A la sortie du conseil des ministres, il a affirmé qu'il n'accepterait "aucune ingérence du politique dans l'enseignement de l'histoire". "Il s'agit, comme nous l'avons fait pour l'enseignement primaire, de recueillir l'avis de la représentation nationale sur la manière dont les programmes sont orientés."
Les historiens ayant commencé à réagir vivement aux propos précédents du ministre, celui-ci a envoyé une lettre à Pierre Nora, président de l'association "Liberté pour l'histoire", l'assurant qu"'il n'entre aucunement" dans ses "intentions de demander au Parlement de se substituer à la communauté des historiens pour définir le contenu des programmes d'histoire"…
C’était une boulette, ou un ballon d’essai ?