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« Dans le cadre du dialogue »

Un ami m’envoie la réponse qu’il a reçue du diocèse de Quimper suite à sa protestation concernant la caution apportée par deux prêtres à l’imam ouvertement islamiste de Brest lors de l'Aïd. Le diocèse se contente de retransmettre un « communiqué » de « l’ensemble paroissial Brest Centre » :

Le père Claude Caill et le père Fabrice Douérin ont répondu à une invitation de l'imam de Pontanézen. Celle-ci avait été adressée depuis longtemps à tous les religieux et tous les politiques de Brest. Les prêtres de l'Ensemble paroissial de Brest Centre ont accepté cette invitation dans le cadre du dialogue interreligieux voulu par le Saint Père.


Nous comprenons l'émotion que peut provoquer cette démarche, mais elle ne peut en aucun cas être assimilée à de la complaisance ou à un cautionnement des propos tenus par l'imam. Les photos n'étant pas représentatives de la teneur des échanges, les raccourcis hors contexte ne sont pas appropriés.

Le fait que le diocèse réponde par un communiqué montre que de nombreux fidèles se sont inquiétés ou légitimement indignés. Quant au communiqué il montre, sans surprise hélas, que ce qui commande, aujourd’hui aussi dans l’Eglise, est le dogme du « vivre ensemble », et que rien ne saurait y porter atteinte, même quand il vous explose à la figure.

En clair, le diocèse de Quimper, comme la plupart des diocèses occidentaux, est mûr pour l’Etat islamique.

Commentaires

  • C'était "plié" de la part de LAURENT DOGNIN, "apôtre" des évêques RICARD, ROUCCOU, PONTIER, DUBOST, etc....toute la clique du "politiquement correct", tous dhimmis........Croyez-vous qu'il a été mis là "par hasard" ? A QUIMPER, il fallait garder Monseigneur LE VERT !..... De rose, la Bretagne vire Au rouge, particulièrement Brest, ville de gauche, et Rennes qui galope dans sa foulée. Où va la "blanche Hermine"?

  • Méprisables sont les collabos de l'invasion islamique.

    Sans limite est leur manque de droiture, leur bêtise, leur faiblesse, leur corruption !

    Il ne faut jamais se résigner face à eux, ne jamais rien lâcher et les combattre par l'action et par la prière.

  • L'"Eglise du Finistère" comme ils osent dire a changé de visage : le modernisme porte désormais col romain et ne répugne pas à quelque déploiement liturgiques du plus mauvais goût style N.D de Paris. Mais sur le fond rien ne change : il faut plaire au monde, plaire aux médias, servir les idées du moment. Surtout ne pas déplaire aux franc-maçons qui sont aux commandes.

  • Bonsoir,

    Je serai bref.

    Je pense depuis déjà longtemps que les véritables destinataires du dialogue interreligieux, tel qu'il est pratiqué, dans les faits, ne sont pas les croyants non chrétiens, mais les fidèles catholiques.

    Si j'étais à la place des clercs qui méprisent ou négligent l'importance de prendre en compte la liberté responsable et la vérité objective, en matière religieuse, dans l'Eglise catholique, je ferais en effet en sorte que le dialogue interreligieux, dans sa pratique effective, fasse obstacle, coûte que coûte, à tout prix, à l'émergence d'une véritable alternative intellectuelle, critique et croyante, confessante et réflexive, sur les religions et traditions croyantes non chrétiennes.

    Ainsi, n'est-ce pas un lavage de cerveau permanent qui a été imposé aux fidèles, d'abord avec "l'esprit du Concile", ensuite avec "l'esprit d'Assise", puis avec "l'esprit de Tibhirine", et enfin avec "l'esprit de l'Evangile" ?

    Relire à ce sujet les pages 187 à 197 du livre "Dieu des chrétiens, Dieu des musulmans", du Père François JOURDAN, cet ouvrage ayant été publié par les éditions de L'oeuvre spirituelle.

    Dans ces dix pages, vous trouverez les "expressions très répandues et d'une ambiguité insoutenable" que l'on trouve très souvent dans la bouche ou sous la plume des partisans et des promoteurs du dialogue interreligieux, alors que la soumission à ces expressions a plutôt pour effet de nuire à la connaissance et à la compréhension de ce que sont vraiment, en l'occurrence, le christianisme et l'islam.

    Toute cette affaire me rappelle de plus en plus le dialogue avec le communisme, dialogue qui a sévi des années 1950 aux années 1980 ; un catholique, contemporain de la première moitié de cette période, m'a certifié un jour que le but de la manoeuvre, dans bien des cas, n'était pas de dialoguer, mais de préparer les fidèles à leur ralliement, si possible, à leur soumission, si nécessaire, aux futurs vainqueurs, puisque nous étions alors en pleine bipolarisation Est - Ouest, et que beaucoup croyaient, ou espéraient, que l'URSS l'emporterait.

    Bonne soirée.

    A Z

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