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Culture de mort - Page 182

  • Uruguay : 2 projets de loi pour autoriser l'avortement

    Le 28 septembre 2010 en Uruguay, la sénatrice Monica Xavier et le député Alvaro Vega, de la coalition de gauche actuellement au pouvoir, ont déposé des projets de loi pour dépénaliser l'avortement. Cela intervient deux ans après le veto mis par l'ex-président Tabaré Vasquez à un projet de loi autorisant l'avortement. L'avortement est interdit depuis 1938 en Uruguay sauf dans certains cas de viol, dangers pour la santé de la mère, ou pour des raisons économiques (extrême pauvreté). 

Monica Xavier propose d'autoriser l'avortement sans restriction jusqu'à la 12e semaine de grossesse. Alvaro Vega demande l'abrogation de la loi de 1938 qui reconnaît l'avortement comme délit. Leurs propositions pourraient aboutir car José Mujica, l'actuel président, a déclaré qu'il n'opposerait pas son veto à une loi dépénalisant l'avortement.

    (Gènéthique)

  • Une veillée pour la vie le 27 novembre

    On apprend par Jeanne Smits que Benoît XVI participera à une « veillée pour toute vie humaine naissante », à Saint-Pierre de Rome, le 27 novembre, après les premières vêpres du premier dimanche de l’Avent, et qu’il a demandé que « tous les évêques diocésains (ou leurs équivalents) de chaque église particulière président des célébrations analogues, impliquant les fidèles dans leurs paroisses, leurs communautés religieuses, leurs associations et leurs mouvements ».

    Jeanne Smits se réfère à la conférence épiscopale des Etats-Unis, qui a publié un communiqué où l’on trouve les expressions ci-dessus entre guillemets, et incite tous les diocèses à faire en sorte que cette veillée ait lieu dans les paroisses. Une demande relayée par de nombreux diocèses, comme une recherche sur internet permet de le constater.

    En France, personne n’était au courant de cette veillée. Et aucun diocèse, à ce jour, n’en a parlé (en tout cas rien n’a filtré sur internet). Il faut bien avouer qu’il n’y a rien non plus sur le site du Vatican…

    Selon les Américains, « la congrégation pour le Culte divin a proposé les grandes lignes de ces veillées, avec le Conseil pontifical pour la famille ». Le cardinal archevêque de Paris est membre du Conseil pontifical pour la famille…

    Je découvre que la veillée ne passe pas inaperçue chez les Tchèques. En effet, c’est dès le début du mois de juillet que les évêques tchèques, lors de leur assemblée plénière, en ont parlé :

    « Les évêques se sont félicités de l’information de la Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements et le Conseil pontifical pour la famille au sujet de la "Veillée pour toute vie humaine naissante", présidée par le Saint-Père lors des vêpres du premier dimanche de l'Avent, le 27 novembre 2010. Le Saint-Père souhaite que cette veillée soit célébrée dans toutes les églises. Les évêques ont convenu d’inscrire la veillée dans le calendrier liturgique et de publier les documents proposés, nécessaires pour cet important événement. »

     

  • Un avortoir de moins

    Le gouverneur du New Jersey, en mettant son veto à une subvention, a contraint le Planning familial à fermer son avortoir.

  • 20e Marche de prière pour la Vie à Paris

    Samedi 16 octobre, de la basilique Notre-Dame-des-Victoires au Sacré-Cœur-de-Montmartre. Organisée par Renaissance Catholique.

  • Le Sénat américain dit non

    Le Sénat américain a rejeté mardi pour une durée indéfinie l'examen de l'abrogation de la loi qui impose aux soldats américains homosexuels de cacher leur orientation sexuelle, décevant ainsi la Maison Blanche qui soutient cette proposition.

    Les élus se sont prononcés par 56 voix contre 43, soit 4 voix de moins que nécessaire pour permettre l'ouverture formelle des débats sur une vaste loi de finance pour le Pentagone, qui comprend notamment des dispositions pour l'abrogation de la loi "Don't ask, don't tell" (ne rien demander, ne rien dire) adoptée en 1993.

    Les sénateurs républicains ont fait bloc pour s'opposer à cette loi. Deux sénateurs démocrates ont voté dans le même sens.

