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Islam - Page 74

  • Coptes attaqués

    Une fois de plus, une simple bagarre entre un jeune copte et un jeune musulman a tourné au pogrom antichrétien en Egypte.

    Cela s’est passé le 5 octobre à Samalut. C’est-à-dire dans la ville dont étaient originaires 13 des 21 martyrs de Libye, là où le président Sissi a fait construire une église qui leur est dédiée.

    Il y a donc eu une violente dispute entre un étudiant copte et un étudiant musulman. Un prétexte suffisant pour la famille du musulman d’attaquer la maison de la famille du chrétien, puis pour les musulmans d’aller attaquer les maisons et les commerces d’autres chrétiens. Jusqu’à ce que la police arrive.

    Il y a 10 coptes à l’hôpital (et aucun musulman, faut-il le préciser).

  • Le sultan à Strasbourg

    Recep Tayyip Erdogan est venu hier à Strasbourg. Officiellement pour un « rassemblement contre le terrorisme », en fait dans la perspective des législatives turques du 1er novembre (qui commencent dès le 8 octobre dans les consulats.

    Il y avait là environ 12.000 Turcs de France et aussi d’Allemagne, de Belgique et de Suisse, dans une marée de drapeaux turcs.

    La réunion a commencé par une prière musulmane, puis Erdogan a parlé des « martyrs » : les soldats turcs tués dans les affrontements avec les milices du PKK. La foule scandait Allahou Akbar.

    Erdogan a martelé qu’il écraserait le PKK. Mais au cours de ce « rassemblement contre le terrorisme », il n’a pas cité une seule fois l’Etat islamique. En revanche il a accusé l’Europe de n’avoir rien fait ou presque pour soulager la Turquie du fardeau des réfugiés syriens.

    Les cœurs des Turcs, a-t-il dit, sont « unis aujourd’hui comme ils l’étaient » lorsque l’empire Ottoman combattait les puissances européennes en 1915, et lorsque le sultan Mehmet II conquit Constantinople… Aujourd’hui, c’est la Turquie qui défend « la vraie civilisation » face à l’Europe « xénophobe, islamophobe, et raciste »…

    Il y a eu ensuite un second rassemblement de 3.000 Turcs environ, à Bruxelles, devant l’hôtel où était descendu Erdogan. Il fut accueilli par des pétales de rose, des ballons et de la musique. Il s’exprima depuis le toit d’un bus à deux étages recouvert d’un gigantesque drapeau turc. Le discours fut moins guerrier, et même il fit s’envoler deux colombes…

    Aujourd’hui il rencontre les dirigeants des institutions européennes qui voudraient qu’il arrête de faire venir les réfugiés en Europe et qu’il accepte l’aide européenne pour la construction de nouveaux grands camps de réfugiés en Turquie…

  • « Dans le cadre du dialogue »

    Un ami m’envoie la réponse qu’il a reçue du diocèse de Quimper suite à sa protestation concernant la caution apportée par deux prêtres à l’imam ouvertement islamiste de Brest lors de l'Aïd. Le diocèse se contente de retransmettre un « communiqué » de « l’ensemble paroissial Brest Centre » :

    Le père Claude Caill et le père Fabrice Douérin ont répondu à une invitation de l'imam de Pontanézen. Celle-ci avait été adressée depuis longtemps à tous les religieux et tous les politiques de Brest. Les prêtres de l'Ensemble paroissial de Brest Centre ont accepté cette invitation dans le cadre du dialogue interreligieux voulu par le Saint Père.


    Nous comprenons l'émotion que peut provoquer cette démarche, mais elle ne peut en aucun cas être assimilée à de la complaisance ou à un cautionnement des propos tenus par l'imam. Les photos n'étant pas représentatives de la teneur des échanges, les raccourcis hors contexte ne sont pas appropriés.

    Le fait que le diocèse réponde par un communiqué montre que de nombreux fidèles se sont inquiétés ou légitimement indignés. Quant au communiqué il montre, sans surprise hélas, que ce qui commande, aujourd’hui aussi dans l’Eglise, est le dogme du « vivre ensemble », et que rien ne saurait y porter atteinte, même quand il vous explose à la figure.

    En clair, le diocèse de Quimper, comme la plupart des diocèses occidentaux, est mûr pour l’Etat islamique.

  • A Bangui

    Les médias ont fini par découvrir que les mystérieuses émeutes de Bangui étaient des « affrontements interconfessionnels ». Comme on dit quand on ne veut pas prendre parti. C’est-à-dire quand on ne veut pas dire que ce sont des attaques musulmanes antichrétiennes.

