les assassinats d’enfants dans le ventre des mères cela ferait longtemps que l’Union européenne serait en déficit démographique chronique.

    Et comme par hasard c’est l’année où a déferlé sur l’Europe la grande vague des migrants musulmans déguisés en « réfugiés ». Qui a quand même permis à la population de l’UE de croître, nous dit-on benoîtement...

  • Saint Denis…

    Le nouveau maire de l’Ile-Saint-Denis s’appelle Mohamed Gnabaly…

  • Sainte Elisabeth de Portugal

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    Du site 1 œuvre 1 histoire :

    Cette peinture représente Sainte Elisabeth du Portugal et le Miracle des Roses. L'œuvre est située au musée Machado de Castro à Coimbra au Portugal.

    Sainte Elisabeth du Portugal (parfois appelée Isabel - variante espagnole de son prénom) est née en 1271 de Pierre III d’Aragon et de Constance II de Sicile. Son prénom lui fut donné en l’honneur de sa tante Elisabeth de Hongrie qui venait d’être canonisée en 1235. Durant toute son enfance elle se fit remarquer par sa piété et sa compassion envers les pauvres.

    En 1282 elle épouse Dinis Ier du Portugal, roi réformateur et poète, mais à la vie privée assez agitée. Elisabeth mena à la cour du Portugal la même vie de piété et de charité que dans son enfance. Elle pardonnait toujours à son mari, qui cependant l’aimait profondément, son inconduite.

    Les conseillers du roi se plaignirent des dépenses que la reine faisait, dépensant sans compter pour les nécessiteux. Dinis Ier décida d’intervenir et, la rencontrant un jour, lui demanda ce qu’elle cachait dans son tablier. Elisabeth lui répondit qu’il s’agissait de roses pour la chapelle. Comme on était au mois de janvier, et que cette floraison paraissait improbable, il somma son épouse de lui montrer ce qu’elle transportait. Celle-ci ouvrit son tablier et ce furent des roses qui apparurent. Devant ce miracle le roi n’intervint plus dans les œuvres pieuses de son épouse.

    A la mort de Dinis Ier en 1325 elle se retira au monastère des Clarisses de Coimbra menant une vie de prières et de pèlerinages. Elle se rendait à Estremoz pour réconcilier son fils Alphonse et son neveu le roi de Castille, y mourut en 1336 et son corps fut ramené à Coimbra. Elle fut canonisée par Urbain VIII en 1625 et depuis, pour les portugais elle est la Rainha Santa. Sa châsse au monastère de santa Clara a Nova est toujours un lieu de pèlerinage très fréquenté.

    Ce petit retable de 29cm/36cm, huile sur bois, peut être considéré comme le premier ex voto du Portugal. Il fut commandé dans la moitié du XVIe siècle à un peintre, resté inconnu, par un professeur de droit canon pour remercier la Sainte de la guérison de sa nièce.

    La peinture représente Sainte Elisabeth, couronne sur la tête, défaisant les plis de sa robe pour laisser apparaître les roses. Elle-même ne semble pas étonnée de ce miracle. En arrière fond, devant des vues de la ville de Coimbra sainte Elisabeth est représentée accomplissant des œuvres de charité dont le lavement des pieds d’une femme atteinte d’ulcères et qu’elle embrasse malgré l’odeur atroce qui s’en dégage.

  • En Irlande

    Une proposition de loi visant à permettre l’avortement en cas de malformation grave du fœtus a été rejetée par 95 voix contre 45. Le Premier ministre avait rappelé que cette proposition était anticonstitutionnelle, comme l’avait signifié le procureur général. Néanmoins trois ministres avaient appelé à la voter…

    Puisque c’est la Constitution qu’il faut changer, eh bien, les députés vont avoir à examiner dans les trois prochains mois une proposition de loi demandant un référendum pour modifier le 8e amendement qui pose en principe un égal droit à la vie pour le fœtus et pour sa mère.

