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Grande-Bretagne - Page 9

  • Angleterre : deux élèves punis pour avoir refusé de prier Allah

    Deux garçons de 11-12 ans, élèves d’une école réputée près de Stoke-on-Trent, ont été « collés » parce qu’ils avaient refusé de mettre un couvre-chef et de s’agenouiller sur un tapis de prière pour prier Allah (Allahou Akbar…), pendant un cours d’éducation religieuse, rapporte le Daily Mail.

    Il s’agissait de « travaux pratiques » d’un cours d’éducation religieuse, destinés à montrer aux enfants comment prient les musulmans (et les filles devaient mettre un foulard islamique)…

    Les parents ont été révoltés. Une mère déclare : « Ce n’est pas bien, cela va trop loin. Je comprends qu’ils doivent apprendre à connaître les autres religions, j’admets cela, mais c’est un pas de trop que de punir des enfants pour ne pas avoir voulu participer à une prière musulmane. Les faire prier Allah, qui n’est pas celui qu’ils adorent, est mal, et ce qui m’énerve est qu’on leur a dit qu’ils avaient manqué de respect. »

    Une autre mère : « Je suis absolument furieuse que l’on ait demandé cela à ma fille, je trouve cela inacceptable. Je n’ai aucun problème avec le fait qu’on enseigne d’autres religions à mes enfants, et un minimum d’information ne fait pas de mal. Mais ils ne devaient pas seulement prier : le professeur leur a montré un petit film et leur a dit : « Maintenant nous allons sortir pour prier Allah. » Les deux garçons ont été collés, et les autres enfants ont été privés de récréation par le professeur. Non seulement on les a obligés, mais ma fille a été réprimandée parce qu’elle ne le faisait pas bien. Ils n’avaient jamais fait cela avant, et ils étaient supposés le faire dans une autre langue… »

    Un grand-père : « Mon petit-fils a été obligé de prier Allah… C’est absolument dégoûtant, il n’y a pas d’autre mot.  Ma fille et beaucoup d’autres mères sont furieuses… Je ne suis pas raciste, je suis ami avec un Indien depuis 30 ans, je suis aussi allé à une mariage musulman où on m’a expliqué qu’il n’y aurait pas d’alcool et je respecte cela. Mais si on demandait à des musulmans d’aller à l’église le dimanche et de participer à la sainte communion, il y aurait la guerre. »

    Le conseil du comté a publié un communiqué pour dire qu’il menait une enquête sur cette affaire, ajoutant : « Apprendre aux enfants les croyances des différentes confessions religieuses fait partie du programme de diversité, sur le fondement que la connaissance est essentielle à la compréhension. Nous admettons qu’un tel enseignement doit être mené avec un certain sens de la sensibilité. » Sic.

  • La charia en Angleterre : et maintenant le président de la Haute Cour…

    Le Président de la Haute Cour d’Angleterre et de Galles, Lord Nicholas Phillips de Worth Matravers, revenant sur les propos de Rowan Williams, le chef de l’Eglise anglicane, juge comme lui qu’il faut introduire la charia dans le système britannique :

    "Il n'y a pas de raisons pour lesquelles les principes de la charia, ou de tout autre code religieux, ne pourraient pas être le fondement d'une médiation ou d'autres formes alternatives de résolution des conflits. »

    La charia souffre d’une « incompréhension » généralisée, dit-il.

    Il précise toutefois que la flagellation, la lapidation et l’amputation des mains ne seront pas acceptables…

    Prenant la défense de Rowan Williams, il considère que « ce n’était pas très radical de défendre la charia dans le cadre de conflits familiaux, par exemple, et notre système va déjà très loin dans l’acceptation de ce qui était suggéré par l’archevêque. » Et de préciser : « Il est possible dans ce pays pour ceux qui concluent un accord contractuel d'accepter que cet accord puisse être gouverné par une loi autre que la loi anglaise. »

    De fait, une dizaine de tribunaux islamiques fonctionnent en Grande-Bretagne. Récemment, le Tribunal d'arbitrage musulman (MAT), instance de la charia mise en place l’an dernier, proposait sa collaboration au gouvernement pour lutter contre les mariages forcés…

