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Islam - Page 195

  • L’Overijssel et la femme voilée

    77e878ef3ec44a5aa731fed.jpgUne affiche publicitaire de l'Overijssel, aux Pays-Bas, montre une femme portant un voile islamique avec en arrière-plan un paysage de la province.

    Des opposants anonymes ont écrit à elsevier.nl pour dire que cette campagne était « irrespectueuse ». « Qu'est-ce que l'Overijssel a à voir avec l'islam ? Et plus encore lorsqu'il est question des paysages et de la culture de l'Overijssel » a écrit l'un des détracteurs dans un courriel.

    Sur les affiches apposées dans les abribus fleurissent des autocollants : « Overijssel n'est pas islamique ».

    (Bivouac-ID)

  • Des dindes extrémistes de la dhimmitude

    Toutes les préposées au guichet et à l'accueil des visiteurs ainsi que toutes les guides touristiques du château de Venaria Reale, près de Turin (ancienne résidence des princes de la maison de Savoie), portent le voile islamique pour marquer leur solidarité avec Amellal Yafna, 35 ans, une collègue marocaine, suite à un courrier des lecteurs paru dans La Stampa :

    «Ne serait-il pas plus correct d'employer ces deux femmes dans une activité de bureau ? Ne serait-il pas mieux d'avoir des employées en costumes d'époque ? Cette présence islamique, absolument déplacée dans un environnement historico-touristique, est complètement "décontextualisante".»

    Réaction des collègues : «Nous sommes solidaires avec Amellal et par conséquent nous avons toutes décidé de porter le voile. Nous estimons que la présence parmi nous de notre collègue marocaine est un bon exemple d'intégration.» Sic.

    (Bivouac-ID)

  • Les écoles islamo-turques en pleine expansion en Allemagne

    « Au début, nous n'avions que deux classes », raconte Muammer Akin, le directeur de l'école BIL de Stuttgart. Installée dans une ancienne fabrique métallurgique, l'école a vite grossi. Aujourd'hui, elle compte deux cent quatorze élèves répartis entre le « Gymnasium » (lycée) et la « Realschule » (collège).

    À la cantine, la nourriture est halal. Un tiers environ des jeunes filles portent le voile islamique.

    Des écoles de ce genre prolifèrent depuis quelques années dans le pays. À Berlin, Cologne, Dusseldorf, Hanovre... « Rien que dans le land du Bad Wurtenberg, on en compte quatre : à Stuttgart, Manheim, Karlsruhe et, depuis peu, Ludwisburg », confirme le sociologue Wolfgang Neumann, chercheur à l'institut franco-allemand.

    « Nous avons une liste d'attente de 80 noms », assure Muammer Akin en montrant la maquette des futurs locaux de l'école. Mise en chantier à la rentrée, elle pourra accueillir 650 élèves. Et n'aura pas de mal à les trouver : à Stuttgart, 64 % des enfants de moins de 5 ans sont issus de l'immigration.

    Ouest France explique que les Turcs créent ces écoles « pour palier les carences d'un système scolaire dans lequel leurs enfants ont du mal à trouver leur place »...

    (Ouest France, via Bivouac-ID)

  • Ils veulent des cimetières exclusivement musulmans

    De plus en plus de musulmans veulent se faire enterrer en France dans un cimetière islamique, ce qu'interdit la loi. Une association vient pourtant d'en faire la demande.

    L'initiative est unique en France, et risque de froisser les défenseurs de la laïcité. Une association de musulmans de Limoges recherche activement, et ce depuis plusieurs mois, un terrain dans la Haute-Vienne qui permettrait d'accueillir un cimetière uniquement réservé aux musulmans. Les membres de l'AMLF (Association des musulmans de Limoges pour la fraternité) savent bien que la loi française interdit les cimetières confessionnels et n'autorise que les carrés à l'intérieur des cimetières communaux. Mais le président Fethi Belabdelli compte bien trouver un moyen légal pour le créer...

    A Limoges, la place ne manque pourtant pas au carré musulman du cimetière de Louyat. Mais les anciens, comme Mohamed Anfouh, refusent d'y être enterrés. « J'habite Limoges, mes enfants et petits enfants vivent en France. J'aimerais reposer ici, mais sur un terrain réservé aux musulmans », martèle cet homme de 62 ans.

