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Climat - Page 5

  • Le clin d’œil du ciel (bis)

    30/11/2010 19:32 - Onu-réchauffement-climat
    CANCUN (Mexique) (AFP) - Climat: à Cancun, les négociateurs entrent dans le vif du sujet

    30/11/2010 17:44 - Europe-intempéries
    LONDRES (AFP) - Le froid bat record sur record en Europe

  • Le clin d’œil du ciel

    30/11/2010 10:26 - ONU-réchauffement-climat
    CANCUN (Mexique) (AFP) - Changement climatique: la communauté internationale réunie à Cancun

    30/11/2010 14:58 - Europe-intempéries
    LONDRES (AFP) - L'Europe grelotte : neige, verglas, perturbations dans les transports

  • Prix Lyssenko attribué à Jean Jouzel et Nicolas Hulot pour leur contribution au débat sur le réchauffement climatique : Lyssenko à Cancún

    La cérémonie de remise du prix aura lieu à Paris, 8 rue d'Athènes (9e), jeudi 2 décembre 2010, à 19 heures. Elle sera suivie d’un apéritif garni.

    Himalaya de mensonges
    Dans son dernier rapport, publié en 2007, le GIEC affirmait que les glaciers de l'Himalaya auraient disparu en 2035 en raison du réchauffement climatique. En tant que glaciologue, M. Jean Jouzel, membre du GIEC, était bien placé pour savoir que la prédiction était délirante et n'avait aucune base scientifique. Il l'a cependant reproduite dans son livre Planète blanche (p. 231), en la nuançant à peine. Cette affaire a révélé que le dogme du réchauffement climatique reposait sur un Himalaya de mensonges.

    Triple imposture
    Le professeur Claude Allègre a eu raison de parler d'une "imposture climatique" dans l'ouvrage qu'il a publié en février 2010. Il y a même une triple imposture :

    - (1) dans la présentation des faits : l'évolution de la température moyenne de la planète, qui n'a augmenté que de quelques dixièmes de degré depuis un siècle, n'a rien d'exceptionnel ni d'alarmant, d'autant qu'elle stagne depuis plus de dix ans, après avoir atteint un maximum en 1998 (on peut en dire autant de l'évolution du niveau de la mer, qui n'est monté que de quelques centimètres, ou de celle de la masse des glaciers, qui s'accroît en Scandinavie) ;

    - (2) dans la présentation des prévisions : les modèles numériques utilisés par le GIEC, fondés sur une accumulation de données incertaines et d'hypothèses hasardeuses, ont déjà le plus grand mal à rendre compte du passé ; hautement spéculatifs, ils n'ont pas encore fait leurs preuves lorsqu'il s'agit de l'avenir, au contraire, puisqu'ils n'ont pas prévu la stagnation de la température moyenne observée depuis 1998 ; rien ne prouve en particulier que les émissions de dioxyde de carbone dues à l'homme aient sur le climat une influence autre que négligeable ;

    - (3) dans la présentation des conséquences : si la température moyenne devait augmenter dans l'avenir, il faudrait s'en féliciter, quelle qu'en soit la raison, car tout porte à croire que les effets du réchauffement seraient globalement bénéfiques et que nous entrerions alors dans un nouvel "optimum climatique" semblable à celui que le monde a connu autour de l'an mil.

    Émules de Lyssenko
    Une grande conférence internationale sur le changement climatique est réunie à Cancún (Mexique) du 29 novembre au 10 décembre 2010. C'est l'occasion pour le Club de l'Horloge, maître d'œuvre du prix Lyssenko, de "récompenser" dignement, en la personne de Jean Jouzel, tous les émules de Lyssenko qui sont parvenus à intoxiquer l'opinion mondiale à propos du climat et qui seront présents en nombre à Cancún. Après avoir partagé le prix Nobel de la paix avec ses collègues du GIEC en 2007, M. Jean Jouzel, chef de file en France de la secte des "réchauffistes", ne pouvait manquer de recevoir le prix Lyssenko en 2010, tant il a contribué à l'imposture climatique.

    Pour sa part, M. Nicolas Hulot a rendu d'éminents services au GIEC en relayant sa propagande en France. Il a notamment réussi un coup d'éclat en faisant signer un "pacte écologique" aux candidats à l'élection présidentielle de 2007. Le nom de Nicolas Hulot, qui a bien mérité de la désinformation scientifique, devait être associé à celui de Jean Jouzel pour le prix Lyssenko 2010.

    A titre exceptionnel, eu égard au nombre de candidats qui étaient susceptibles de recevoir le prix Lyssenko cette année, le jury a décerné des accessits à deux autres journalistes : M. Sylvestre Huet, de Libération (premier accessit) et M. Stéphane Foucart, du Monde (second accessit).

    Le “prix Lyssenko”, créé en 1990, est attribué chaque année par le Club de l’Horloge, sur proposition d'un jury scientifique, à un auteur ou à une personnalité qui a, par ses écrits ou par ses actes, apporté une contribution exemplaire à la désinformation en matière scientifique ou historique, avec des méthodes et arguments idéologiques.

