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Climat - Page 2

  • Réchauffement climatique

    Des chercheurs du CNRS, qui étudient depuis 2010 une colonie de 18.000 couples de manchots Adélie dans l'est de Antarctique, constatent que cette année seuls deux poussins ont survécu.

    Cette énorme mortalité s'explique par les niveaux inhabituels de la banquise à la fin de l'été. Les adultes ont été contraints d'aller plus loin pour chercher la nourriture destinée aux poussins, qui sont morts de faim.

  • Confirmé !

    Scott Pruitt a été confirmé par le Sénat des Etats-Unis comme « administrateur » de l’Agence de protection de l’environnement.

    Climatosceptique affirmé et notoire, Scott Pruit avait intenté 14 procédures, quand il était procureur de l’Oklahoma, contre l’agence qu’il dirige désormais…

  • Myron Ebell à Bruxelles

    Myron Ebell est l’un des principaux chefs de file américains du combat contre « le mythe du réchauffement climatique ». Il se définit lui-même comme « l’ennemi numéro 1 de l’alarmisme climatique ». Il a été nommé par Donald Trump à la tête de l’Agence de protection de l’environnement pendant la période de transition, avec mission de réfléchir à l’avenir de cette agence (c’est à peu près comme s’il avait nommé Cécile Edel à la tête du Planning familial…).

    Il a été invité à faire un discours à Bruxelles lors d’une conférence sur l’environnement organisée par le groupe Alliance des conservateurs et réformistes européens (essentiellement les conservateurs britanniques, le PDC tchèque et les Polonais du PiS).

    Les écologistes avaient mobilisé contre la venue d’Ebell, et ils étaient une bonne… trentaine à manifester à l’extérieur. Il y avait aussi à l’intérieur quelques trublions dont un qui, dès le début du discours, a tenté de l’interrompre en l’apostrophant et en brandissant une pancarte « Resist ». Il a été mis dehors par le service de sécurité.

    « Quand vous entendez “spécialiste de l’environnement”, pensez “impérialiste éco-urbain” », dit Myron Ebell. Il y a aujourd’hui, non plus un complexe militaro-industriel, mais un « complexe climato-industriel » : « Le pouvoir, l’argent et l’influence sont du côté du mouvement écologiste. » « Nous sommes aujourd’hui confrontés à un conglomérat d’intentions et d’intérêts entre ceux qui croient en la crise du changement climatique et ceux qui ont compris comment s’enrichir grâce à la promotion de ces idées. » « Ce [mouvement] se vante d’être moral, mais en son cœur il y a la promotion des intérêts particuliers de ceux qui ont compris qu’ils pouvaient se remplir les poches en s’assurant que les pays pauvres restaient pauvres pour toujours. »

    Il dit aussi :

    « Les écologistes vous disent que pour protéger les terres, le gouvernement doit les posséder ou les protéger. En réalité, cela mène à une catastrophe après l’autre. L’Union soviétique était un cauchemar environnemental, avec des produits chimiques toxiques dans l’eau et la terre. Si vous voulez que quelque chose ne fonctionne pas, confiez-la au gouvernement. »

    « Les propriétaires de ranchs ou de forêts et les agriculteurs, s’ils n’en prennent pas soin, ils en perdent la valeur. Quand quelque chose est une propriété commune, nous sommes tous encouragés à prendre avant que quelqu’un d’autre ne se serve – et ça, c’est l’histoire du  mouvement écologiste. Et c’est complètement faux. L’histoire de l’humanité contredit ce qu’avance le mouvement écologiste. Les citoyens des villes ont perdu leur connexion avec la gérance. »

    Le site Euractiv, qui rapporte ces propos avec dégoût, écrit ensuite :

    « Précédemment, Maroš Šefčovič, le commissaire européen à l’Union de l’énergie, avait pour sa part déclaré à EurActiv qu’il était très important que Washington ne fasse pas marche arrière sur l’accord de Paris, ratifié sous Barack Obama. »

    Ceci est un mensonge patent, typique de l’imposture européiste. L’accord de Paris n’a pas été « ratifié sous Barack Obama », il a été ratifié par Barack Obama sans l’accord nécessaire du Congrès pour les traités internationaux.

  • Réchauffisme

    Le mois dernier les médias nous apprenaient une grande première historique du réchauffement climatique : un village d’une île de l’Alaska a voté son déménagement sur le continent, parce que la montée des eaux due au réchauffement climatique anthropique sape la côte et fait s’écrouler régulièrement les maisons dans la mer. Même les bulletins météo en parlaient comme d’une preuve spectaculaire des méfaits du réchauffement climatique.

    Alors que jusqu’ici toute personne sensée savait que de nombreuses côtes sont soumises depuis toujours à l’érosion – tandis que d’autres s’ensablent. J’y pensais encore il y a peu en voyant la chapelle Notre-Dame de la Joie, à Penmarc’h. Elle n’existe toujours que parce qu’on a construit une falaise artificielle qui la protège. Sinon elle aurait disparu depuis longtemps dans la mer. Or personne à ma connaissance n’a rendu responsable le réchauffement climatique de l’érosion de cette côte…

    Or voici que paraissent des études qui remettent sérieusement en cause la notion même de hausse du niveau des océans. Et plus si affinité… C’est ici.