    « Beaucoup d'anciens ne veulent pas être enterrés aux côtés des juifs, des chrétiens, et encore moins des athées », explique le secrétaire de l'AMLF, Mohamed Ouladmoussa.

    (Le Parisien, via François Desouche)

  • SPMF : premier syndicat des professionnels musulmans de France

    Un syndicat d'entrepreneurs musulmans. Tout le monde en rêvait, mais jamais personne, jusqu'en 2008, n'avait porté un tel projet à son aboutissement. L'idée, qui faisait son chemin depuis quelques années dans la tête de quelques entrepreneurs de Seine-Saint-Denis, s'est finalement concrétisée. Synergie des professionnels musulmans de France, premier et unique syndicat de patrons musulmans en France, inaugurait le 28 mai en région parisienne son lancement officiel.

    La première intervention a été celle du président du Comité contre l'islamophobie en France...

    Suite

    (via François Desouche)

  • Pakistan : les chrétiens osent parler

    « Nous demandons à la population du Pakistan de reconnaître la réalité de haine, de discrimination et d'injustice qui est aujourd'hui encouragée et diffusée au nom de la religion. Les individus et les groupes agissant ainsi doivent être condamnés et arrêtés, car ils méprisent la vie humaine, attentent à la solidarité et à l'indépendance du pays, minent l'harmonie nationale, endommagent l'Etat » : c'est ce qu'affirment les Eglises chrétiennes du Pakistan, réunies ces derniers jours à Lahore dans un séminaire organisé par la Commission Justice et paix de la Conférence épiscopale du Pakistan.

    Les chrétiens se disent « fortement préoccupés » car les talibans ont apporté la confusion dans la nation entière, en remettant en question ses bases et ses racines, signalant que « la question des minorités religieuses, violées et discriminées, concerne tout le monde, car à l'avenir la violence pourra toucher toute autre communauté de minorité, politique ou sociale, qui ne s'assujettit pas aux lois des talibans ».

    Ils demandent au gouvernement une « réforme structurelle, au niveau législatif et politique, pour éliminer la possibilité que l'extrémisme religieux fasse route dans le pays ».

    Il serait utile en particulier, affirment-ils, de supprimer certaines parties du 17e amendement de la Constitution du Pakistan (1973) sur les discriminations religieuses ; de soutenir le principe : « une personne un vote », au-delà de l'appartenance à des groupes ethniques ou religieux ; d'éliminer les discriminations et les injustices présentes dans le système éducatif, laissant l'enseignement de la religion aux familles.

    Pour poursuivre et soutenir cette campagne d'information et de sensibilisation, les Eglises chrétiennes du Pakistan ont organisé différentes initiatives les mois prochains: une journée nationale de prière et de jeûne qui se tiendra le 30 mai, en solidarité avec les milliers de victimes de l'extrémisme ; une manifestation publique nationale, avec un cortège, le 13 juin ; une Journée pour la justice sociale, qui sera célébrée, toujours sous forme œcuménique, le 16 août prochain.

  • La grande mosquée de Strasbourg

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    Le conseil régional d'Alsace a décidé d'accorder une nouvelle subvention de près de 180.000 € pour la construction de la grande mosquée de Strasbourg, fait savoir le Front national, seul à voter contre.

    Cela porte à 682.522 € les subventions du conseil régional pour cette construction.

    Et à 1,5 million d'euros les subventions accordées par les collectivités locales (conseil régional, département, municipalité).

    Patrick Binder (FN) souligne que le conseil de fabrique de l'église Notre-Dame de la Paix de Saint-Louis a demandé une aide financière pour la restauration intérieure de cette église. Réponse des services de la région : « Ce type d'intervention ne peut être pris en compte au titre des critères que s'est fixés le conseil régional en matière de conservation et de renouvellement du patrimoine. »

  • La chute de Pierre Bédier, fourrier de l'islam et de l'immigration

    La Cour de cassation a rejeté mercredi le pourvoi formé par Pierre Bédier, rendant définitive son inéligibilité et l'obligeant à quitter son mandat de président du conseil général des Yvelines.

