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Liturgie - Page 605

  • Notre Dame du Rosaire

    Les antiennes de la fête

    Quæ est ista, speciosa sicut columba, quasi rosa plantata super rivos aquarum ?

    Quelle est celle-ci, belle comme la colombe, comme le rosier planté au bord des eaux ?

    Virgo potens, sicut turris David : mille clypei pendent ex ea, omnis armatura fortium.

    C’est la Vierge puissante, pareille à la tour de David; mille boucliers y sont suspendus, toutes les armures des forts.

    Ave Maria, gratia plena, Dominus tecum, benedicta tu in mulieribus.

    Je vous salue Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous ; vous êtes bénie entre toutes les femmes.

    Benedixit te Dominus in virtute sua, quia per te ad nihilum redegit inimicos nostros.

    Le Seigneur vous a bénie dans sa puissance, il a réduit à rien par vous nos ennemis.

    Viderunt eam filiæ Sion vernantem in floribus rosarum, et beatissimam prædicaverunt.

    Les filles de Sion l'ont vue comme un rosier couvert de fleurs, et l'ont proclamée bienheureuse.

  • Le site internet de la Commission Ecclesia Dei

    La Commission Ecclesia Dei vient d’ouvrir son site internet. Il est encore sommaire, et seule la liste des textes “en italien” est disponible. Mais on y trouve les textes officiels en latin (le motu proprio), et quelques textes en français, dont deux de Mgr Rifan.

  • Saint Bruno

    Témoin du bouillonnement culturel et religieux qui agitait à son époque l’Europe naissante, acteur dans la réforme que souhaitait réaliser l’Église face aux difficultés internes qu'elle rencontrait, après avoir été un enseignant apprécié, Bruno se sent appelé à se consacrer au bien unique qu’est Dieu lui-même. "Et qu’y a-t-il d’aussi bon que Dieu? Plus encore, y a-t-il un autre bien que Dieu seul? Aussi l’âme sainte qui a quelque sentiment de ce bien, de son incomparable éclat, de sa splendeur, de sa beauté, brûle de la flamme du céleste amour et s’écrie: 'J’ai soif du Dieu fort et vivant, quand irai-je voir la face de Dieu'" (Lettre à Raoul, n. 15). Le caractère radical de cette soif poussa Bruno, dans l’écoute patiente de l’Esprit, à inventer avec ses premiers compagnons un style de vie érémitique, où tout favorise la réponse à l’appel du Christ qui, de tout temps, choisit des hommes "pour les mener en solitude et se les unir dans un amour intime" (Statuts de l’Ordre des Chartreux). Par ce choix de "vie au désert", Bruno invite dès lors toute la communauté ecclésiale " à ne jamais perdre de vue la vocation suprême, qui est de demeurer toujours avec le Seigneur" (Vita consecrata, n. 7).

    (Extrait de la lettre de Jean-Paul II aux Chartreux, à l’occasion du 9e centenaire de la mort de saint Bruno, 14 mai 2001)

  • 21e dimanche après la Pentecôte

    L’évangile est la parabole où le royaume des cieux est comparé à un roi qui remet une énorme dette à l’un de ses serviteurs, et celui-ci fait mettre en prison son collègue qui avait envers lui une toute petite dette.

    Cet évangile explique de façon précise l’une des demandes du Pater. Mais on ne le voit pas tout de suite, parce que la traduction française du Pater a remplacé le mot dettes par le mot offenses.

    Il est regrettable d’avoir perdu ainsi la saveur très concrète du texte originel. Et Jésus dans cette parabole insiste sur le côté concret, qui nous fait comprendre précisément, en court-circuitant tout langage moral, ce que sont nos offenses.

