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Culture de mort - Page 186

  • L’« éducation à la citoyenneté » en Espagne prend une dimension européenne

    Une délégation de l'association espagnole « Professionnels pour l'éthique », conduite par son président, Jaime Urcelay, a présenté le 29 juin, au siège du Parlement européen, à Bruxelles, un rapport intitulé « La version espagnole d'éducation à la citoyenneté (EpC) : une agression à la liberté d'instruction en Europe ».

    « Même si la dénomination des nouvelles matières scolaires espagnoles peut coïncider avec celle des matières existantes dans d'autres pays européens, a expliqué Jaime Urcelay, les différences sont importantes. En Espagne, les matières d'EpC sont obligatoires et évaluables, elles sont expressément destinées (selon le programme légal) à former la conscience morale des élèves, en s'introduisant dans leurs valeurs et dans l'intimité personnelle et familiale ».

    Pour sa part, Leonor Tamayo, coordinatrice de la campagne d'objection à l'EpC, a rappelé que les parents espagnols ont présenté, ces trois dernières années, 55.000 déclarations d'objection de conscience à ces matières, refusant que ses propres enfants assistent aux leçons correspondantes.

    « Le conflit, a déclaré Leonor Tamayo, a donné lieu à plus de 2.000 procédures judiciaires toujours en cours même si le Tribunal suprême (dans un vote très controversé) a rejeté la possibilité pour les parents de faire objection contre ces matières. Le 19 mars dernier, 305 Espagnols ont présenté un recours contre l'Etat devant la Cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg pour atteinte aux droits fondamentaux. Le recours inclut 105 cas de jeunes élèves pris à partie pour avoir contester des matières de l'EpC ».

    Jaime Urcelay a conclu affirmant que « cette réalité appelle à une prise de conscience de la part des institutions de l'Union européenne et, en particulier, de la part des représentants de la citoyenneté à l'assemblée parlementaire. Le conflit de l'EpC a franchi les frontières espagnoles et a pris une dimension européenne, vu que sont en jeu les droits fondamentaux sur lesquels veille la législation communautaire ».

    Pour cette raison, Jaime Urcelay a annoncé la création d'un Réseau européen pour la liberté d'instruction.

    Le programme de l’« éducation à la citoyenneté » est un concentré de la pensée unique obligatoire fondée notamment sur l’idéologie du genre (banalisation de l’homosexualité, absence de normes sexuelles et familiales, etc.). A priori on ne voit pas comment la Cour européenne des droits de l’homme pourrait contester ce qu’elle impose en permanence dans ses arrêts. En tout cas sa décision sera fort intéressante à étudier, et elle marquera une étape cruciale.

  • "Plus belle la vie"

    Nicolas Sarkozy a choisi Rémy Pflimlin pour diriger France Télévisions. Rémy Pflimlin a été notamment directeur de France 3 de 1999 à 2006. Il fut le promoteur de “Plus belle la vie”. « Il eut la patience d’attendre six mois avant que la série décolle, non sans avoir totalement reformaté le concept originel pour renouer avec les recettes du soap », dit Le Point.

    Lu sur Le Salon Beige :

    Dans ce feuilleton, sommet de propagande politiquement correcte diffusée à une heure de grande écoute, étaient présentés récemment plusieurs épisodes dans lesquels une jeune fille qui souhaite avorter se fait embobiner par une femme adulte qui veut bien être sa référente mais qui lui ment en voulant la convaincre au final de l'empêcher d'avorter... Les associations pro-vie passent pour des menteurs, des manipulateurs, auteurs de violences psychologie sur jeune fille voulant avorter, avec des phrases du type (une amie de la jeune fille envers l'adulte pro-vie) : "Vous êtes monstrueuse de lui avoir fait entendre le coeur du bébé qui bat, maintenant elle souffre". Sic. Evidemment, le bébé qui sera sacrifié ne souffrira pas et sa mère ne subira pas de syndrome post-avortement. Mais la femme pro-vie est présentée comme une "intégriste" anti-avortement, clamant des Pater devant la clinique...

  • L’avortement en Espagne

    La loi instituant le droit à l’avortement est entrée en vigueur hier en Espagne, alors que les recours introduits devant le Tribunal constitutionnel sont toujours pendants. Jeanne Smits nous apprend sur son blog :

    Le président de la région de Murcie a fait savoir qu'il attend la décision du Tribunal constitutionnel, l'absence de celle-ci faisant que la loi ne peut être considérée comme définitive, tandis que le porte-parole du gouvernement de Navarre a carrément fait savoir qu'au sein de la province, on continuera de ne pas pratiquer d'avortements.

