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Liturgie - Page 47

  • Dans le diocèse de Cleveland

    Bishop-close-up-1.jpgMgr Edward Malesic, évêque de Cleveland dans l’Ohio, a publié un décret faisant de l’église Sainte-Elisabeth de Hongrie, à partir du 15 août, un sanctuaire diocésain réservé à la messe traditionnelle et aux sacrements selon les livres de 1962. Ainsi est respecté le décret de François : l’église n’est plus paroissiale : la paroisse fusionne avec la paroisse voisine. Le décret stipule que cette église, qui est celle de la plus ancienne communauté hongroise des Etats-Unis, devra aussi promouvoir « l’héritage chrétien du peuple hongrois ». Et l’évêque (qui est quant à lui d’origine slovène) annonce l’arrivée d’un ordre religieux, sans autre précision.

    La question est de savoir si François ne va pas se servir de cette initiative pour obliger Mgr Malesic à interdire la messe traditionnelle dans les 9 paroisses du diocèse où elle est également célébrée, dont 6 tous les dimanches (ce qui fera 7 avec Sainte-Elisabeth). Car cet évêque, pourtant nommé par François, est discrètement l’un des plus bienveillants envers la liturgie traditionnelle.

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  • Saint Laurent

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    Conféssio et pulchritúdo in conspéctu ejus : sánctitas, et magnificéntia in sanctificatióne ejus.

    La louange et la beauté sont en sa présence : la sainteté et la magnificence dans le lieu de sa sanctification.

    Par les moniales d'Argentan :

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    L'Offertoire a le même texte, le même phrasé, avec une pause majeure sur la dominante du mode respectif, la même gamme tonale et la même fin sur mi que l'Introït. Les deux chants diffèrent cependant par leur caractère. Le do aigu, qui imprègne l'introït de son éclat lumineux, n'apparaît qu'une seule fois dans l'Offertoire. Il est remplacé par des bistrophas et des tristrophas sur le fa grave. En fait, toute la pièce est plus réfléchie, plus réservée, plus solennelle. Des séquences similaires sont répétées sur (pulchritu)-do et (e)-jus, sur la fin du premier ejus et la première moitié du deuxième ejus, sur (sáncti)-tas et (magnifi)-cén-(tia). Les groupes rythmiques sont également répétés. Ainsi, par exemple, on trouve quatre groupes de deux et trois sur magnificénti-(a), et trois groupes de deux et deux avec accent sur le pes de sanctificati-(óne). Le pes forme l'arsis, tandis que la clivis forme la thesis. Cette disposition entraîne un triple mouvement ondulatoire et sert de préparation à l'accent brillant du mot auquel trois neumes donnent de l'importance.

    La réalité spirituelle intérieure qui transparaît dans le sacrifice eucharistique, directement introduite par l'offrande de l'oblation, se fait sentir dès le début. Ainsi, les paroles de l'Offertoire nous disent : le Sacrifice eucharistique est l'hymne le plus noble de louange et de beauté (conféssio et pulchritúdo) que l'on puisse rendre au Très-Haut. Selon les termes du Canon de la Messe, il rend à la Sainte Trinité tout honneur et toute gloire. Dans ce sacrifice, l'Agneau sacrificiel pur, saint (sánctitas) et sans tache s'offre lui-même. Pour l'Église, il représente la source de toute la splendeur merveilleuse (magnificéntia) qu'elle possède dans ses saints, car c'est de là qu'ils ont tiré "toutes les bénédictions et les grâces célestes" (Canon de la Messe).

    Dom Dominic Johner

  • Vigile de saint Laurent

    Il donne aux pauvres en abondance.

    1. La Vigile. — L’Église s’apprête à fêter dignement l’entrée dans la gloire d’un de ses plus grands héros, vrai type du martyr du Christ. Tous ceux qui s’associent véritablement à la vie de l’Église romaine connaissent fort bien ce jeune diacre ; il est le patron des catéchumènes, et, à ce titre, il nous accompagne dans l’arène du carême : dès le début (station de la Septuagésime), nous le trouvons à nos côtés.