  • Saint François d’Assise

    Comme Saint François allait une fois de Pérouse à Sainte-Marie des Anges avec frère Léon, au temps d'hiver et que le froid très vif le faisait beaucoup souffrir, il appelle frère Léon qui marchait un peu en avant et parla ainsi:

    " O frère Léon, alors même que les frères Mineurs donneraient en tout pays, un grand exemple de sainteté et de bonne édification, néanmoins, écris et note avec soin que là n'est pas la joie parfaite."

    Et Saint François allant plus loin l'appela une seconde fois:

    "O frère Léon, quand même le frère Mineur ferait les aveugles voir, redresserait les contrefaits, chasserait les démons, rendrait l'ouïe aux sourds, le marcher aux boîteux, la parole aux muets et, ce qui est plus grand miracle, ressusciterait des morts de quatre jours, écris qu'en cela n'est point la joie parfaite."

    Marchant encore un peu Saint François s'écria d'une voix forte:

    "O frère Léon, si le frère Mineur savait toutes les langues et toutes les sciences et toutes les Ecritures, en sorte qu'il saurait prophétiser et révéler non seulement les choses futures mais même les secrets des consciences et des âmes, écris qu'en cela n'est point la joie parfaite".

    Allant un peu plus loin, Saint François appela encore d'une voix forte:

    "O frère Léon, petite brebis de Dieu, quand bien même le frère Mineur parlerait la langue des Anges et saurait le cours des astres et les vertus des herbes, et que lui seraient révélés tous les trésors de la terre, et qu'il connaîtrait les vertus des oiseaux et des poissons, de tous les animaux et des hommes, des arbres et des pierres, des racines et des eaux, écris qu'en cela n'est point la joie parfaite."

    Et faisant encore un peu de chemin, Saint François appela d'une voix forte:

    "O frère Léon quand même le frère Mineur saurait si bien prêcher qu'il convertirait tous les fidèles à la foi du Christ, écris qu'en cela n'est point la joie parfaite."

    Et comme de tels propos avaient bien duré pendant deux milles, frère Léon fort étonné l'interrogea et dit: "Père, je te prie de la part de Dieu, de me dire où est la joie parfaite". Et Saint François lui répondit: " Quand nous arriverons à Sainte Marie des Anges, ainsi trempés par la pluie et glacés par le froid, souillés de boue et tourmentés par la faim, et que nous frapperons à la porte du couvent, et que le portier viendra en colère et dira : "Qui êtes-vous ?", et que nous lui répondrons : "Nous sommes deux de vos frères", et qu'il dira : "Vous ne dites pas vrai, vous êtes même deux ribauds qui allez trompant le monde et volant les aumônes des pauvres dehors dans la neige et la pluie, avec le froid et la faim, jusqu'à la nuit", alors si nous supportons avec patience, sans trouble, sans murmurer contre lui, tant d'injures et tant de crauté et tant de rebuffades, et si nous pensons avec humilité et charité que ce portier nous connaît véritablement et que Dieu le fait parler contre nous, ô frère Léon, écris que là est la joie parfaite. Et si nous persistons à frapper, et qu'il sorte en colère et qu'il nous chasse comme des vauriens importuns, avec force vilenies et soufflets en disant : "Allez-vous en d'ici, misérables petits voleurs, allez à l'hôpital, car ici vous ne mangerez ni ne logerez", si nous supportons tout cela avec patience, avec allégresse, dans un bon esprit de charité, ô frère Léon, écris que là est la joie parfaite.

    Et si nous, contraints pourtant par la faim, et par le froid, et par la nuit, nous frappons encore et appelons et le supplions pour l'amour de Dieu avec de grands gémissements de nous ouvrir et de nous faire cependant entrer, et qu'il dise, plus irrité encore : "Ceux-ci sont des vauriens importuns, et je vais les payer comme ils le méritent", et s'il sort avec un bâton noueux, et qu'il nous saisisse par le capuchon, et nous jette à terre, et nous roule dans la neige et nous frappe de tous les noeuds de ce bâton, si tout cela nous le supportons patiemment et avec allégresse, en pensant aux souffrances du Christ béni, que nous devons supporter pour son amour, ô frère Léon, écris que cela est la joie parfaite.