  • Nouvelle avancée de la culture de mort à l’ONU

    Le 2 juillet, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté à l’unanimité la création d’un organisme présenté comme l’« ONU Femmes ». Chargé de « promouvoir les droits et l'égalité des femmes », il fusionnera quatre départements de l’ONU : la Division pour l'avancement des femmes (DAW), l'Institut international de recherche et de formation pour l'avancement des femmes (INSTRAW), le Fonds de développement des Nations Unies pour les femmes (UNIFEM), le Bureau du conseiller spécial pour les questions de genre et l'avancement des femmes (OSAGI).

    « ONU Femmes » est dédié à « la cause des femmes ». On sait ce que cela veut dire : c’est d’abord le droit à l’avortement (c’était même le seul objectif du mouvement de ce nom créé par Gisèle Halimi).

    Le vrai nom d’ONU Femmes est : « Entité pour l'égalité de genre et l'autonomisation des femmes »…

    (via Gènéthique)

  • Les trois souverainetés à abattre

    Jeanne Smits a publié la traduction d’une conférence d’Austin Ruse, président de C-Fam, sur les « progressistes transnationaux » qui imposent peu à peu la culture de mort dans les organismes internationaux. Extrait de la conclusion :

    « Cette guerre est menée contre trois souverainetés sacrées : la souveraineté de la nation, la souveraineté de l’Eglise, et la souveraineté de la famille. Au moment du jugement de Dieu, nous nous tiendrons seuls, en tant qu’individus, mais sur cette terre Il nous dote de certaines institutions sont presque le seul propos est de nous enseigner sa loi. Ces institutions médiatrices appelées la nation, l’Eglise et la famille sont véritablement nos seuls professeurs. Si l’une d’elles est dévoyée, nous pouvons nous perdre. Si chacune d’entre elles est dévoyée, nous seront totalement perdus. Mais chacune d’entre elles se dresse devant la notion féministe radicale de l’autonomie complète du soi. C’est pourquoi les féministes insistent pour affirmer que chacune de ces institutions doit changer, qu’elles doivent devenir différentes de la manière dont Dieu les a créées, et par ce changement, elles seront détruites. »

  • Quelle est la seule religion

    attaquée à la gay pride ?

    Ben oui, forcément.

  • Pour que l’argent coule à flots

    Le vice-président américain, le « catholique » Joe Biden, s’est rendu au Kenya, où l’on débat d’un projet de nouvelle Constitution où le “droit” à l’avortement serait reconnu. Il a déclaré :

    « Nous espérons, Barack Obama espère, et j’espère que vous allez faire cette réforme pour permettre à l’argent de couler à flots. »

    (Americatho)

  • Le mariage entre "homme et homme, femme et femme"

    Le Parlement islandais a adopté hier, à l'unanimité, une loi qui étend le champ d'application du mariage aux unions entre "homme et homme, femme et femme".

    La loi précise que "les pasteurs seront toujours libres de diriger des cérémonies de mariage (homosexuel) mais n'y seront jamais obligés".

    L'Islande est à ce jour le seul pays au monde dont le gouvernement soit dirigé par un(e) homosexuel(le) déclaré(e), Johanna Sigurdadottir.

    "Les attitudes sont assez pragmatiques en Islande", commente Gunnar Helgi Kristinsson, spécialiste des sciences politiques à l'université d'Islande. Le pragmatisme, c'est donc le rejet de la loi naturelle.

  • Les « homosexuels » qui se « marient »

    Deux hommes du Malawi s'étaient « mariés » il y a six mois. Le mois dernier ils avaient été arrêtés et condamnés à 14 ans de prison. Devant la pression internationale, ils ont été graciés. Mais ils viennent de se séparer : l'un d'eux aime une femme...

  • Lassitude croissante pour la pilule

    "J'ai arrêté. Je n'en pouvais plus !", c'est le constat fait par de plus en plus de jeunes femmes qui ont longtemps pris la pilule. Un généraliste effectuant aussi des consultations gynécologiques en région parisienne confie : "Mes patientes se posent de plus en plus de questions. Ces derniers mois, pas une semaine ne se passe sans que l'une d'entre elles ne vienne me voir pour trouver une autre forme de contraception. Elles ont toutes quasiment le même profil : jeunes femmes actives de 25 à 35 ans, sous pilule depuis 10 ans ou plus, la plupart en couple stable depuis plusieurs années." Catherine El Mghazli, animatrice au Planning familial à Paris, explique qu' "en consultation, certaines femmes cherchent aussi une méthode 100% naturelle [...]. C'est dans l'air du temps écolo".

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