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Grande-Bretagne - Page 7

  • A Londres, une marche pour l’instauration de la charia

    C'était samedi. Elle était organisée par Anjem Choudary, qui a expliqué récemment sur la BBC que l'application de la charia comprend les lapidations, les flagellations publiques, les amputations...

    L'annonce de la marche indiquait que l'objectif était de « se faire l'émule du prophète et de ses compagnons en réclamant l'islam et en dénonçant l'oppression des lois votées par les humains ».

    Le ministère de l'Intérieur avait autorisé cette marche appelant à renverser tout l'ordre légal britannique et ses fondements...

  • Puisque l’imam l’a dit…

    La prison de Lewes, en Angleterre (East Sussex), a aménagé une salle de prière « multiconfessionnelle ». Autrement dit une salle divisée en deux, d’un côté les chrétiens, de l’autre les musulmans…

    Du côté musulman, des bains de pieds chauffés pour les ablutions.

    De l’autre côté, un petit autel portable et une simple croix de bois, pouvant être facilement enlevés.

    Au départ il était prévu d’apposer un crucifix. Mais l’imam de la prison a convaincu la direction que cela était inapproprié…

    Le président local de l’Independant Monitoring Board (sorte d’observatoire des prisons, indépendant mais officiel) déclare :

    « Nous voyons nos nouvelles installations comme une grande amélioration et saluons vivement le fait que la prison ait un imam. Il est essentiel que tous aient accès à un lieu de culte décent, qu’ils soient musulmans, chrétiens ou de toute autre foi. »

  • Cachez cet eugénisme…

    Le gouvernement britannique garde désormais secret le nombre d’avortements effectués sur des fœtus atteints d’un handicap. (La loi britannique permet d’avorter quel que soit l’avancement de la grossesse en cas de malformation du fœtus, quel que soit le handicap, si bénin soit-il : pour un bec de lièvre, par exemple).

    « C’est un scandale que ces chiffres soient supprimés », déclare le professeur Stuart Campbell, obstétricien reconnu pour ses recherches dans l’échographie 3D, et pour sa position récente en faveur de la réduction du délai légal en Grande-Bretagne, proposition refusée il y a quelques mois. « La transparence est l’essence de la médecine. Si nous ne l’avons pas, toutes les dérives peuvent advenir », a-t-il ajouté.

    Les dérives sont bien là…

    Le département de la santé a quant à lui prétendu que la publication de ces résultats pourrait permettre d’identifier les femmes ayant eu de tels avortements. Ces chiffres avaient pourtant été publiés les années précédentes, et ne contiennent aucune information personnelles.

    Le spécialiste américain en bioéthique Wesley J. Smith a aussi commenté cette situation, déclarant : « Voilà ce que nous devenons, avortant des fœtus viables parce qu’ils ne sont pas physiquement parfaits – avec le gouvernement britannique qui veut garder tout cela secret ».

    (source)

  • Islamofolie britannique (suite sans fin)

    Dans un document intitulé “Les écoles catholiques, les enfants des autres confessions, la cohésion communautaire”, les évêques catholiques d’Angleterre et du Pays de Galles demandent l’ouverture de salles de prières musulmanes dans les écoles catholiques. Ils veulent également que les toilettes soient adaptées pour les ablutions islamiques.

    Le préambule, très insistant et incitatif, est signé par Mgr Vincent Nichols, archevêque de Birmingham et favori à la succession du cardinal Cormac Murphy-O’Connor l’an prochain à la tête de la conférence épiscopale.

    On apprend dans le même temps qu’une école primaire a envoyé une lettre aux parents d’élèves, leur annonçant qu’en raison de la fête de l’Aïd al-Adha (du 8 au 11 décembre), les enfants musulmans seront absents de l’école et que par conséquent le spectacle de la Nativité organisé traditionnellement pour Noël a été annulé. Car il serait trop compliqué de célébrer les deux fêtes :

    « C’est avec beaucoup de regret que nous avons dû annuler cette année le spectacle de Noël. Cela est dû à la fête de l’Aïd qui a lieu la semaine prochaine et à son effet sur nos artistes. »

    Suite aux protestations des parents, l’école a envoyé une deuxième lettre disant que le spectacle de Noël sera joué… en janvier. Le directeur et la surveillante principale s’excusent pour le « malentendu », mais précisent qu’ils sont tenus de respecter « les cultures et les religions de tous les enfants »…

  • Une loi contre les mariages forcés

    Une loi entrée en vigueur mardi en Grande-Bretagne va permettre aux tribunaux de s'opposer à des mariages forcés : elle autorise le tribunal à édicter un arrêt de protection pour faire cesser des violences ou des actes d'intimidation, empêcher que quelqu'un soit envoyé à l'étranger contre son gré, et obliger un témoin à dire ce qu'il sait sur une personne qui serait en danger.

    Cette loi britannique ne concerne évidemment pas les Anglais, les Gallois où les Ecossais.
    Comme toutes les dispositions de ce genre, elle ne concerne que les allogènes, et elle est une preuve de plus que ce sont des allogènes.

    A propos, voir aussi ce qui se passe dans les prisons. Celle où les musulmans font régner la terreur. Celle où tout le monde mange halal pour ne pas contrarier sept détenus musulmans.

