Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Islam - Page 96

  • Des coptes assassinés en Libye

    Un couple de médecins coptes égyptiens, Magdi et Sahar Sobhi Tawfik, ont été assassinés mardi à leur domicile du centre médical de Syrte, en Libye. Le médecin avait les mains bandées et a été tué par balles. Le corps de sa femme a été trouvé dans une chambre d’enfants. Deux petites filles ont été laissées en vie. La fille aînée, Catherine, 18 ans, a été enlevée. On a retrouvé son corps hier soir à 17 km de Syrte.

    Le motif religieux ne fait aucun doute : l’argent et les bijoux n’ont pas été touchés.

    Cela faisait 15 ans que ces médecins exerçaient en Libye.

  • Il le dit sans rire !

    C’est le plus sérieusement du monde que l’ex-conseiller spécial du ministre de l’Intérieur Hugues Moutouh déclare au Figaro, qui en fait son titre : «L'islamisme radical est devenu le véhicule de tous les déséquilibrés» :

    « On est passé de l'islamo-délinquance à l'islamo-psychiatrie. De plus en plus de ces attaques sont conduites par des individus fragiles psychologiquement, souffrant de défaillances mentales. Ce public fragile est réceptif aux appels au meurtre de l'Etat islamique.L'islamisme radical est devenu le véhicule de tous les déséquilibrés qui n'attendent qu'un prétexte pour passer à l'acte. »

    Franchement, il faut le voir pour le croire…

  • « Allahou Akbar »

    Allahou Akbar : « Dieu est (le) plus grand », en arabe, est le slogan essentiel de l’islam. C’est du moins ce que l’on croyait jusqu’ici. Car, en réalité, « Allahou Akbar » est le cri de ralliement des déséquilibrés, et plus précisément des déséquilibrés solitaires qui s’en prennent aux policiers, aux soldats, aux simples passants. Comme coup sur coup à Joué-les-Tours et à Dijon.

    « C'est un acte isolé dans une ville paisible », a déclaré le maire UMP de Joué-les-Tours, Frédéric Augis, qui souligne : « Les rapports sont très bons avec l'ensemble des communautés religieuses, c'est une ville de paix. »

    Bien sûr. Son prédécesseur, le socialiste Philippe Lebreton, disait pourtant déjà début 2010 : « Certains islamistes sont en guerre contre l’Occident et la République… Le fait religieux est de plus en plus présent dans le débat public. Dans ma ville il y a des burqas, les parents demandent de la nourriture halal dans les cantines, des jeunes suivent des formations financées par des fonds obscurs. »

    A Joué-les-Tours, il y a une mosquée dont l’imam, « Mohamed François », est un Français de souche « converti » et dont l’islam est évidemment « radical ». L’an dernier il expliquait que non seulement les musulmans ne devaient participer en aucune manière aux fêtes des chrétiens, mais qu’il leur était même interdit de participer à un réveillon du premier de l’an. Son prêche se terminait ainsi :

    « Je répète : cette nuit ne nous appartient pas, cette célébration ne nous appartient pas. Les fêtes dans notre communauté elles sont connues, elles sont légiférées par le Coran et la Sunna. Il convient de rappeler en tout premier lieu, que le Prophète nous a mis en garde de ne pas s’assimiler à des fêtes ou des traditions d’un autre peuple. »

    Tel est le « vivre ensemble » prôné à la mosquée de Joué-les-Tours. Ici, pas de taqiya. Il y a la oumma, la communauté des « croyants », et un « autre peuple », le peuple à côté duquel nous vivons, dont toutes les traditions nous sont étrangères.

    A la mosquée de Joué-les-Tours, Mohamed François fait venir les prédicateurs les plus radicaux. C’est-à-dire ceux qui ne déguisent pas l’enseignement de l’islam sur le jihad, par exemple.

    Les « islamophobes » sont-ils ceux qui montrent la réalité, ou ceux qui prétendent que « Allahou Akbar » est le slogan de « déséquilibrés » et de « loups solitaires » ?

     

    N.B.

    Et bien entendu tout cela n’a rien à voir avec les vidéos de jihadistes « français » de l’Etat islamique qui appellent à attaquer la France et les Français, comme celle-ci :

    « Faites exploser la France ! Réduisez la France en miettes ! Explosez la tête des ces kouffars ! »

    « Prenez exemple sur notre frère Mohamed Merah. Tuez-les où qu’ils soient, ne les laissez pas vivre en paix ! »

    « Et si tu n’arrives pas à te procurer un pistolet, il y a des pierres, des couteaux… »

  • Christine Tasin relaxée en appel

    Il y a donc encore des magistrats qui résistent un peu à la dictature du soi-disant antiracisme. Christine Tasin a été relaxée aujourd’hui en appel.

