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Islam - Page 127

  • “Le Prophète innocent”…

    Un nouveau film contre l’islam doit être diffusé dans les prochains jours sur internet. Il est intitulé The Innocent Prophet : le Prophète innocent, ce qui rappelle évidemment la dernière vidéo scandale Innocence of muslims, l’innocence des musulmans…

    Une présentation de ce film (auquel participe le pasteur extrémiste Terry Jones, ce qui n’est pas une bonne idée) est déjà sur internet. On y voit des versets contradictoires du Coran (les versets pacifiques et les versets guerriers), et des images d’attentats islamistes, et des explications de l’auteur, Imran Firasat.

    Imran Firasat est un Pakistanais installé en Espagne. Il s’est déjà fait connaître en définissant les dix raisons pour lesquelles le Coran doit être interdit dans un Etat démocratique, et en demandant cette interdiction au Premier ministre, au Congrès des députés, au ministre des Affaires étrangères et au ministre de l’Intérieur. Or, le 10 avril, la commission des pétitions du Congrès des députés lui faisait savoir que sa demande était jugée recevable et qu’elle était transmise à la commission constitutionnelle…

    Le film Le Prophète innocent devait être mis sur internet le 14 décembre. Mais l’annonce a provoqué de grosses inquiétudes, et pas seulement en Espagne. Le premier pays à réagir concrètement a été la Belgique, qui a relevé son niveau d’alerte terroriste.

    Du coup, Imran Firasat a décidé de différer la sortie du film. Il souligne qu’il n’a pas l’intention d’inciter à la violence ni de blesser des sentiments religieux, et qu’il ne veut pas qu’on se souvienne de lui comme d’un homme responsable de morts violentes. Mais il ne renonce pas pour autant. S’il diffère la sortie du film, c’est pour demander aux autorités la garantie que rien dans le film n’outrepasse la liberté d’expression ou ne conduise à des pertes de vies humaines, étant entendu qu’il fera des modifications si les autorités les jugent nécessaires. « Ce retard ne signifie pas que j’aie peur de la violence islamique ou que j’aie perdu mon droit à la liberté d’expression. Il concerne le respect que j’ai dans mon cœur envers l’Europe qui est ma famille, et mon profond amour pour l’Espagne qui est ma maison. »

  • Ils veulent une mosquée à… Locminé

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    Sont sont sont, les gars de Locminé, qui avaient de la maillette dessous leurs souliers, et qui iront pieds nus à la mosquée…

    La Gazette du Centre Morbihan nous a appris qu’a été créée une « Association culturelle islamique de Locminé et alentours », dont la première revendication est l’obtention d’un lieu de culte…

    Première réaction : même à Locminé…

    Deuxième réaction : il doit y avoir une erreur : c’est une association cultuelle, et non culturelle, qui peut demander un lieu de culte. Mais ce n’est pas une erreur. L’Annuaire des associations indique bien qu’a été déclarée à la sous-préfecture de Pontivy, le 5 octobre 2012, l’« Association culturelle islamique de Locminé et alentours », dont l’adresse est 3, place Anne de Bretagne (la pauvre), et dont l’objet est : « Obtenir un lieu de culte pour pratiquer notre culte en toute sérénité ; promouvoir nos différentes cultures ; prôner le respect et la tolérance des valeurs de tout un chacun. »

    Le président de l’Acila, Mahamoud Abdoul Hadji, a déclaré qu’avec son bureau (El Mouloudi Bessali, Abdellatif Douzad, Idjibœ Mroivili, Fatima Djae et Ali Abdou Chakour), « la première action engagée consisterait à demander une audience auprès du maire de Locminé ».

    Pour lui demander un terrain ou un bâtiment, ou les deux... Et c’est pourquoi il s’agit d’une association « culturelle » : la municipalité peut subventionner et donner ce qu’elle veut à une association culturelle, elle ne peut pas subventionner une association cultuelle. Les musulmans le savent très bien. Et ils savent très bien qu’une municipalité peut construire un « centre culturel » qui sera transformé en mosquée dès son inauguration…

    Il n’en demeure pas moins qu’est parfaitement illégale cette association culturelle dont l’objet premier est ouvertement l’obtention d’un lieu de culte… Mais à la sous-préfecture de Pontivy on n’est apparemment pas très regardant… quand il s’agit de l’islam (puisque les règles de la laïcité ont été conçues contre l’Eglise catholique et elle seule).

  • Laïcité halal au Havre

    « Emotion » au Havre, nous dit Paris Normandie : il y avait peut-être, selon des sources anonymes, de la gélatine de porc dans les mousses au chocolat destinées aux cantines scolaires. Ni une ni deux, les services de la ville ont mis à la poubelle les 8.500 portions, avant même de savoir si elles contenaient véritablement de la gélatine de porc. Simple application du principe de précaution musulman…

    « Mais cela ne remet pas en cause la philosophie de la ville et ses principes de laïcité vis-à-vis des repas scolaire », affirme sans rire le sous-fifre de la municipalité responsable de l’opération.

  • Jihad, né le 11 septembre

    Le 25 septembre dernier, un petit garçon arrivait à l’école maternelle de Sorgues, dans le Vaucluse, avec un T-shirt qui portait les inscriptions « je suis une bombe ! » et « Jihad, né le 11 septembre ».

    La directrice de l’école alertait la commune et l’académie. Le maire décidait de saisir le procureur. La mère de l’enfant et son oncle (auteur du T-Shirt) doivent passer devant la justice le 19 décembre pour apologie de crime.