  • Le drapeau « raciste » de Saint George

    1518550363.jpgBen Smith, 18 ans, rentrait chez lui au volant de sa voiture, à Melksham, lorsqu’il fut arrêté par un policier effectuant un contrôle de routine. Le policier tourna autour de la voiture, ne vit rien d’anormal, jusqu’à ce qu’il voie le drapeau de Saint George (le drapeau de l’Angleterre, blanc avec une croix rouge) sur la plage arrière. Il lui dit que c’était « raciste envers les immigrants », et qu’il devait le retirer, sinon il aurait une amende de 30 livres. « J’ai ris, parce que je pensais qu’il plaisantait », dit le jeune homme. « Mais quand j’ai réalisé qu’il était sérieux, j’ai compris que je devais retirer le drapeau immédiatement. Je trouve cela stupide : c’est mon pays et veux montrer que je soutiens mon pays. » Le drapeau, a-t-il expliqué, avait pour fonction de cacher des haut-parleurs d’autoradio qu’il venait d’acheter, pour ne pas qu’ils soient volés...

    La hiérarchie policière, interrogée par le Wiltshire Times qui conte l’affaire, s’est montrée très évasive, signalant qu’il n’y aurait pas de rapport de police sur cet incident puisqu’il n’y avait aucun problème avec la voiture, qu’il n’est pas impossible de demander à un conducteur de retirer un drapeau anglais si par exemple on l’a vu dépasser de nombreux conducteurs polonais en les insultant (sic), et que de toute façon le policier pouvait venir de n’importe où dans le pays et avait pu prendre une initiative personnelle...

    (On rappellera que la ville de Bradford a interdit cette année le défilé en honneur de saint George, patron de l’Angleterre, auquel devaient participer 1.500 enfants, parce que cela pouvait « contrarier » les musulmans.)

    (via FDS)

  • Le « fiasco » de la vidéosurveillance

    « Des milliards de livres ont été dépensés dans le matériel mais on n’a pas réfléchi à la manière dont la police allait utiliser les images et comment elles seraient présentées devant un tribunal. C’est un véritable fiasco », déclare Mike Neville, responsable du bureau des images, identifications et détections visuelles de Scotland Yard.

    Dans la décennie 1990, le ministère de l’Intérieur a consacré 78% de son budget de lutte contre la criminalité à l’installation de caméras de vidéo-surveillance. Il y en a 4,2 millions dans le pays, soit une pour 14 Britanniques. Un individu peut être filmé jusqu’à 300 fois par jour.

    Mais 3% seulement des vols sur la voie publique à Londres ont été élucidés grâce ces images.

    Les caméras n’ont guère de rôle préventif, car les malfrats pensent qu’elles ne fonctionnent pas.

    En réalité, les policiers rechignent à utiliser ces images, « parce que c’est un gros travail ».

    Cela fait penser aux systèmes américains style Echelon qui sont censés tout voir et tout connaître dans tous les genres de transmission, et qui ne servent à rien, surtout pas à savoir qui fait quoi. Il est patent, par exemple, que les Américains ne savaient rien sur l’Irak de Saddam Hussein, parce qu’ils faisaient confiance à leur technologie (ou à des margoulins comme Ahmed Chalabi) et avaient abandonné le renseignement de terrain qui est seul fiable.

    Là aussi, trop d’info tue l’info.

  • Grande-Bretagne : percée de la Droite nationale

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    Le Front National salue la percée réalisée par les patriotes britanniques du British National Party (B.N.P.) aux importantes élections locales partielles qui viennent de se dérouler en Grande-Bretagne. Le B.N.P. a sensiblement augmenté son score et le nombre de ses élus dans le pays, même à Londres, en dépit d’une extrême bipolarisation. Avec l’élection de Richard Barnbrook à la London Assembly , le B.N.P. fait son entrée dans cette instance dont le budget considérable dépasse celui de nombreux Etats. Il y disposera, à la grande fureur de l’establishment, de moyens importants.

    Les entretiens que mon collègue autrichien Andréas Mölzer (FPÖ) et moi-même avons eus à Londres il y a quatre jours avec Nick Griffin, le courageux et clairvoyant leader du B.N.P., nous laissent augurer une entrée du B.N.P. au Parlement Européen en 2009. Sa présence y est rendue nécessaire par l’abandon total des députés conservateurs libéraux et travaillistes à l’Europe de Bruxelles et au Super-Etat qu’imposent les traités de Lisbonne et Maastricht.

    On verra alors que le slogan naguère lancé par Jean-Marie Le Pen « Patriotes de tous les pays, Unissez-vous ! » est en train de devenir réalité.