    « Interconfessionnel », ça veut dire que les attaques viennent des deux côtés.

    Il faudrait alors nous expliquer comment il se fait qu’il y a aujourd’hui au moins 5.000 réfugiés de plus dans les églises de la capitale (certains disent jusqu’à 27.000), et… aucun dans les mosquées… Et pourquoi il n'y a pas d'imam qui accompagne l'archevêque dans sa visite permanente des hôpitaux et des paroisses.

  • En Centrafrique

    Une trentaine de morts, une centaine de blessés. Tel est le bilan provisoire de l’attaque de quartiers chrétiens de Bangui par des émeutiers musulmans, samedi dernier, suite à l’assassinat d’un jeune musulman. Des milliers de chrétiens ont fui vers les camps sécurisés de l’ONU. Les émeutes se sont poursuivies malgré le couvre-feu, y compris la nuit dernière, où les bureaux de diverses agences et ONG internationales ont été pillés.

    Il faut aller voir des sources africaines pour le savoir. Les agences de presse sont muettes sur la religion des agresseurs et des agressés.

  • Petits collabos-otages

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    Ces deux prêtres qui entourent l’imam de Brest font partie des bataillons de collabos de l’islam mobilisés par les évêques. Ces deux-ci servent désormais d’otages à l’imam de Brest, qui s’en sert comme boucliers humains contre les attaques dont il est l’objet, pour montrer qu’il est très gentil.

    Parce que Le Télégramme avait publié un reportage qui a fait beaucoup de bruit sur l’enseignement de cet imam. Il n’y a pourtant rien que de l’islamiquement correct dans les propos cités, mais ils ne correspondent pas à ce que les collabos de l’islam, laïques ou ecclésiastiques, en disent…

    « Qui écoute de la musique ? », demande l’imam. De nombreux doigts se lèvent spontanément. L’imam poursuit : « Écouter de la musique, c’est un grave péché. C’est écouter Scheitan, le diable ». Les enfants boivent ses paroles. « Allah n’aime pas la musique parce que c’est ce que le diable aime ». Un enfant lève le doigt. « Moi je fais de la batterie ». « Et bien tu vas arrêter d’en faire », poursuit l’imam en faisant référence à l’apocalypse pour mieux marquer les esprits. « Ceux qui chantent, le prophète a dit qu’ils seront engloutis sous la terre. Ils seront transformés en singes ou en porcs. Qui aime encore la musique ? », demande-t-il à son assistance médusée.

  • Bientôt majoritaires

    Le Parisien rappelle, à l’occasion de l’Aïd, qu’il y a environ 600.000 musulmans en Seine-Saint-Denis.

    Fdesouche souligne que la population de Seine-Saint-Denis, selon les chiffres de l’INSEE, était en 2014 de 1.554.166 habitants.

    Le Salon Beige fait le calcul : ça fait 37,5% de musulmans dans le département.

  • L’Eglise bulgare et les “réfugiés”

    Traduction d’extraits d’un article du Sofia Globe :

    Dans une déclaration du Saint Synode, datée du 25 septembre, signée par le chef de l’Eglise orthodoxe bulgare le patriarche Neofit et d’autres membres du Saint Synode, l’Eglise dit qu’à plusieurs reprises ces derniers mois on lui a demandé quelle était sa position sur « ce qu’on appelle le “problème des réfugiés” ».

    L’Eglise déclare que, « comme d’habitude », elle a été accusée de passivité, tant dans ses positions que dans son action. Mais l’expérience millénaire de l’Eglise orthodoxe bulgare ne prévoit pas qu’elle prenne des décisions hâtives dictées par la situation du moment, dit la déclaration, non plus que des décisions dictées par des considérations populistes ou destinées à plaire à l’opinion dominante.

    Au lieu de cela, l’Eglise doit penser selon les termes de l’Ecriture, les commandements de Dieu et le contexte historique, à savoir considérer ce qu’impliquent les événements « et comment ils peuvent affecter à long terme le peuple orthodoxe, le troupeau que notre Seigneur Jésus-Christ a confié à nos soins ». « Cela est particulièrement vrai pour des situations comme celle-ci avec la crise des réfugiés. »

    C’est une situation qui, de par sa nature, en dehors des questions de l’heure telles que la prise en charge des besoins matériels et la solidarité avec les gens qui viennent dans le pays, « soulève des questions sur la stabilité et l’existence de l’Etat bulgare » : la question de savoir si le flux de réfugiés, s’il se poursuit au rythme actuel, changerait l’équilibre ethnique existant dans « notre patrie la Bulgarie, dans laquelle Dieu a ordonné qu’habite notre peuple orthodoxe ».