    De fait l’enfant s’appelle Jihad, de fait il est né un 11 septembre, et la mère se dit étonnée des proportions prises par l’affaire, le mot « bombe » voulant dire évidemment « beau gosse »…

    En réalité, dans un premier temps, mais peu d’articles le relatent, la mère avait expliqué en souriant que c’est son frère qui avait confectionné le T-Shirt et que c’était bien sûr une « provocation » (comme le souligne l’avocat de la ville).

    Je n’ai vu aucun article qui remarque qu’appeler Jihad un enfant qui naît un 11 septembre n’est pas une coïncidence mais un manifeste.

    Je n’ai vu aucun article qui suggère d’interdire le nom de Jihad, qui est pourtant à l’évidence, en lui-même, une apologie de crime.

  • La Constitution égyptienne

    La commission constituante égyptienne a adopté « à l’unanimité » des 85 membres présents, et à une vitesse stupéfiante (Asianews parle de « blitz des Frères musulmans et des salafistes ») le projet de Constitution. (Les libéraux et les représentants des Eglises en avaient démissionné.)

    L’article 2 reste ce qu’il était : les « principes de la charia » sont la « source principale » de la loi. Ce qui laisse une certaine souplesse. Mais l’islam et le Coran font leur apparition dans plusieurs autres articles...

    Le projet va être soumis à référendum. Le résultat ne fait aucun doute…

  • Les droits de la lesbienne contre les droits du musulman

    Ça se passe à Toronto. Une lesbienne se rend chez un coiffeur pour hommes parce qu’elle veut une coiffure virile. Le coiffeur est musulman et dit qu’il n’a pas le droit de toucher une femme qui n’est pas de sa famille.

    La lesbienne porte plainte.

    Pour la Commission des droits, ce sont deux « droits » qui s’opposent : antidiscrimination contre liberté religieuse.

    Est-ce la lutte contre l’homophobie ou la lutte contre l’islamophobie qui va gagner ?

    En attendant le verdict, tous les détails de l’affaire sont ici.

     

  • Il n’y a pas que les chrétiens…

    Des groupes sunnites du Pakistan ont déposé plainte pour blasphème contre 222 chiites…

    Parce que ces sunnites extrémistes s’en sont pris à la procession chiite de l’Achoura à Multan. Les chiites ont riposté, et ils ont envoyé des pierres qui ont touché les banderoles sunnites où il y avait le nom du Prophète…

  • Un aveu de Mgr Dubost

    A propos de l’« islamophobie », Mgr Dubost, le président du Conseil pour les relations interreligeuses de la conférence épiscopale, déclare :

    « Les craintes se nourrissent de faits réels qu’on ne peut pas nier et que nous avions mis sous le boisseau. »

     

  • Logements halal

    L’islamisation étant ce qu’elle est, on ne peut guère s’étonner que des promoteurs se positionnent sur le créneau du logement halal. Mais là où ça devient problématique, c’est quand la rénovation de logements sociaux est résolument conçue de façon à satisfaire la clientèle musulmane et elle seule.

    C’est ce qui se passe dans la banlieue d’Amsterdam, au complexe Koningsvrouwen van Landlust, où 85% des habitants sont musulmans : les 188 logements seront halal.

    La brochure de l’office HLM local explique ouvertement :

    « Les habitations disposent d'une armoire intégrée pour les chaussures, des arrivées d'eau supplémentaires ont été prévues pour les purifications rituelles de la prière, et entre la salle à manger et la cuisine, des portes coulissantes ont été placées pour pouvoir séparer les traditionnels domaines réservés aux hommes et ceux destinés aux femmes.

    « Avec le placement d'une antichambre, une solution a été imaginée pour recevoir les installations et les chaussures impures. Celles-ci ne peuvent pénétrer dans la maison, mais actuellement elles constituent parfois un danger dans les halls d'entrée. Par ailleurs, nous avons également répondu favorablement à des souhaits tels qu'une arrivée d'eau pour une douche dans les toilettes, en vue des purifications rituelles. »

    Le tollé que le projet a suscité a donné lieu à un florilège de langue de bois.

    Il ne s'agit pas d'aménagements spécifiquement destinés aux musulmans, assure le porte-parole de l’office : « Dans l'armoire intégrée, on peut ranger par exemple une perceuse, et les robinets supplémentaires peuvent aussi être utilisés pour remplir un arrosoir. » Sic.

    Quant à la directrice de l’office, Mieke van den Berg, elle dit qu’elle a été indignée et surprise par les réactions. Car les logements doivent répondre aux souhaits des habitants, et il est donc logique de prendre en compte les souhaits des résidents…

  • Islam : enfin un petit coin de vérité…

    Le chef islamiste belge Fouad Belkacem (porte-parole de l’organisation interdite Sharia4Belgium) passait en procès à Anvers pour incitation à la haine, à la violence et à la discrimination pour une séquence vidéo diffusée sur Youtube. Le ministère public a requis un an de prison, 300 euros d’amende et 10 ans de déchéance des droits.

    Selon le procureur, Fouad Belkacem « n'est pas un musulman pieux, mais un criminel ordinaire doublé d'un menteur qui prône la haine ».

    Au contraire, ses avocats ont mis en avant que si dans la vidéo incriminée Fouad Belkacem avait effectivement l'intention de provoquer, il n’en demeure pas moins que ses propos sont des versets du Coran, et que ces versets sont également cités par les imams tous les vendredis dans les mosquées…

    Voici donc enfin la vérité, qui arrive devant un tribunal belge. Reste à espérer que les avocats tiennent bon, et continuent en appel si Fouad Belkacem est condamné (ce qui est probable). Et continuent jusqu’à ce que la justice mente en décidant que le Coran ne contient pas d’appels à la haine à la violence… ou constate que ces appels s’y trouvent massivement et en tire les conclusions… Lesquelles ne peuvent qu’être terriblement islamophobes…