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Gouvernement - Page 61

  • Jouyet s’en va

    Jean-Pierre Jouyet, secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, quittera le 15 décembre le gouvernement pour assurer la présidence de l'Autorité des marchés financiers (AMF), a annoncé la présidence de la République : « Cette nomination interviendra le 15 décembre 2008, après la conclusion du Conseil européen des 11 et 12 décembre prochains. M. Jouyet continuera jusqu'à cette date d'assumer les fonctions qui sont les siennes au sein du gouvernement. »

    On ne le regrettera pas. Mais on peut faire confiance à Nicolas Sarkozy pour le remplacer par un autre socialiste hypr-européiste.

  • Big Brother is (vraiment) watching you

    Le 6 mai dernier, Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée, affirmait au micro de RTL :

    « Il n'y a plus de renseignement politique dans ce pays. »

    Le 15 octobre, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a lancé un appel d’offre (ici) dont l’objet est : « Veille de l’opinion ».

    ARTICLE 5 - DESCRIPTION DES PRESTATIONS

    5.1 Présentation

    5.1.1 Objectif
    Le dispositif de veille en question vise, en particulier sur Internet, à :
    __ Identifier les thèmes stratégiques (pérennes, prévisibles ou émergents)
    __ Identifier et analyser les sources stratégiques ou structurant l’opinion
    __ Repérer les leaders d’opinion, les lanceurs d’alerte et analyser leur potentiel d’influence et leur capacité à se constituer en réseau
    __ Décrypter les sources des débats et leurs modes de propagation
    __ Repérer les informations signifiantes (en particulier les signaux faibles)

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  • La réaction la plus conne

    Rama Yade sur l’élection d’Obama :

    « Ce qui s'est passé là, c'est une chute du mur de Berlin fois dix. »

    Elle n’a pas précisé quels sont les analogues des victimes du communisme et de l’oppression soviétique. Fois dix, en plus.

  • Sans commentaire

    LANCEMENT DU GROUPE DE TRAVAIL
    « LUTTE CONTRE L’HOMOPHOBIE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR »
    ATTENTION: changement de date pour la réunion

    Le 28 octobre 2008

    Chers Adhérents,

    Chers Sympathisants,

    Lors de notre dernière réunion en présence de Valérie PECRESSE, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, La Ministre a demandé à GayLib de lui fournir des pistes de réflexion pour mener une campagne anti homophobie dans l'enseignement supérieur.

    A cette occasion, Gaylib met en place un groupe de travail qui se réunira, le

    Mardi 04 novembre à 19h00

    au siège de l’UMP - 55, rue de la Boétie – 75008 Paris

    Salle 424

    Une autre réunion est également prévue le 13 novembre (même heure et même lieu) et une dernière où nous recevrons quelques associations étudiantes LGBT (d’ici fin novembre).

    Fidèle à son esprit indépendant, GayLib souhaite pouvoir faire des propositions originales à la Ministre. Toutes les bonnes volontés, et surtout les compétences en matière de communication, sont les bienvenues!

    Vos propositions et votre imagination sont essentiels afin de faire avancer les mentalités.
    Hervé Gastaud assurera la direction des travaux. Les personnes intéressées sont priées de lui signaler leur présence par retour de mail: universite@gaylib.org

    Bon travail à tous!

    Emmanuel Blanc

    Président de GayLib

  • Nicolas Sarkozy court-circuite trois ministères d’un seul coup

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le président de la République a déclaré que la création du Conseil de défense et de sécurité nationale, hier en Conseil des ministres, était un grand événement.

    En fait, ce n’est que la concrétisation du rêve de Nicolas Sarkozy de singer le Conseil national pour la sécurité des Etats-Unis d’Amérique.

    Ce Conseil, présidé par le président de la République, sera appuyé par un conseil consultatif dont les membres seront nommés par lui-même.

    Nicolas Sarkozy pourra ainsi court-circuiter les ministères de la Défense, de l’Intérieur et des Affaires étrangères, en concentrant entre ses mains les pouvoirs de décision.

    Mais la sécurité intérieure et extérieure a besoin de moyens, et non d’un phagocytage élyséen.

  • Xavier Darcos fait machine arrière

    A la sortie du conseil des ministres, il a affirmé qu'il n'accepterait "aucune ingérence du politique dans l'enseignement de l'histoire". "Il s'agit, comme nous l'avons fait pour l'enseignement primaire, de recueillir l'avis de la représentation nationale sur la manière dont les programmes sont orientés."