  • La dhimmitude à Bradford

    1457884520.jpgLa ville de Bradford a interdit cette année le défilé en honneur de saint George, patron de l’Angleterre, auquel devaient participer 1.500 enfants, parce que cela pouvait « contrarier » les musulmans.

    Réaction du député Philip Davies : « Cette journée semble avoir été supprimée par peur de voyous. C’était une occasion de choix de promouvoir l’intégration en célébrant le fait d’être anglais. La police et le conseil – que ce soit à cause du politiquement correct ou quoi que ce soit d’autre – a minablement failli. Franchement, c’est pathétique. »

    (Via François Desouche. L’article du Daily Star est orné de cette magnifique icône, copte semble-t-il. Dommage qu’il soit environné de pénibles publicités.)

    Extraits du Pacte d’Omar, qui engageait les chrétiens dans l’empire ottoman :

    (...) Nous ne ferons point paraître nos croix et nos livres sur les chemins fréquentés par les musulmans et dans leurs marchés (…) Nous n’y élèverons pas la voix en présence des musulmans. Nous ne ferons pas les processions publiques du dimanche des Rameaux et de Pâques. (...)

    S’il nous arrivait de contrevenir à quelques-uns de ces engagements dont nos personnes demeurent garantes, nous n’aurions plus droit à la dhimma  et nous serions passibles des peines réservées aux rebelles et aux séditieux.

  • Dernières nouvelles du traité de Lisbonne

    Au Royaume Uni, la Chambre des Communes a voté par 346 voix contre 206 l’adoption du projet de loi de ratification du traité de Lisbonne, après 14 jours de débats, notamment sur l’amendement conservateur réclamant un référendum. Cet amendement a été rejeté le 5 mars par 311 voix contre 248. Comme il n’y a que 193 députés conservateurs, d’autres élus leur ont prêté main forte (dont 25 travaillistes et 13 libéraux), mais cela n’a pas suffi. Rappelons que les travaillistes avaient promis un référendum sur la Constitution européenne. Aujourd’hui, ils prétendent que le  traité de Lisbonne est différent de la Constitution.. .

    Le texte va désormais à la chambre des Lords, où sera également présenté un amendement pour un référendum. Selon les observateurs, le vote de cet amendement n’est pas exclu, car les travaillistes n’ont que 215 sièges, contre 202 pour les conservateurs, tandis qu’il y a 201 indépendants, 78 libéraux, 26 évêques anglicans, et 14 divers dont 2 UKIP (anti-européens). Le vote de l’amendement obligerait le texte à revenir devant les Communes, etc.

    En Irlande, le référendum aura lieu « dans la deuxième semaine de juin », a déclaré le Premier ministre Bertie Ahern. Le jour précis (car ce sera un jour de semaine) n’a pas encore été fixé. Selon la presse, ce serait le 12 ou le 13. Le dernier sondage fait état de 46% de oui et 23% de non, 31% ne se prononçant pas encore. La propagande gouvernementale pour le oui fonctionne à plein régime, avec les arguments que l’on connaît : le non provoquerait une crise, etc.

  • Folies britanniques

    Un rapport parlementaire commandé par Harriet Harman sur les mérites de la discrimination positive identifie notamment 100 circonscriptions dans lesquelles il faudrait, aux élections, des listes entièrement noires et pakistanaises pour que les minorités soient correctement représentées à la chambre des députés, mais qu’il suffirait d’imposer entre quatre et huit sièges de députés noirs et pakistanais dans quatre élections à la suite pour arriver à une représentation correcte des minorités.

    Autrement dit, dans un premier temps, les listes de quatre à huit circonscriptions devraient être exclusivement noires et pakistanaises.

    Harriet Harman, qui est à la fois numéro 2 du parti travailliste, ministre de la famille et des égalités (sic), et leader des Communes (elle est la voix du gouvernement auprès des députés), fait savoir qu’elle étudie le rapport et qu’elle est favorable à son orientation.

    Le British Council (équivalent de l’Alliance française) va débloquer 6 millions de livres dans une opération de jumelage d’écoles britanniques avec des madrasas en Afghanistan, Irak, Indonésie, au Bangladesh et au Pakistan, y compris, précise-t-on, dans la province frontière du nord-ouest, fief des talibans et d’Al Qaïda.

    L’objectif, expose-t-on sans rire (et d’ailleurs il n’y a pas de quoi rire) est de montrer aux élèves de ces madrasas ce qu’ils ont en commun avec les enfants occidentaux, et de combattre l’extrémisme islamiste (sic).