    Nous pouvons considérer son martyre sur le gril comme le symbole de la lutte contre les passions ; aussi demandons-nous tous les jours, après la sainte messe, a que Dieu daigne éteindre en nous l’ardeur de nos vices, comme le bienheureux Laurent a surmonté le feu qui le tourmentait ».

    Il nous est assez difficile désormais de bien comprendre ce qu’était une vigile dans la primitive Église. Vers le soir, la veille de la fête du saint, on s’assemblait dans le sanctuaire qui enfermait ses reliques en y amenant les malades. La vigile romaine consistait surtout en leçons, en répons et en oraisons récitées par l’évêque, comme cela se pratique encore à la cérémonie du Samedi-Saint. La vue de la châsse, la lecture des Actes des Martyrs, la grande ferveur de l’assistance, tout contribuait à ranimer les restes du saint dans l’esprit des fidèles.

    Vers l’aurore, ils assistaient à la célébration de la messe et partageaient l’ « agape funéraire » eucharistique, s’unissant ainsi mystiquement au Christ et au saint martyr. Si la vigile n’est plus guère qu’un souvenir, essayons néanmoins de lui rendre sa signification primitive. C’est un jour de pénitence. Que les fidèles qui se confessent assez régulièrement le fassent de préférence aux vigiles et aux Quatre-Temps. C’est aussi un jour de jeûne dans le sens large du mot, un jour donc qu’il convient de sanctifier particulièrement par la pratique de la mortification et de l’aumône. C’est enfin un jour de prière. (Il est fait mention de la vigile de saint Laurent dès le IVe siècle, dans la « vie de sainte Mélanie »).

    2. La Messe (Dispersit). — Elle est très ancienne et semble bien mettre en valeur ce qui nous impressionne le plus dans la vie de saint Laurent :
    - a) la distribution des biens de l’Église aux pauvres (Intr. et Grad.) ;
    - b) l’invitation à suivre l’exemple du Sauveur (Év. et Com.) ;
    - c) l’ardeur dans la prière (Ép. et Off.).

    L’Offertoire traduit les dispositions du saint au moment où il comparaît devant le souverain juge : « Ma prière est pure ; c’est pourquoi je demande que ma voix soit entendue dans le ciel ; que ma supplication s’élève vers Dieu ». La lente mélodie, avec les notes profondes du début est vraiment grave et implorante. Nous sommes aujourd’hui les « pauvres » auxquels le Seigneur distribue les trésors spirituels de l’Église par la main de saint Laurent ; c’est à nous aussi que s’adresse l’appel du Sauveur à le suivre en portant notre croix ; nous supplions Dieu de nous donner la force d’accomplir ce sacrifice où il sera notre témoin et notre aide, et déjà nous l’en remercions en nous appropriant les paroles de l’Épître : « Vous m’avez délivré de la flamme qui me pressait et m’entourait, et, au milieu du feu, je n’ai pas été brûlé ». Ce texte s’applique exactement à saint Laurent, mais à nous également dans chacune de nos épreuves. Ayons en profonde vénération ces antiques formulaires de messes dont la richesse a été l’aliment spirituel de tant de grandes âmes avant nous.

    Dom Pius Parsch

  • Saint Jean-Marie Vianney

    La secrète et la postcommunion du propre de France sont remarquables :

    Super hanc illibátam hóstiam, omnípotens sempitérne Deus, descéndat invisíbilis plenitúdo Spíritus Sancti : et præsta ; ut intercedénte beáto Joánne María, casto córpore et mundo corde ad tantum semper mystérium accedámus.