    En décembre 2006, il avait été condamné pour "corruption passive" et "recel d'abus de biens sociaux" (pour plusieurs centaines de milliers d'euros, quand il était maire de Mantes-la-Jolie), à 18 mois de prison avec sursis, 50.000 euros d'amende et trois ans de privation des droits civiques (soit six ans d'inéligibilité). En mai 2008, la cour d'appel de Paris avait divisé l'amende par deux, mais avait confirmé le reste de la peine.

    Secrétaire d'État chargé des Programmes immobiliers de la Justice, il avait dû démissionner de ce poste en janvier 2004 après avoir été mis en examen.

    Réélu député des Yvelines en 2007 avec quelques centaines de voix d'avance, il a démissionné le 15 avril dernier, après avoir demandé la prolongation de sa mission parlementaire sur le développement solidaire et l'immigration, ce qui a permis à sa suppléante, Cécile Dumoulin, de lui succéder à l'Assemblée nationale, sans qu'une nouvelle élection soit organisée...

    Pierre Bédier a surtout été le maire de Mantes-la-Jolie de 1995 à 2005. Il avait notamment organisé les HLM selon des critères ethniques afin de résoudre le problème des frictions entre communautés, et avait résolu le problème de la polygamie en procurant aux familles polygames deux appartements sur le même pallier.

    Le site Riposte laïque décrivait joliment le système Bédier :

    « Le système Bédier, à Mantes, est fort simple. Pour lui, Mantes est une mosaïque de communautés, qu'il faut chacune caresser dans le sens du poil, en les arrosant abondamment pour récupérer leurs voix. "Pierre" est le chef du village, qui fait donc profiter chaque groupe, sur des bases ethniques, de sa générosité. Dans cette stratégie, il n'oublie pas, bien sûr, les religieux, et, à Mantes, les imams. Bien qu'une grande mosquée existe, il n'hésite pas, au lendemain d'une victoire électorale, à concrétiser une promesse électorale. Il accorde une deuxième mosquée aux musulmans, au détriment d'un centre social. » (Laquelle mosquée s'est ouverte en 2006 avant même que la cession du terrain ait été votée en conseil municipal.)

    L'un de ses grands agents électoraux était le recteur de la (première) mosquée, Ali Berka, directeur pour la France de la Ligue islamique mondiale (organisme saoudien propriétaire de la mosquée). J'en avais dit plus ici.

  • La mosquée des Mureaux

    L'Association culturelle islamique des Mureaux veut agrandir le pavillon où elle a installé une école coranique et une « salle de prière », pour en faire une « vraie mosquée ».

    Après trois ans de discussion avec la mairie, la ville a cédé à l'ACIM un terrain de 95m2 pour 15.000 €. (Le prix moyen des terrains à vendre aux Mureaux est de 298 € le m2. Le terrain en question vaut donc plus de 28.000 €.)

    Le maire divers gauche, François Garay, prévoit aussi la construction d'une école dans ce quartier : il envoie ainsi, dit-il, un signe « éminemment républicain »...

    Le président du groupe socialiste, Papa Whaly Danfakha, affirme que « le bâtiment s'intégrera parfaitement dans le paysage ».

    Numéro 2 du groupe UMP, Aïcha Hami déplore que cela ait pris tant de temps et s'en prend au maire : « Alors que la moitié de la ville est composée de Maghrébins ou d'Africains, il vous a fallu trois ans pour boucler ce dossier ! »

    C'est peut-être pourquoi le maire va mettre en place une « commission des cultes », composée d'élus. Sans doute est-ce un autre signe « éminemment républicain », de la République qui ne reconnaît aucun culte... « Cette commission aura pour but de clarifier les relations entre la collectivité et les représentants des cultes », explique-t-il. Parmi les cultes en question figurent les Libres Penseurs. Sic. Mais ça c'est incontestablement républicain...

  • Rotterdam capitale de l’Eurabie

    Un reportage de Giulio Meotti pour Il Foglio. D'autant plus saisissant que l'auteur n'a rien d'un militant catholique anti-islam.