    Et enfin, écoute la conclusion, frère Léon : au dessus de toutes les grâces et dons de l'Esprit Saint que le Christ accorde à ses amis, il y a celui de se vaincre soi-même, et de supporter volontiers pour l'amour du Christ, les peines, les injures, les opprobes et les incommodités : car de tous les autres dons de Dieu nous ne pouvons nous glorifier puisqu'ils ne viennent pas de nous, mais de Dieu, selon ce que dit l'Apôtre : "Qu'as-tu que tu ne l'aies reçu de Dieu ? Et si tu ne l'as reçu de lui, pourquoi t'en glorifies-tu comme si tu l'avais de toi-même ?" Mais dans la croix de la tribulation et de l'affliction, nous pouvons nous glorifier parce que cela est à nous, c'est pourquoi l'Apôtre dit : "Je ne veux point me glorifier si ce n'est dans la croix de Notre Seigneur Jésus-Christ". A qui soit toujours honneur et gloire dans les siècles des siècles. Amen."

  • Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus

    Avec sa doctrine propre et son style unique, Thérèse se présente comme une authentique maîtresse de la foi et de la vie chrétiennes. Dans ses écrits, comme dans les développements des saints Pères, passe la sève vivifiante de la tradition catholique dont les richesses, ainsi que l'atteste encore le Concile Vatican II, "passent dans la pratique et la vie de l'Eglise qui croit et qui prie" (Dei Verbum, n. 8).

    La doctrine de Thérèse de Lisieux, si on la considère dans son genre littéraire, dépendant de son éducation et de sa culture, et si on l'évalue en fonction des conditions particulières de son époque, se présente dans une harmonie providentielle avec la tradition la plus authentique de l'Eglise, tant pour la confession de la foi catholique que pour la promotion de la vie spirituelle la plus vraie, proposée à tous les fidèles dans un langage vivant et accessible.

    Elle a fait resplendir en notre temps la beauté de l'Evangile; elle a eu la mission de faire connaître et aimer l'Eglise, Corps mystique du Christ; elle a aidé à guérir les âmes des rigueurs et des craintes de la doctrine janséniste, plus portée à souligner la justice de Dieu que sa divine miséricorde. Elle a contemplé et adoré dans la miséricorde de Dieu toutes les perfections divines, parce que "la Justice même (et peut-être encore plus que toute autre) me semble revêtue d'amour" (Ms A, 83 v). Elle est ainsi devenue une icône vivante de ce Dieu qui, selon la prière de l'Eglise, "donne la preuve suprême de sa puissance lorsqu'il patiente et prend pitié" (cf. Missale Romanum, Collecta, XXVI dimanche du temps ordinaire).

    Même si Thérèse n'a pas un corps de doctrine proprement dit, de véritables éclairs de doctrine se dégagent de ses écrits qui, comme par un charisme de l'Esprit Saint, touchent au centre même du message de la Révélation dans une vision originale et inédite, présentant un enseignement de qualité éminente.

    De fait, au cœur de son message il y a le mystère même de Dieu Amour, de Dieu Trinité, infiniment parfait en soi. Si l'expérience chrétienne authentique doit être en accord avec les vérités révélées, dans lesquelles Dieu se fait connaître lui-même et fait connaître le mystère de sa volonté (cf. Dei Verbum, n. 2), il faut affirmer que Thérèse a fait l'expérience de la Révélation divine, parvenant à contempler les réalités fondamentales de notre foi réunies dans le mystère de la vie trinitaire. Au sommet, source et terme à la fois, il y a l'amour miséricordieux des trois Personnes divines, comme elle le dit, spécialement dans son Acte d'offrande à l'Amour miséricordieux. A la base, du côté du sujet, il y a l'expérience d'être enfant adoptif du Père en Jésus; tel est le sens le plus authentique de l'enfance spirituelle, c'est-à-dire l'expérience de la filiation divine sous la motion de l'Esprit Saint. A la base encore, et devant nous, il y a le prochain, les autres, et nous devons coopérer à leur salut avec et en Jésus, avec le même amour miséricordieux que Lui.