  • Double gag climatique

    Juste avant le sommet du G20 à Hangzhou, l’Assemblée nationale populaire de Chine a « voté », ce matin, la ratification du texte de la COP21. La Chine communiste, plus grand pollueur de la planète, s’engage… à rien, évidemment, à moins de croire que la signature d’un gouvernement fondé sur le mensonge soit fiable…

    Autre gag, Barack Obama, arrivant au sommet, a, comme son homologue chinois, donné à Ban Ki-moon un document de ratification de l'accord. Sauf que cette "ratification" par le seul président est nulle et non avenue en l'absence d'un vote du Congrès.

    « La ratification de la Chine et des Etats-Unis est une formidable nouvelle », réagit Ségolène Royal, qui préside la COP jusqu’au prochain sommet, en novembre...

  • Pas la peine…

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    François Hollande a ratifié aujourd'hui à l'Elysée l'accord sur le « climat » conclu en décembre à Paris à l'issue de la COP21. Et il nous communique la belle image de la très solennelle cérémonie.

    Mais ça ne sert à rien : Donald Trump a dit qu’il ne le signerait pas…

  • Au bord du suicide…

    « Les générations futures vont se demander, avec un étonnement perplexe, pourquoi le monde du début du XXIe siècle développé est tombé dans une panique hystérique en raison d'une augmentation de la température moyenne mondiale de quelques dixièmes de degré. »

    Le propos est de Richard Lindzen, qui a été l'un des principaux auteurs du troisième rapport du GIEC…

    C’est par ce propos que Riccardo Cascioli commence un article de La Nuova Bussola, où l’on peut lire aussi :

    « Un nombre non négligeable de catholiques, en Italie aussi, se sont vus refiler dans l'homélie du premier dimanche de l'Avent une conférence sur le changement climatique. De sorte que cette période d'attente pour la naissance du Christ a été transformée en attente de l'accord de Paris, les espoirs pour le salut de la planète sont placés dans les chefs d'Etat au lieu de l'être dans notre Sauveur, pauvres humains que nous sommes. A renforcer ce message, à propos du changement climatique, le Pape François lui-même s'y est mis, disant que “nous sommes au bord du suicide”. »

    *

    Présentation du livre L’idéologie du réchauffement, de Rémy Prud’homme, que j’évoquais déjà hier :

    Cet essai ne nie pas le réchauffement de la planète. Au cours du XXème siècle, la température moyenne de la terre a augmenté de 0,6 à 0,8 degrés. Il s’intéresse plutôt au « réchauffisme », néologisme qui rapproche le « réchauffement » et « l’alarmisme »  en une certitude que la hausse des température est anthropique.

    Rémy Prud’homme montre que ce mouvement d’idées présente les cinq caractéristiques d’une idéologie, selon les critères établis par Hannah Arendt :

    -il est monocausal : les rejets de CO2 issus de l’activité humaine expliqueraient à eux seuls le réchauffement de la planète.

    -il est scientifiste : il prétend s’appuyer sur une science unique, irréfutable.

    -il est étatique : le GIEC, l’ONU et les états ont immédiatement capturé et instrumentalisé cette idée

    -il est révolutionnaire : il faut tout changer pour « sauver » la terre.

    -il est populaire : les peuples sont facilement convaincus de la responsabilité de l’homme dans les changements du climat.

    Comme dans toute idéologie, l’auteur démasque au cœur de ce « réchauffisme » les germes puissants d’une tendance dangereusement totalitaire.

  • Cohérence

    Premier sujet des informations (sur BFM, mais ils font tous la même chose) : la nécessité absolue d’arriver à ce que la température n’augmente pas de plus de deux degrés. Sinon ce sera effroyable, il y aura des millions de morts, de nombreuses grandes villes disparaîtront, des Etats entiers seront rayés de la carte. Il faut faire entendre raison aux gouvernements criminels qui refusent les contraintes qu’exige la lutte contre le réchauffement climatique…

    Dernier sujet : le temps.

    Merveilleuse nouvelle pour tous : nous allons avoir un week-end de rêve. Il va faire beau et doux partout. La température va monter de deux degrés demain, et elle va encore monter dimanche. Déjà c’est le bonheur pour cette famille qui est à la plage dans le midi, pour ce plaisancier qui savoure le soleil, pour les professionnels du tourisme qui voient venir un week-end de la Toussaint où les citadins vont aller en masse sur les côtes et qui va être exceptionnellement bon pour les affaires…

  • Pologne : c’est parti !

    A un mois de la COP 21, le président polonais Andrzej Duda, qui sera à Paris demain, a déclaré hier que la Pologne opposait son veto à l’amendement de Doha au protocole de Kyoto sur les émissions de gaz carbonique : « Contraindre la Pologne à un accord international affectant l’économie, avec le coût social qui y est associé, doit être précédé d’une analyse détaillée sur son impact économique et juridique… Ces effets n’ont pas été suffisamment clarifiés. »

    Le porte-parole de Duda a souligné que depuis dimanche nous sommes dans une « nouvelle situation politique ». Le PiS qui a remporté les élections a promis de protéger l’industrie du charbon, et le président a nommé (futur) Premier ministre Beata Szydlo, qui est comme par hasard fille d’un mineur de charbon…

  • Dictature climatique

    Le « monsieur météo » de France 2, Philippe Verdier, été convoqué par la direction des ressources humaines de la chaîne pour un entretien préalable en vue de son licenciement.

    Son crime ? Avoir publié un livre climatosceptique.

    Il est strictement interdit d’avoir une opinion déviante, même en privé, sur la religion climatique, quand on travaille dans le service public…