    Sur cette victime qui vous est offerte, faites descendre, Dieu éternel et tout-puissant, la plénitude invisible du Saint-Esprit : et par l’intercession du bienheureux Jean-Marie, accordez-nous la grâce de nous approcher toujours avec un corps chaste et le cœur pur d’un si grand mystère.

    Angelórum dape refécti, te, Dómine, deprecámur : ut sicut in fortitúdine huius panis beátus Joánnes María advérsu ómnia invícta constántia tolerávit ; ita nos ejus méritis et imitatióne, de virtúte in virtútem eúntes, ad te felíciter perducámur.

    Ayant refait nos forces au banquet des Anges, puissions-nous, Seigneur, à l’exemple et par les mérites du bienheureux Jean-Marie, qui, fortifié par ce pain, supporta toutes les adversités avec un courage invincible, progressant nous aussi de vertu en vertu, avoir la joie de parvenir jusqu’à vous.

  • Saint Gaétan de Thiène

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    Statue de la chapelle Saint-Gaétan de Malvizza (Montecalvo Irpino).

    Lu sur le site des Théatins:

    Saint Gaëtan, descendant de la noble famille de Thiène, fils de Gaspard de Thiène et de Marie Porto, est né à Vicenza (en Italie), présumablement au mois d’octobre 1480. Il obtint un doctorat en Droit Canonique et en Droit Civil, à l’Université de Padoue. Peu de temps après, ayant reçu la tonsure ( en 1504 ) par laquelle il faisait partie du clergé, il fut transféré à Rome ( en 1507 ) pour faire partie de la Curie Romaine, sous le pontificat du Pape Jules II. Au service de ce Pape, il remplit l’office d’écrivain des lettres apostoliques, avec la fonction de Protonotaire Apostolique.

    S’adjoignant à l’Oratoire du Divin Amour à Rome (en 1515), il exerça en diverses villes italiennes des activités similaires à celles que ladite confrérie déployait. Le 30 septembre 1516, il fut ordonné prêtre. Dans ce cadre, nous le voyons se consacrer à la prière, à l’étude des Saintes Écritures et au soin des malades, spécialement ceux que l’on nommait « incurables « . La fondation de l’Hôpital des Incurables de Venise fut le fruit de cette dernière activité exercée par Gaëtan de Thiène, auprès de nobles femmes de Venise, Marie Malpier et Marine Grimani, en 1522. Le saint vénitien réalisa aussi un apostolat de même nature à l’Hôpital de la Miséricorde à Vicenza, en lui donnant la forme d’un hôpital pour incurables, ainsi qu’à l’Hôpital de Saint Jacques d’Auguste, à Rome.

    S’engageant à réformer les coutumes des ecclésiastiques, il s’efforça de restaurer dans l’église de son temps le mode de vie des Apôtres. Dans cette entreprise, il rencontra Jean-Pierre Carafa, évêque de Chieti et membre de l’Oratoire romain du Divin Amour. Le résultat de cette rencontre fut la fondation de l’Ordre des Prêtres Réguliers Théatins, le 14 septembre 1524.

    De nature doux et sociable, doué d’éclairantes vertus sacerdotales, il promut la splendeur du culte divin et la participation fréquente des sacrements. La vénération de Gaëtan pour la naissance de notre Seigneur Jésus-Christ et sa Passion nous fascine, et plus particulièrement la façon dont celle-ci s’est conjuguée avec la dévotion à la Vierge Marie. C’est pour cette raison que certaines iconographies représentent Saint Gaëtan recevant l’Enfant Jésus dans ses bras, comme le ferait Marie. Cette façon de recréer la figure de Gaëtan trouve son fondement dans le récit qu’il a fait à sœur Laure Mignani, au sujet d’une expérience mystique dans la Basilique Sainte Marie Majeure, à Rome, au moment de Noël 1517.