    Elle avait été condamnée en première instance à 3.000 € d’amende dont la moitié avec sursis pour « incitation à la haine raciale ». Parce qu’elle était à Belfort dénoncer l’installation d’un abattoir temporaire pour la fête du massacre des moutons, et qu’elle avait dit à ses interlocuteurs musulmans que « l’islam est une saloperie » et « un danger pour la France ».

    Dans son arrêt, la cour d’appel, selon l’Est républicain, indique que l’expression « L’Islam est une saloperie » est de nature à constituer une injure mais qu’elle n’a pas été poursuivie comme telle en l’espèce. Quant à ses autres propos « Je suis contre l’Islam qui pose problème, c’est un danger pour la France », la cour souligne « qu’ils constituent l’expression d’une opinion à l’égard d’une religion et n’invitaient personne à penser comme elle d’autant qu’elle n’espérait manifestement convaincre personne ». La cour souligne encore « qu’il est établi que Mme Tasin s’était rendue seule à Belfort, et « que si elle a adressé la parole à un interlocuteur hostile revendiquant une appartenance à la religion musulmane, elle ne s’est pas adressée à des partisans, à la foule ou à un public déterminé, elle n’a pas harangué un groupe particulier de personnes et n’a pas souhaité donner à ses propos une publicité particulière et n’a exprimé qu’une opinion personnelle à l’égard d’une religion dans un lieu public ». Au final, pour la cour, les propos incriminés critiquent une religion, l’islam, mais sans incitation à la haine à l’encontre des musulmans et n’excèdent pas les limites admissibles de la liberté d’expression au sens de l’article 10 de la convention européenne des droits de l’homme.

    Christine Tasin remarque notamment : « C'est une date symbolique, puisque c'est 4 ans jour pour jour après les Assises sur l'islamisation de nos pays  qui ont valu à Jacques Philarchein et à Renaud Camus une condamnation au printemps dernier. Tous les espoirs sont permis, il est encore en France des juges qui appliquent la loi, rien que la loi. »

  • En Indonésie

    Des dizaines de militants islamistes ont attaqué, le 15 décembre, les boutiques de Surakarta (Java central, plus de 500.000 habitants) qui vendent des articles de Noël, et ont enjoint les commerçants à cesser ce commerce.

    Cinq groupes participaient à cet assaut : le Conseil de la charia, le Groupe des guerriers islamiques, la Brigade Ishlah, la Jemaah Anshorut Tauhid et la Jemaah Ansarus Sharia.

    La semaine dernière, un chef musulman a appelé le président indonésien Jokowi à ne participer à aucune célébration de Noël, et a demandé que ces célébrations soient discrètes pour ne pas perturber la sensibilité des musulmans.

    Dans l’Etat d’Aceh, qui est officiellement sous le régime de la charia, le maire de la capitale Banda Aceh a pris un arrêté municipal interdisant aux musulmans de participer à quelque manifestation de Noël que ce soit.

    (Asianews)

  • Nigeria : le massacre des chrétiens continue

    Boko Haram (Etat islamique) a tué 32 personnes et en a enlevé au moins 185 autres, dont de nombreuses femmes et des enfants, dans le village chrétien de Gumsuri, dans l’Etat de Borno.

    C’était dimanche matin, à l’heure de la messe.

    Les informations ont mis quatre jours à venir, à cause de l'absence de réseau de téléphonie mobile et des routes en mauvais état. Gumsuri se trouve à 70 km au sud de Maiduguri, le fief historique de Boko Haram, et sur la route de Chibok, où avaient été enlevées 200 lycéennes.

  • Le phénomène Pegida

    127396.jpg

    Depuis le mois d’octobre, un mouvement intitulé Pegida (acronyme en allemand de Patriote Européen contre l’islamisation de l’Occident), appelle à manifester tous les lundis dans les rues des villes. Tous les lundis, comme dans les derniers temps de l’Allemagne de l’Est. Et souvent en reprenant le slogan d’alors : « Nous sommes le peuple ». Et les plus grandes manifestations ont lieu à Dresde : ils étaient quelque 15.000 hier, contre 10.000 le lundi précédent. Il y a désormais des manifestations à Düsseldorf (ouest), Würzburg (sud), Rostock (nord), Bochum (ouest), Munich (sud)… Elles sont soutenues par le parti anti-euro AfD.