    « Ces derniers mois, nous avons assisté à une vague déferlante en provenance des pays du Proche Orient et d’Afrique du Nord appauvris par les pays en guerre, cherchant refuge chez les peuples des pays européens. Une vague qui a acquis tous les signes d’une invasion. »

    L’Eglise dit qu’il ne doit pas y avoir de doute qu’elle a appelé à la compassion et à la solidarité avec tous ces gens qui sont déjà arrivés dans le pays, avec une préoccupation réelle, et non illusoire, pour satisfaire les besoins de ces personnes, selon les capacités de la Bulgarie. « Mais qu’il soit clair aussi que l’Eglise orthodoxe est fermement opposée à la guerre qui est la cause de cette misère humaine. » Lutter contre les conséquences sans éliminer les causes est voué à l’échec.

    L’Eglise aide et aidera autant qu’elle le peut les réfugiés sans distinction de foi et de nationalité, « mais nous pensons que notre gouvernement ne doit pas laisser entrer davantage de réfugiés ». « Il n’est pas juste que le peuple orthodoxe bulgare paie le prix de notre disparition en tant qu’Etat. »

    L’Eglise appelle le gouvernement bulgare à soulever « le plus fortement et catégoriquement » dans toutes les organisations internationales auxquelles il participe la question d’une fin immédiate de la guerre au Proche Orient et en Afrique du Nord, et de l’élimination des causes qui font que des millions de personnes sont coupées de leurs origines. « Mettre fin à la guerre est la condition première et indispensable pour résoudre le problème, et mettre fin à la guerre devrait être le premier devoir de tout gouvernement qui veut montrer de la bonté et le respect des principes européens d’humanité. »

    En outre, le gouvernement doit soulever la question de savoir s’il y a un « nettoyage religieux » du christianisme dans ces territoires, et comment cela est en adéquation avec les préceptes de tolérance interethnique et interreligieuse…

    Le Synode ajoute que le gouvernement doit prendre soin que les réfugiés qui viennent en Bulgarie sous le système des quotas, et que l’Eglise orthodoxe est prête à assister, « sont ceux qui se sentent bien parmi nous, ceux pour qui l’assistance qui leur est fournie par une société chrétienne orthodoxe n’est pas une sorte de problème moral. Parce que si cela leur pose un problème d’accepter le soutien d’une communauté chrétienne, cela signifie que la communauté chrétienne aura à l’avenir un problème plus grave que nous ne le soupçonnons actuellement. »

  • Le pont d'or des taxis

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    Il y en a pour qui les clandestins migrants réfugiés sont une véritable mine d’or, ce sont les taxis autrichiens. Ils font la noria non stop entre la frontière hongroise et la frontière allemande. C’est 170 € la course, ce qui n’est pas cher, mais ça leur permet de tripler leur chiffre d’affaires habituel. Et il y a des clients à la pelle, alors même qu’il ya des autocars gratuits. Car les clandestins migrants réfugiés ont peur que les autocars les emmènent dans des camps, alors qu’avec les taxis ils sont sûrs d’aller en Allemagne.

    On découvre aussi qu’un certain nombre de ces clandestins migrants réfugiés qui prennent le taxi en Autriche ont déjà traversé la Serbie ou la Croatie, voire déjà la Bulgarie, en taxi…

  • Toujours des armes américaines pour les jihadistes en Syrie

    La première unité complète de (70) combattants syriens formés, entraînés et armés par les Etats-Unis en Turquie pour aller se battre contre l’EI en Syrie, la « Division 30 », s’est immédiatement « rendue » au Front al-Nosra (al-Qaïda) après avoir passé la frontière, livrant tout son armement aux jihadistes : 12 véhicules 4x4 équipés de mitrailleuses et de munitions.

    Le chef d’état major de ce programme de 500 millions de dollars a démissionné avant même qu’on apprenne la désertion de la « Division 30 ». Il se plaignait d’un nombre insuffisant de stagiaires, de fournitures inadéquates, et d’un manque de méthode dans la sélection des cadres…

    Le mois dernier, un premier groupe avait été immédiatement mis en déroute par al-Nosra.

    Mercredi, le général Lloyd Austin, chef du commandement Central Américain, a déclaré devant la commission des armées du Sénat américain qu’il n’y avait qu’une poignée de combattants entraînés par ce programme qui continuaient de se battre à l’intérieur de la Syrie : « Nous parlons de quatre ou cinq hommes »...