    L’avortement sera également le premier sujet abordé par « l’Assemblée des citoyens » que le gouvernement a promis de constituer avant la fin de l’année…

    Et l’on votera jusqu’à ce qu’il y ait une majorité pour la culture de mort, sous la pression constante des « grandes consciences » dévoyées du monde entier et des institutions internationales.

  • Chypre contre les sanctions

    Le Parlement de Chypre a voté une résolution demandant au gouvernement de commencer à travailler, dans le cadre du Conseil européen, à la levée des sanctions contre la Russie. 33 vois pour, 17 abstentions, aucun vote contre.

    Le 1er juillet, l’UE a une nouvelle fois prolongé ces sanctions pour six mois.

    Le 5 juillet, le conseil régional de Lombardie, première région d’Italie, a adopté une résolution appelant Bruxelles à lever les sanctions contre la Russie et reconnaître le droit à l’autodétermination de la Crimée.

  • Le fichage des trisomiques

    Le gouvernement a créé un fichage national relatif au dépistage prénatal de la trisomie 21, à l’insu des femmes. Cette initiative doit être dénoncée car elle porte atteinte à la vie privée des femmes, à l’indépendance des médecins, et à la dignité des enfants trisomiques. Pour les protéger, la Fondation Jérôme Lejeune, soutenue par 20 parties, vient de déposer un recours pour excès de pouvoir devant le Conseil d’Etat.

    Lire la suite du communiqué de la Fondation Jérôme Lejeune.

  • C’est parti !

    A peine la date du référendum hongrois était-elle annoncée que le gouvernement a lancé une campagne d’affiches. On pourrait se demander si c’est bien nécessaire, alors que le résultat est connu d’avance, de gaspiller ainsi de l’argent, mais il faut bien avouer que c’est réconfortant de voir un pays où s’affiche partout ce slogan :

    « Envoyons un message à Bruxelles, pour que ce soit clair pour eux aussi. »

    « Les Hongrois ont le droit exclusif de décider avec qui ils veulent vivre et cela est aussi une question de souveraineté : Bruxelles et les institutions de Bruxelles ne peuvent pas décider à leur place », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Peter Szijjarto.

    « La Hongrie n’a transféré aucune sorte de sphère de compétence à Bruxelles sur laquelle on se baserait pour rendre possible une réinstallation obligatoire », a déclaré le ministre de la Justice Laszlo Trocsanyi.

    Le mot hongrois traduit par « réinstallation » (resettlement sur le site du gouvernement en anglais) a généralement le sens d’« introduction », plus précisément de l’introduction (nuisible) d’une espèce exotique dans un écosystème. C’est le mot qui figure sur l’affiche, dans le rectangle au-dessus du slogan : « Référendum 2016. Non à l’introduction obligatoire », et l’on comprend en fait : « Non à une colonisation obligatoire ».

    Le ministre de la Justice a souligné que le référendum est conforme à la Constitution hongroise, et que « il y a eu et il y aura des référendums dans d’autres pays en relation avec des questions concernant l’Union européenne »…

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  • Au Danemark

    Conformément à la nouvelle législation qui exige que les candidats à la citoyenneté danoise aient une réelle volonté d’intégration, a été élaboré un test, auquel ont été soumis les candidats, pour la première fois, le mois dernier. Il faut 80% de bonnes réponses aux 40 questions posées sur le Danemark. (Ce test vient après celui qui vérifie que l’immigré possède la langue danoise. Il remplace le test précédent qui comportait 23 questions plus faciles. Le nouveau test a été approuvé par le parti du peuple danois, qui soutient le gouvernement actuel.)

    Résultat : seulement 31,2% des immigrés ont réussi le test. 68,8% ont donc échoué. « Trop d’entre eux ne l’ont pas correctement préparé », a déclaré Inger Stoiberg, ministre de l’Intégration, ajoutant qu’il n’était pas question de le modifier.