    Rappelons seulement que les madrasas sont des écoles où l’activité principale est d’apprendre le Coran par cœur. Les madrasas pakistanaises, qui sont passées de 137 en 1947 à 14.000 aujourd’hui, sont des fabriques de talibans. Ce sera aux enfants occidentaux de montrer ce qu’ils ont en commun avec ceux des madrasas : en apprenant le Coran.

    Les deux premières madrasas concernées, dès le printemps prochain, sont précisément pakistanaises. Le jumelage doit concerner à terme 220.000 élèves.

     

    Un rapport du « Centre pour la cohésion sociale » (émanation du think tank Civitas) révèle que des communautés entières sont impliquées dans la participation aux “violences pour l’honneur” et à la dissimulation de crimes : un réseau informel de chauffeurs de taxi, d’élus municipaux et parfois même de policiers participe à la recherche et au retour forcé des femmes qui essayent de s’échapper. Le rapport indique que ce problème existe dans les communautés musulmanes, Sikh et hindoues, et ce même chez les immigrés de deuxième génération. Des femmes ont été violées, violentées, voire tuées pour avoir entretenu des relations “inappropriées”, pour avoir voulu suivre des études, ou simplement pour avoir écouté de la musique occidentale. Tous les mois, une femme est tuée pour “l’honneur”.

    Le rapport souligne que les municipalités ne réagissent pas, à cause du “politiquement correct” et par peur d’être accusées de racisme.

    Les déclarations de l’archevêque de Canterbury sur la charia ont choqué, mais l’AFP fait remarquer qu’une dizaine de tribunaux islamiques fonctionnent déjà, le plus important étant le Conseil islamique de la charia de Leyton. Depuis 1982, il a traité 7.000 cas de divorce. Ils ne se substituent pas (encore) à la justice civile, mais les musulmans y ont de plus en plus recours, en parallèle aux tribunaux civils, et le jugement du tribunal islamique est pour eux plus important que celui du tribunal civil. Le mufti de Leyton déclare : « Si le gouvernement ne choisit pas la voie politique, alors le consommateur (sic, on voit qu’il a intégré les codes occidentaux) aura le choix. Si de plus en plus de personnes viennent vers nous de préférence aux tribunaux britanniques, on connaîtra leur choix. C’est ce qui se passe, c’est ce que l’archevêque dit : il faut des arrangements, c’est inévitable. »

  • La folie islamo-immigrationniste anglaise

    Il ne se passe pas de semaine sans qu’on découvre de nouveaux délires britanniques. Voici ce que rapportait François Desouche ce week end.

    Le gouvernement vient d’autoriser la reconnaissance formelle des familles polygames du moment que les mariages ont eu lieu dans un pays où l’acte est légal. La décision entraîne une modification du régime des allocations : allocations logement supplémentaires, réduction des impôts locaux, etc.

    Le gouvernement vient de donner aux écoles musulmanes le pouvoir de “s’auto-inspecter” et de “s’auto-contrôler” : elles vont pouvoir nommer leurs propres inspecteurs au sein d’un corps indépendant, afin d’être plus “sensibles à l’éducation musulmane”. Cette décision est censée “promouvoir l’intégration“.

    Il faut en effet s’adapter à ce que sera bientôt le Royaume Uni : le taux de natalité des mères d’origine étrangère a augmenté de 77% alors que celui des femmes britanniques “de souche” chute. A Londres, 6 nouveaux nés sur 10 ont une mère étrangère.

  • Gordon Brown ne veut pas de référendum

    Le Premier ministre britannique Gordon Brown réaffirme son opposition à un référendum sur le nouveau traité européen. « La façon la plus appropriée d’en discuter est un débat approfondi à la Chambre des Communes et à la Chambre des Lords, et je pense que le Parlement adoptera la loi. » Evidemment, si l’on passe par le Parlement, c’est parce qu’on est sûr que le texte sera adopté. Comme en France. Dès lors, pourquoi un « débat » ?

    L’argument de Gordon Brown est qu’il ne s’agit plus d’une constitution. C’est en effet pour que le texte soit plus facilement ratifié qu’on a enlevé le mot « constitution ».

    Mais selon un sondage paru au début de cette semaine, 82% des Britanniques (et 80% des électeurs du parti travailliste de Gordon Brown) souhaitent un référendum...