    Disposé à ne pas avoir ni une monnaie pour payer sa sépulture, il se consacra pleinement à une vie pauvre, au service des plus nécessiteux et confiant en la Divine Providence. Sa vie ainsi comblée par la sainteté et le dévouement, il mourut à Naples le 7 août 1547. Sa dépouille mortelle repose dans la crypte de la Basilique Saint Paul le Grand, à Naples. Il fut béatifié par le Pape Urbain VIII, le 8 octobre 1629, et le Pape Clément X le proclama Saint, le 12 avril 1671. Sa fête liturgique se célèbre le 7 août.

  • Transfiguration

    Tropaire et kondak

    Преобразился еси на горе, Христе Боже,/ показавый учеником Твоим славу Твою,/ якоже можаху,/ да возсияет и нам, грешным,/ Свет Твой присносущный/ молитвами Богородицы,// Светодавче, слава Тебе.

    Tu t'es transfiguré sur la montagne, ô Christ notre Dieu, laissant tes disciples contempler ta gloire autant qu'ils le pouvaient: fais briller aussi sur les pécheurs que nous sommes ton éternelle clarté par les prières de la Mère de Dieu, Source de lumière, gloire à toi.

    На горе преобразился еси,/ и якоже вмещаху ученицы Твои,/ славу Твою, Христе Боже, видеша,/ да егда Тя узрят распинаема,/ страдание убо уразумеют вольное,/ мирови же проповедят,// яко Ты еси воистинну Отчее сияние.

    Sur la montagne tu t’es transfiguré et tes disciples contemplèrent ta gloire, ô Christ notre Dieu, pour autant qu’ils le pouvaient, afin qu’en te voyant sur la croix ils comprennent que ta Passion était voulue et proclament à la face du monde que tu es en vérité le reflet de la splendeur et de la gloire du Père.

    Chant byzantin par le Chœur Axion estin du monastère de Nikolo-Malitsa (à côté de Tver) :

     

    Chant Znamenny par le chœur du monastère Sainte Elisabeth de Minsk :

  • Dédicace de Sainte Marie aux Neiges

    C’est la commémoration de la dédicace de la basilique Sainte Marie Majeure, en 432, l’année suivant le concile d’Ephèse qui avait proclamé Marie Mère de Dieu.

    Le texte de saint Bède en commentaire de l’évangile aux matines (une femme s’écria : Heureux le sein qui t’as porté…) est celui du commun des fêtes de la Sainte Vierge, mais il convient particulièrement à ce jour.

    Cette femme fit bien voir la grandeur de sa dévotion et de sa foi. Tandis que les Scribes et les Pharisiens tentent le Seigneur et blasphèment contre lui, elle reconnaît avec tant de sincérité son incarnation, elle la proclame avec tant d’assurance qu’elle confond tout à la fois la calomnie dont les principaux d’entre les Juifs tâchaient alors de noircir le Fils de Dieu, et la perfidie des hérétiques qui devaient s’élever dans la suite des temps. De même qu’à cette époque les Juifs, blasphémant contre l’ouvrage du Saint-Esprit, niaient que Jésus-Christ fût le vrai Fils de Dieu, consubstantiel au Père ; ainsi les hérétiques devaient-ils plus tard, en niant que Marie, toujours Vierge, eût par l’opération du Saint-Esprit, fourni de sa propre chair au Fils de Dieu la matière de ses membres humains, prétendre qu’il ne faut pas le reconnaître pour le vrai fils de l’homme et de la même substance que sa mère. Mais si la chair que le Verbe de Dieu a prise en s’incarnant n’est pas formée de celle de la Vierge sa Mère, c’est sans motif qu’on appelle heureux le sein qui l’a porté et les mamelles qui l’ont allaité.