    Outre la proposition d'abrogation de "Don't ask, don't tell", les sénateurs, en refusant d'ouvrir les débats, ont également mis de côté une loi d'immigration, dite DREAM act, qui aurait permis à de jeunes immigrés d'être régularisés et intégrés après un passage par les universités américaines.

    (AFP)

  • Les « familles homoparentales » en congrès

     

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    Ça date un peu, mais je ne l’ai pas vu évoqué dans mes blogs préférés : les 17 et 18 septembre ont eu lieu à Paris les « Premières Journées européennes des familles homoparentales ».

     

    Rappelons que « homoparental » n’est pas un mot du dictionnaire français, qu’il n’existe aucune famille où deux personnes du même sexe soient les parents de leurs enfants, et que le mot famille est donc ici une imposture.

    Voici comment cela était présenté :

    « L’objectif de ces Journées est de mettre en lumière l’homoparentalité et la diversité des familles homoparentales en Europe, ainsi que d’élaborer des projets visant à promouvoir la reconnaissance et les droits des familles homoparentales. (…)Ces Journées se concluront par des témoignages d’enfants et de jeunes adultes ayant grandi avec des parents gays, lesbiens ou transsexuels. »

  • D'ailleurs ils ne savent pas mettre une capote…

    L'Institut national de veille sanitaire s’alarme d’une progression « hors de contrôle » du sida chez les homosexuels (ils représentent 48% des nouveaux cas de contamination : 1% des homosexuels masculins a contracté le VIH en 2008, contre 0,009% des autres personnes).

    Dans 20 minutes, Mélanie Hubault, l'une des responsables de Solidarité Sida, voit dans ces chiffres « un relâchement de la prévention ». Elle s'alarme d'ailleurs « de croiser des jeunes de 20 ans fréquentant le Marais et ne sachant pas utiliser le préservatif ». Sic.

  • Le médecin n’est qu’un transmetteur d’information (en faveur de l’avortement)

    Le gouvernement régional d’Andalousie lance une campagne d’information sur l’application de la loi sur l’avortement. L’objection de conscience ne peut être invoquée que par les médecins susceptibles de pratiquer l’avortement. Le médecin de famille n’en bénéficie pas, il n’est qu’un « transmetteur d’information ».

  • Et maintenant le lycée catholique LGBT…

    AFP

    Un professeur de sciences physiques dans un lycée privé de la banlieue nantaise a changé de sexe au cours de l'été, selon une information publiée par le quotidien Presse-Océan vendredi et confirmée à l'AFP par la direction diocésaine.

    "Vincent" en juin dernier, lors de la sortie des classes, était devenu "Martine" jeudi, pour accueillir les élèves le jour de la rentrée.

    Le directeur du lycée Saint-Dominique de Saint-Herblain, Dominique Foucault, a indiqué à Presse-Océan avoir transmis, en lien avec l'Association des parents d'élèves de l'enseignement libre (APEL), un courrier aux parents d'élèves pour les informer de la situation avant la rentrée.

    "Ce changement d'identité est un cheminement personnel qui s'impose à nous, et nous n'avons pas à nous positionner là-dessus", a expliqué M. Foucault à Presse-Océan. Pour le directeur, ce qui compte "c'est le travail au quotidien et le professionnalisme de ce professeur".

    Interrogée par Presse-Océan, une représentante de l'APEL du lycée a estimé qu'il s'agissait "d'un choix personnel parfaitement légitime et nous avons cherché à l'accompagner afin que cette rentrée se passe de la meilleure des manières".

    Une psychologue de la direction diocésaine est également intervenue sur place le jour de la rentrée.

  • La dictature homofolle

    L’organisation Catholic Care de Leeds, en Angleterre, qui fournit des services d’adoption depuis plus de cent ans avec le soutien financier de l’Eglise, n’a pas le droit de refuser ses services aux paires homosexuelles.

    Catholic Care demandait à bénéficier d’une dérogation à la règle de non-discrimination générale et absolue, en faisant valoir ses convictions religieuses.

    L’affaire est allée jusqu’à la Haute Cour, qui avait demandé à la Charity Commission de se pencher de nouveau sur la question. Celle-ci a édicté que "le respect de convictions religieuses ne pouvait pas justifier une discrimination envers les homosexuels".

    La règle de l’antidiscrimination est donc la discrimination anti-catholique.