    Le mouvement inquiète le gouvernement allemand. Le ministre de la Justice s’est fendu d’un grand discours sur le respect de l’étranger et du pauvre demandeur d’asile et a vigoureusement condamné cette intolérable xénophobie. Angela Merkel elle-même est intervenue, une première fois vendredi dernier par la voix de sa porte-parole, pour « condamner avec la plus grande fermeté » ces manifestations de « haine religieuse », une deuxième fois hier en direct, disant que s’il y avait la liberté de manifester en Allemagne, il n’y avait pas de place pour « l'incitation à la haine et la calomnie » envers les étrangers.

    AqQ4zgA.jpg

  • Les jihadistes de l’Etat islamique sont de vrais musulmans

    Ce n’est pas moi qui le dit, c’est l’université al-Azhar, la principale référence de l’islam sunnite modéré.

    Début décembre, les médias rapportaient avec délectation les propos du grand imam d’al-Azhar dénonçant la « barbarie » des jihadistes de l’Etat islamique et la déclaration finale de la « Conférence contre l’extrémisme et le terrorisme » qu’il avait réunie : « Les attaques contre les personnes, les lieux saints sont condamnées par l’islam ; la division des patries, l’effondrement des pays aboutissent à une vision déformée de l’islam, à des crimes contraires à la religion. »

    Mais al-Azhar met en garde contre les mauvaises interprétations de ces propos. Certains en ont déduit que les jihadistes de l’Etat islamique sont donc des infidèles, des mécréants, des takfirs. Al-Azhar publie donc un communiqué pour souligner qu’il ne peut être question de les traiter de takfirs. Car pour cela il faut qu’une fatwa l’ait déclaré, or il n’y a pas eu de fatwa, et il ne peut pas y en avoir contre quelqu’un qui professe ouvertement l’islam, et il ne peut donc pas y avoir de fatwa pour takfirisme à l’encontre des jihadistes de l’Etat islamique :

    « Tous les religieux qui ont participé à cette conférence contre le terrorisme sont bien conscients du fait qu’ils ne peuvent émettre de sentences d’apostasie contre un croyant abstraction faite de ses péchés.

    « C’est l’une des données acquises de l’islam que de reconnaître que quelqu’un ne peut être défini infidèle que lorsqu’il nie la chahada. »

    (Vous avez remarqué comme les médias sont tout à coup d’une exquise discrétion ?)

  • Mais bien sûr…

    the-treachery-of-images-this-is-not-a-pipe-1948(2).jpg

    C_4_articolo_2084744__ImageGallery__imageGalleryItem_0_image.jpg

    Photo du réfugié iranien preneur d’otages de Sidney sur sa page Facebook. Il avait 14.000 « likes ».

    Selon Mathieu Guidère, islamologue et spécialiste du terrorisme, la prise d’otage était le fait d’un islamophobe voulant faire porter le chapeau aux musulmans. Pas de bol.

    On rappellera que jusqu’ici tous les actes de vandalisme commis par des musulmans dans des églises en Europe ont été le fait de personnes « déséquilibrées ».

    Je ne sais pas dans quel sens est le problème, mais il y en a un…

  • « La mosquée n’a pas à condamner »

    Le maire de Lunel, Claude Arnaud, disait que la mort de deux autres jihadistes de Lunel appelaient « une réponse forte », notamment de la part des représentants des musulmans de Lunel, auxquels il demandait de « s’exprimer clairement pour condamner fermement ces départs ».

    Comme rien ne venait, France Inter est allé voir Houcine Goumri, le président de l'Union des musulmans de Lunel.

    Celui-ci dit d’abord que les deux jeunes étaient « super », « serviables », « aimés de toute part ».

    Puis il répond :

    « Je ne condamne pas du tout ces départs. Les gens sont libres de partir ou de rester : il y a des gens qui pensent que c'est un jihad, d'autres qui pensent que là-bas il y a une injustice à combattre. La mosquée n'a pas à condamner ou ne pas condamner ces départs-là. Elle ne dira pas "c'est des héros, c'est des martyrs". Elle ne dira pas "c'est des zéros". Nous, on n'a pas à les juger. Seul Dieu les jugera, en espérant qu'il les accueille dans son paradis s'ils avaient une bonne intention. »

    Un musulman qui oublie la taqiya, ça fait quand même plaisir à entendre.

    (Via Fdesouche)