    Par l'enfance spirituelle, on éprouve que tout vient de Dieu, que tout retourne à Lui et demeure en Lui, pour le salut de tous, dans un mystère d'amour miséricordieux. Tel est le message doctrinal enseigné et vécu par cette sainte.

    (Lettre apostolique Divini amoris scientia, de Jean-Paul II, pour la proclamation de sainte Thérèse docteur de l’Eglise, 19 octobre 1997, n 8.)

  • Les saints Anges gardiens

    Je crois que tu es l'ange saint député à ma garde par le Dieu tout-puissant. C'est pourquoi je te prie et t'implore humblement par Celui qui te préposa à cet emploi de me garder partout et toujours en cette vie, moi, misérable, fragile et indigne, de me protéger contre tout mal, de me défendre et de ne pas permettre au démon d'avoir aucune puissance sur mon âme, lorsque Dieu lui aura ordonné de quitter la terre. Mais alors, reçois-la doucement et conduis-la jusqu'au puissant et secourable Créateur et Sauveur, notre Dieu, qui est béni dans les siècles des siècles. Amen.

    (prière anglaise du IXe siècle)

  • Saint Remi

    Saint Remi convertit à Jésus-Christ le roi et la nation des Francs. En effet ce roi avait épousé une femme très chrétienne nommée Clotilde qui employait inutilement tous les moyens pour convertir son mari à la foi: Ayant mis au monde un fils, elle voulut qu'il fût baptisé; le roi s'y opposa formellement: or, comme elle n'avait pas de plus pressant désir, elle finit par obtenir le consentement de Clovis; et l’enfant fut baptisé; mais peu de temps après, il mourut subitement. Le roi dit à Clotilde : « On voit maintenant que le Christ est un dieu de maigre valeur, puisqu'il n'a pu conserver à la vie celui par lequel sa croyance pouvait être accrue. » Clotilde lui dit : « Bien au contraire, c'est en cela que je me sens singulièrement aimée de mon Dieu, puisque je sais qu'il a repris le premier fruit de mon sein ; il a donné à mon fils un royaume infiniment meilleur que le tien. » Or, elle conçut de nouveau et mit au monde un second fils qu'elle fit baptiser au plus tôt ainsi que le premier; quand tout à coup, il tomba si gravement malade qu'on désespéra de sa vie. Alors le roi dit à son épouse : « Vraiment ton dieu est bien faible pour ne pouvoir conserver à la vie quelqu'un baptisé en son nom : quand tu en engendrerais un mille et que tu les ferais baptiser, tous ils périront de même. Cependant l’enfant entra en convalescence et recouvra la santé ; il régna même après son père. Or, cette femme fidèle s'efforçait d'amener son mari à la foi, mais celui-ci résistait d'une manière absolue. (Dans une autre fête de saint Remi qui se trouve après l’Epiphanie, on a dit comment il fut converti.) (…)

    Il faut noter que la fête de saint Remi qui se célèbre au mois de janvier est le jour de son bienheureux trépas tandis que ce jour est la fête de sa translation. Après son décès, son corps était porté dans un cercueil en l’église des saints Timothée et Apollinaire; mais arrivé à l’église de saint Christophe, il devint tellement pesant qu'il n'y eut plus possibilité de le mouvoir. On fut donc forcé de prier le Seigneur de daigner indiquer si, par hasard, il ne voulait pas que Remi fût inhumé dans cette église où il n'y avait encore aucune autre relique de saint: et à l’instant, on souleva le corps avec grande facilité, tant il était devenu léger, et on l'y déposa avec beaucoup de pompe. Or, comme il s'y opérait une infinité de miracles, on agrandit l’église et on construisit une crypte derrière l’autel; mais quand il fallut lever le corps pour l’y placer, on ne put le remuer. On passa la nuit en prières et à minuit, tout le monde s'étant endormi, le lendemain, c'est-à-dire, le jour des calendes d'octobre, on trouva que le cercueil avait été porté dans cette crypte par les anges avec le corps de saint Remi.