    Club de l’Horloge,
    4 rue de Stockholm, 75008  Paris.
    Tél. : 01 42 94 14 14. • Fax : 01 42 94 09 14.
    Courriel : cdh@cdh.fr

  • Sylvie Brunel et le catastrophisme écologiste

    A lire sur le site du journal suisse Le Temps (pourtant habituellement apôtre vindicatif de la pensée unique), une interview de Sylvie Brunel, directrice du master “Mondialisation, pays du Sud et développement durable” à la Sorbonne, à propos du livre Le ciel ne va pas nous tomber sur la tête, qu’elle a dirigé en collaboration avec Jean-Robert Pitte (éditions Jean-Claude Lattès, 2010).

    Extrait :

    – A qui profite le discours écologiste catastrophiste?

    – Il profite tout d’abord à notre système économique. Le capitalisme a toujours cherché de nouvelles sources de profit. Or voici que, au moment où les habitants des pays industrialisés voient leurs besoins globalement satisfaits, ce discours vient leur dire que leurs biens, jugés dangereux pour la planète, doivent être remplacés par d’autres, plus propres et plus chers. Quelle aubaine!

    – Et qui ce discours dessert-il?

    Il lèse les petites gens. Alors que les géographes croient en la capacité de l’humanité à s’adapter au changement climatique, le discours catastrophiste insiste sur la nécessité d’empêcher autant que possible le réchauffement en limitant les rejets de gaz à effet de serre. Or, ce faisant, il attise une guerre entre les riches et les pauvres. Au niveau global entre les pays industrialisés, qui prônent la réduction des émissions et se battent pour contrôler le marché des technologies vertes, et les pays émergents, qui souhaitent privilégier les stratégies d’adaptation mais ont mille peines à obtenir les moyens financiers nécessaires. D’où de fortes tensions, comme il en a surgi lors de la conférence de Copenhague sur le climat. Au niveau local, les personnes modestes sont culpabilisées par les nantis qui ont la possibilité d’acheter des certificats de compensation carbone et de racheter ainsi leurs «écarts» comme on acquérait des indulgences au Moyen-Age.

  • Le volcan et son gaz carbonique

    Selon les calculs des experts, le volcan islandais qui perturbe les liaisons aériennes émet 300.000 tonnes de gaz carbonique par jour. Soit plus que l'Autriche ou la Suède.

    Mais, chut. Ce n'est pas du gaz carbonique d'origine anthropique, donc on n'en parle pas. Les Autrichiens et les Suédois sont des pollueurs. Pas le volcan, dont l'éruption n'est qu'une facétie de la bonne Gaïa.

    (Les mêmes experts soulignent que ces émissions de gaz carbonique ne sont en rien compensées par la chute du trafic aérien, car celui-ci n'est que reporté, ou remplacé par d'autres moyens de transport.)

  • A ceux qui croient sauver la planète

    Extrait du discours de Vaclav Klaus, hier, à Palm Beach, où il était l'invité du Club de la croissance :

    « L'environnementalisme, et sa version la plus extrême, l'alarmisme du réchauffement climatique, réclament une expansion presque sans précédent de l'intrusion et de l'intervention des gouvernements dans nos vies, et d'un contrôle des gouvernements sur nous. » (...)

    « Les hommes politiques, leurs bureaucrates, aussi bien que de nombreuses personnes bien-pensantes qui font leur la vision alarmiste du changement climatique anthropique, espèrent probablement qu'ainsi elles font preuve d'intelligence, de vertu et d'altruisme. Certaines d'entre elles croient même qu'elles sont en train de sauver la Terre. Nous devons leur dire qu'elles ne sont que des pions dans les mains de lobbyistes, de producteurs de technologie verte, de firmes agro-industrielles produisant de l'éthanol, de firmes commerciales qui s'occupent des droits d'émission de carbone, etc., qui espèrent se faire des milliards à nos dépens. Il n'y a là aucun altruisme. Il y a un froid calcul politique et commercial. »

  • L'Onu va créer une commission d'examen sur le GIEC

    Elle sera composée de « hautes sommités scientifiques ». Mais on précise d'emblée que le rapport réaffirmera la fiabilité du GIEC et aura pour but de « renforcer la publication de son cinquième rapport »...

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  • Le « Monsieur Climat » de l’ONU démissionne…

    Yvo de Boer, secrétaire exécutif de la Convention-Cadre des Nations unies sur le changement climatique (CCNUCC) depuis 2006, a présenté sa démission, qui prendra effet le 1er juillet. Il rejoindra le cabinet de consultants KPMG.

    "C'était une décision difficile à prendre mais je crois que le temps était venu pour moi de relever un nouveau défi, en travaillant sur le climat et le développement viable avec le secteur privé et le monde de la recherche", a-t-il dit.

    Mais, il y a quelques semaines, son secrétariat affirmait à l'AFP qu'il n'avait aucunement l'intention de démissionner et qu'il briguerait un nouveau mandat en septembre prochain.

  • Un colloque sur le « réchauffement climatique »

    Le samedi 30 janvier 2010, au Siège du Front National à Nanterre (78 rue des Suisses), se déroulera un colloque sur le thème : « Réchauffement climatique : mythe ou réalité ? »

    Le programme est ici.