    L’Apôtre a dit : « Dieu a envoyé son Fils, formé d’une femme soumise à la loi ». Il ne faut pas écouter ceux qui pensent qu’il faut lire : Né d’une femme assujettie à la loi ; mais on doit lire : « Formé d’une femme », parce qu’ayant été conçu dans le sein d’une Vierge, il n’a pas tiré sa chair de rien ; mais de la chair de sa mère. Autrement il ne serait pas appelé avec vérité, fils de l’homme puisqu’il ne tirerait pas son origine de l’humanité. Élevons donc, nous aussi, la voix contre Eutychès, avec l’Église catholique, dont cette femme était la figure, élevons aussi notre esprit au-dessus de la foule, et disons au Sauveur : « Heureux le sein qui vous a porté, et les mamelles que vous avez sucées ». Car elle est vraiment une Mère heureuse, celle qui, selon l’expression d’un auteur, « a enfanté le Roi qui gouverne dans tous les siècles le ciel et la terre ».

    « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu et qui la gardent ! » Le Sauveur approuve éminemment ce qu’avait dit cette femme, quand il affirme que non seulement celle qui a mérité d’engendrer corporellement le Verbe de Dieu, mais aussi tous ceux qui s’efforcent de concevoir spirituellement le même Verbe par l’audition de la foi, de l’enfanter et de le nourrir par la pratique des bonnes œuvres, soit dans leur cœur, soit en celui de leur prochain, sont véritablement heureux. Certes, la Mère de Dieu est bienheureuse d’avoir servi dans le temps, et contribué à l’incarnation du Verbe ; mais elle est encore plus heureuse d’avoir mérité, en l’aimant toujours, de le garder en elle éternellement.

  • Saint Dominique

    4aeaa5bcc35a9c3eee895d26e3d4e2147ec74208_05.-el-greco.-santo-domingo-en-oracion-1588.-imagen-via--sothebys.jpegEl Greco s'appelait Dominique. Il a réalisé plusieurs versions de son "saint Dominique en prière". Celle-ci a été vendue plus de 10 millions d'euros chez Sotheby en 2013. (C'est le record à ce jour.)

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  • De la férie

    La première notice du martyrologe aujourd’hui évoque « sainte Lydie marchande de pourpre », qui fut la première à croire au Christ dans sa ville de Philippes en Macédoine quand saint Paul vint y prêcher (Actes des Apôtres 16,14).

    La dernière notice dit :

    A Jérusalem, l'Invention du bienheureux Etienne, premier martyr, et des saints Gamaliel, Nicodème et Abibon, à la suite d'une révélation que Dieu en fit au prêtre Lucien, au temps de l'empereur Honorius.

    L’invention des reliques de saint Etienne est célébrée la veille, 2 août, dans le calendrier byzantin. La liturgie joue sur le sens du nom : Stephanos, couronne.

    L’apolytikion, chanté par le protopsalte Kostas Kostogiannopoulos :

    Βασίλειον διάδημα, ἐστέφθη σὴ κορυφή, ἐξ ἄθλων ὧν ὑπέμεινας, ὑπὲρ Χριστοῦ τοῦ Θεοῦ, μαρτύρων Πρωτόαθλε· σὺ γὰρ τὴν Ἰουδαίων ἀπελέγξας μανίαν, εἶδές σου τὸν Σωτῆρα, τοῦ Πατρὸς δεξιόθεν. Αὐτὸν οὖν ἐκδυσώπει ἀεί, ὑπὲρ τῶν ψυχῶν ἡμῶν.

    Tu as été couronné du diadème royal à cause des souffrances supportées pour le Christ notre Dieu, premier à combattre parmi les Martyrs; tu confondis l'assemblée des impies, à la droite du Père tu vis le Sauveur. Sans cesse prie-le pour nos âmes.

  • Saint Séraphin de Sarov

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    Il y avait quelque 10.000 fidèles hier au monastère de la Sainte Trinité-Saint Seraphim de Diveyevo, près de Nijni-Novogorov, pour la fête de l'invention des reliques de saint Séraphin de Sarov, qui marque cette année le 120e anniversaire de sa canonisation par l'Eglise orthodoxe russe.