    Ce fut longtemps après qu'on en fit, à pareil jour, la translation, avec une châsse d'argent, dans la crypte qui avait reçu de riches décorations.

    (Légende dorée)

    [On voit qu’il y avait au moyen âge une fête de saint Remi "après l'Epiphanie": le 14 janvier. Le nouveau calendrier a supprimé la fête du 1er octobre, et a renvoyé saint Remi au… 15 janvier. Mais ce n’est pas une fête, c’est seulement une « mémoire facultative ». En clair, saint Remi, qui « convertit à Jésus-Christ le roi et la nation des Francs », a été éjecté du calendrier liturgique.]

  • Saint Jérôme

    Que pouvons-nous apprendre de saint Jérôme? Je pense en particulier ceci: aimer la Parole de Dieu dans l'Ecriture Sainte. Saint Jérôme dit: "Ignorer les Ecritures, c'est ignorer le Christ". C'est pourquoi, il est très important que chaque chrétien vive en contact et en dialogue personnel avec la Parole de Dieu qui nous a été donnée dans l'Ecriture Sainte. Notre dialogue avec elle doit toujours revêtir deux dimensions: d'une part, il doit être un dialogue réellement personnel, car Dieu parle avec chacun de nous à travers l'Ecriture Sainte et possède un message pour chacun. Nous devons lire l'Ecriture Sainte non pas comme une parole du passé, mais comme une Parole de Dieu qui s'adresse également à nous et nous efforcer de comprendre ce que le Seigneur veut nous dire. Mais pour ne pas tomber dans l'individualisme, nous devons tenir compte du fait que la Parole de Dieu nous est donnée précisément pour construire la communion, pour nous unir dans la vérité de notre chemin vers Dieu. C'est pourquoi, tout en étant une Parole personnelle, elle est également une Parole qui construit une communauté, qui construit l'Eglise. Nous devons donc la lire en communion avec l'Eglise vivante. Le lieu privilégié de la lecture et de l'écoute de la Parole de Dieu est la liturgie, dans laquelle, en célébrant la parole et en rendant présent dans le Sacrement le Corps du Christ, nous réalisons la parole dans notre vie et la rendons présente parmi nous. Nous ne devons jamais oublier que la Parole de Dieu transcende les temps. Les opinions humaines vont et viennent. Ce qui est très moderne aujourd'hui sera très vieux demain. La Parole de Dieu, au contraire, est une Parole de vie éternelle, elle porte en elle l'éternité, ce qui vaut pour toujours. En portant en nous la Parole de Dieu, nous portons donc en nous l'éternel, la vie éternelle.

    (Benoît XVI, extrait de la catéchèse du 7 novembre 2007)

  • Le Motu Proprio un an après

    Un colloque sur l’application du motu proprio Summorum Pontificum, organisé par l’association Motu Proprio de Versailles, a eu lieu samedi au palais des congrès de Versailles. On en trouve ce compte-rendu d’“Ennemond” sur le Forum catholique.

    Ce colloque sur l’application du Motu Proprio Summorum Pontificum en France a réuni un peu plus de quatre-cents personne au Palais des Congrès de Versailles. Deux tables rondes se sont suivies. Les interventions étaient entrecoupées par les témoignages de responsables de groupes de fidèles dans les cadres paroissiaux. Je me permets de vous proposer les quelques notes que j'ai prises rapidement, sans en faire de commentaire :

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