  • Folies britanniques

    Le conseil municipal d’Oxford a confirmé que les fêtes de Noël organisées par la municipalité seront appelées à partir de cette année « fêtes de la lumière d’hiver » afin de les rendre « moins exclusives » (comprendre : compatibles avec l’islam).

    L’idée de changer le nom des festivités est venue de l’agence de développement culturel du comté, l’organisation « caritative » “Oxford inspire”. Sic.

    Cela dit, le président du conseil musulman d’Oxford a déclaré : « Cela me fait vraiment de la peine. Les chrétiens, les musulmans et les fidèles des autres religions attendent tous Noël avec impatience. »

    « Discrimination religieuse »

    Un cuisinier musulman travaillant pour la police de Londres saisit les prud’hommes pour « discrimination religieuse ». Il refuse de toucher du porc. Les services de police lui ont assuré qu’il ne serait pas obligé de manipuler du bacon. Mais il exige que cela soit inscrit dans son contrat.

    Le latin banni

    Un certain nombre de municipalités britanniques se sont lancées dans la chasse aux mots latins et expressions latines, qu’elles ne veulent plus voir dans les documents officiels.

    Le conseil municipal de Bournemouth a ainsi dressé une liste de 19 mots ou expressions à éviter, comme ad hoc, nota bene, vice-versa, pro rata, etc. (etc.), qui sont élitistes et discriminatoires…

    Le conseil municipal de Salisbury s'en prend même au français, et suggère à ses fonctionnaires d'oublier "in lieu of" ou "fait accompli".

  • Nouveau succès du BNP

    A l’élection partielle qui s’est déroulée dans la circonscription de Bourne Abbey (comté de Lincolnshire) le 2 octobre, le candidat du BNP David Owens est arrivé en troisième position avec 13 % des suffrages exprimés (239 voix), devant le candidat travailliste (et aussi devant le candidat libéral). C’était la première fois que le BNP se présentait dans la région.

    (L'élection précédente)

  • L’islamofolie britannique

    Harold “Charlie” Lemaire est décédé à Sheffield la semaine dernière des suites d’une pneumonie à 75 ans. Sa belle-fille, Jean Maltby, voulait que les funérailles se déroulent samedi de façon à ce que la famille, qui habite loin, puisse y assister. Mais lorsque le responsable de l’entreprise funéraire a appelé le cimetière de Sheffield pour préparer la cérémonie et l’enterrement, il lui a été répondu que l’enterrement ne serait pas autorisé un samedi parce que la famille n’était pas musulmane. Le conseil municipal a confirmé qu’il n’autorisait pas les cérémonies funéraires le samedi sauf pour les musulmans, pour respecter les règles islamiques qui veulent que le mort soit enterré aussi vite que possible.

    Un employé musulman poursuit en justice la chaîne de supermarchés Tesco après s’être vu demander de transporter de la bière sur son chariot élévateur. Mohammed Ahmed prétend avoir été en réalité forcé de quitter son emploi, car ses supérieurs refusaient d’accepter que transporter de l’alcool offensait ses croyances. L’homme de 32 ans, élevé en Arabie saoudite, a déclaré au tribunal ne jamais avoir visité un hypermarché Tesco et ne pas avoir eu idée qu’on y vendait de l’alcool lorsqu’il a accepté ce poste. Mais il a reconnu faire ses courses à Sainsbury’s, Lidl et Asda et y avoir vu de l’alcool en vente.

    (Trouvé sur Bivouac-ID)

  • Pas de reportage sur les musulmans…

    Après les attentats de Londres, des journalistes de la BBc ont commencé à effectuer une enquête approfondie pour comprendre les tenants et aboutissants socio-religieux du terrorisme sur leur sol. Ils se sont rendus dans des quartiers musulmans de Londres, dans lesquels avaient grandi les terroristes impliqués dans les attentats meurtriers.

    Le résultat de cette enquête devait aboutir à la réalisation d’un documentaire qui serait diffusé sur le petit écran. Les journalistes voulaient expliquer “comment des musulmans de citoyenneté britannique, ayant grandi à Londres, avaient pu devenir des terroristes et provoquer la mort de plusieurs dizaines de personnes.” Pour cela, ils avaient obtenu l’accord des familles des terroristes pour venir enquêter et filmer chez elles.

    Mais l’élément religieux étant prédominant dans cette investigation, les dirigeants de la chaîne ont soudainement décidé de stopper l’enquête, car « ce documentaire a des relents d’islamophobie et risquerait d’offenser la population musulmane en Grande-Bretagne et dans le monde ».

    (extraits d'un article de Bivouac-id)

  • Le traumatisme de la radiologue musulmane

    Une radiologue musulmane a été licenciée du Service National de Santé du Royal Berkshire Hospital de Reading (à l’ouest de Londres) parce qu’elle refuse de se conformer aux règles d’hygiène élémentaires en milieu hospitalier qui consistent à se laver les mains et les avant-bras jusqu’aux coudes.

    Elle crie à la « discrimination religieuse » : l’islam interdit aux femmes de dévoiler tout ou partie de leur corps en public. Elle a déclaré au Daily Telegraph qu’elle voulait faire supprimer cette obligation de se laver les mains jusqu’aux coudes « afin que les autres femmes musulmanes ne connaissent pas le même traumatisme »…