    Les historiens ayant commencé à réagir vivement aux propos précédents du ministre, celui-ci a envoyé une lettre à Pierre Nora, président de l'association "Liberté pour l'histoire", l'assurant qu"'il n'entre aucunement" dans ses "intentions de demander au Parlement de se substituer à la communauté des historiens pour définir le contenu des programmes d'histoire"…

    C’était une boulette, ou un ballon d’essai ?

  • Un soi-disant Haut Conseil de la famille

    Le Haut Conseil de la famille a été créé hier par un décret présenté en Conseil des ministres. Il est censé "doter la politique familiale d'une instance de concertation de haut niveau permettant d'améliorer le pilotage de cette politique".

    En fait il s’agit uniquement de faire croire qu’il existe encore une instance de concertation sur la famille, après la suppression, en 2006, de la Conférence de la famille.

  • Le Parlement devrait enseigner l'histoire...

    Auditionné par la mission d'information sur les questions mémorielles de l'Assemblée nationale, hier, Xavier Darcos a déclaré :

    « Est-ce qu'il ne faudrait pas qu'une bonne fois pour toutes ce que nous considérons comme devant être enseigné aux élèves soit prescrit par la représentation nationale? Nous n'aurions pas ces questions. Evidemment on ne peut pas rentrer dans tous les détails. Mais on aurait au moins des grands sujets qui seraient reconnus une bonne fois pour toutes. Je pense que pour ce qui est de l'histoire en particulier, je me demande même si ça ne s'impose pas. C'est moins important pour des enseignements de disciplines qui ont un caractère scientifique et répétitif plus marqué. Mais peut-être que pour l'histoire ce serait nécessaire. Je pense que nous réglerions une partie de nos difficultés --parce qu'on voit bien qu'on est en difficulté au fond, derrière tout cela il y a des questions politiques (...) il y a des débats profonds-- et peut-être un vrai débat public devrait se passer au Parlement. »

    Ainsi, non seulement le Parlement doit voter des lois mémorielles, ce qui est une hérésie historique caractérisée, mais en plus il doit écrire les programmes d’histoire. Staline, reviens, tout est pardonné !

  • Propagande

    Thierry Saussez, le directeur du Service d'information du gouvernement (SIG), a déclaré hier qu'il songeait à créer une « émission de communication gouvernementale à la télévision », de préférence sur le service public.

    En juillet dernier, il annonçait son projet de créer une « Web TV gouvernementale, avec de vrais moyens de production » et faire passer le budget du SIG de 5,9 à 16,7 millions d’euros.

    Toujours plus fort. Cette fois, c’est une vraie émission de propagande à la télé. Comme dans les pays totalitaires.

  • Ils ont encore parlé pour ne rien dire

    L'interruption des matches de l'équipe de France en cas de sifflets contre la Marseillaise préconisée par le gouvernement français mercredi reste une mesure difficilement applicable dans les faits, selon des responsables du football mondial.

    Les règlements qui régissent les matches internationaux sont clairs: "Seuls les cas de force majeure peuvent entraîner un arrêt de la rencontre en matches internationaux. Les sifflets n'en font pas partie", souligne l'un des membres des instances dirigeantes du football.

    "Et puis qui va arrêter le match? Pour l'instant, c'est l'arbitre qui arrête le match, or l'arbitre ne dépend pas du gouvernement français", a précisé la même source.

    "Comment fait-on pour évacuer les gens du stade? s'interroge un autre dirigeant. Et ceux qui n'ont pas sifflé et qui ont payé leur billet pour le match, on les évacue quand même? Il risquerait d'y avoir des incidents. Cela poserait peut-être plus de problèmes que cela n'en résoudrait".

    Le président de la Fédération française de football Jean-Pierre Escalettes a relevé après son entrevue avec le président Nicolas Sarkozy qu'annuler des matches avec des dizaines de milliers de spectateurs nécessiterait des "garanties sécuritaires". "Le président a dit: +l'Etat assumera+".

    "Evacuer un stade de 10.000, 50.000 ou 80.000 personnes c'est la bataille rangée à coup sûr. Infaisable techniquement sauf à mettre un policier derrière chaque supporteur", a indiqué à l'AFP une source policière en charge des supporteurs à risques.