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  • Marioupol

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    Un deuxième ensemble d’immeubles est en voie d’être terminé. Les 15 premières familles ont reçu aujourd’hui les clefs de leur nouvel appartement.

    Cet ensemble de dix immeubles comptera 833 appartements.

    Au moins deux autres groupes sont en construction, d’après ce qu’on voit sur les vidéos qui circulent.

  • Générosité vaudoise

    Lu ici :

    «Je ne comprends pas comment c’est possible. À chaque fois que je croise une voiture avec des plaques ukrainiennes, c’est une grosse bagnole que je ne pourrai jamais m’offrir. Et en plus, on leur file du pognon. Je ne trouve pas ça normal!» déplore un Vaudois. Il n’est pas rare d’entendre de tels témoignages, un peu partout en Suisse romande.

    En théorie l’aide n’est versée qu’aux personnes qui en ont besoin (sur la base de déclarations sur l’honneur).

    Un cas particulièrement parlant nous a néanmoins été rapporté: un couple avec quatre enfants, qui touche mensuellement un peu moins de 4000 francs de la part de l’Établissement vaudois d’accueil des migrants (EVAM). En parallèle, les parents roulent dans deux grosses voitures d’une valeur à neuf de plus de 100’000 francs chacune. Des bolides dont le simple entretien et les frais d’assurance seraient difficiles à assumer pour une famille suisse de classe moyenne.

    (Le franc suisse est équivalent à l'euro.)

  • Ce crucifix qu’il ne faut pas voir

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    Capture d’écran 2022-11-04 à 16.03.42.jpgAnnalena Baerbock, ministre allemande des Affaires étrangères, a fait retirer le crucifix de la « Salle de la paix » (où fut signé le traité de Westphalie) de l’hôtel de ville de Münster pour le temps de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G7. La croix date de 1540. Personne jusqu’ici ne l’avait enlevée ou demandé à l’enlever. Depuis 1540 tous les conseillers municipaux de Münster prêtent serment devant elle.

    C’est une nouvelle triste première de l’Occident apostat.

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    Capture d’écran 2022-11-04 à 15.56.12.jpgMais tout cela s’accélère. Il y a deux jours, Claudia Roth (verte comme l’autre), déléguée du gouvernement pour la Culture et les Médias, a fait part de son projet consistant à recouvrir les inscriptions bibliques sur la coupole du Bundestag. Car ces inscriptions ne sont pas assez « weltoffen » (ouvertes sur le monde, cosmopolites) et sont donc inappropriées. Elle travaille sur un « projet artistique de superposition temporaire de l'inscription reconstruite avec des textes alternatifs, de commentaire et de réflexion ».

    Les inscriptions avaient été choisies par Frédéric-Guillaume IV : « Il n'y a de salut en aucun autre, et il n’y a aucun autre nom donné aux hommes, que dans le nom de Jésus, à la gloire de Dieu le Père. Qu'au nom de Jésus tous les genoux fléchissent, dans les cieux, sur la terre et sous la terre. »

    Elles ont été restaurées en 2020. Déjà il y avait eu des protestations, et la Fondation Forum Humboldt pour le Palais de Berlin avait fait apposer une plaque disant : « Toutes les institutions du Forum Humboldt se distancient expressément de la prétention à l'exclusivité et à la domination du christianisme qu'exprime l'inscription. »

    Mais cela ne suffit pas aux furies vertes anti-chrétiennes.

    L’archevêque de Berlin Mgr Heiner Koch a fait opportunément remarquer que le propos de saint Paul était qu’il ne fallait s’agenouiller que devant Dieu et pas devant l’empereur de Rome, et que ce message était toujours d’actualité : « Les hommes ne doivent s'incliner que devant Dieu et ne doivent rendre cet honneur à aucun pouvoir terrestre », ce qui fonde la liberté humaine.

    Mais les furies vertes ne veulent justement pas s’incliner devant Dieu. Elles croient que la liberté est d’être l’esclave des idéologies de la culture de mort, et que pour cela il faut éradiquer ce qui reste du christianisme.

  • Le jour de l’unité russe

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    Comme chaque année, le « Jour de l’unité nationale », Vladimir Poutine a déposé une gerbe de fleurs au monument de Kouzma Minine et du prince Dmitry Pojarski sur la place Rouge, devant la cathédrale Saint-Basile le bienheureux. Cette année il a voulu le faire avec un groupe de bénévoles des associations de « Nous sommes ensemble » (Myvmesté) ou dépendant du « Front populaire panrusse » (la coalition autour de Russie unie), aujourd’hui mobilisés dans l’aide aux familles de militaires au combat et aux habitants des nouveaux territoires russes. Vladimir Poutine a notamment indiqué que 318.000 personnes ont été mobilisées, dont 49.000 ont été envoyées en mission.

  • Deux villes

    Kiev, où se déversent des dizaines de milliards d’euros et de dollars :

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    Moscou, ruinée par les sanctions occidentales :

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  • Le pape et la Chine

    Stephen Schneck, nommé en juin par le président Biden à la Commission fédérale des Etats-Unis sur la liberté religieuse internationale, se dit « terriblement désappointé » par la nouvelle reconduction de l’accord secret entre le Vatican et la Chine. Il a déclaré au magazine Crux :

    « Je comprends assurément en tant que catholique que le Vatican joue un jeu à long terme et ne pense pas aux circonstances immédiates, mais je pense que ces accords n'ont produit aucune amélioration de la liberté religieuse pour les catholiques en Chine, et je pense que le Saint-Siège devrait vraiment repenser sa décision de danser avec Xi sur toute cette affaire.

    « Quoi qu'ils puissent espérer sur le long terme, la situation immédiate sur le terrain en Chine pour les catholiques est quelque chose dont je pense que le Saint-Siège devrait se préoccuper.

    « Je ne peux tout simplement pas imaginer que ce qui se passe maintenant vaut pour l'avenir. En fait, j'irais même jusqu'à dire, c'est mon commentaire personnel, mais il me semble que la Chine pourrait en fait utiliser cet accord pour réprimer davantage les catholiques clandestins en Chine, et si c'est le cas, alors le Vatican est en fait en train de perdre du terrain, pas du tout de gagner du terrain. »

  • Les jeunes pré-conciliaires…

    Vers la fin du discours de Mgr Éric de Moulins-Beaufort en ouverture de l’Assemblée plénière d’automne, hier :

    Le dernier sujet est l’application du Motu Proprio Traditionis Custodes et, plus largement encore sa compréhension. (…) Ce sujet n’est pas mince. Il touche à la compréhension de la Tradition vivante de l’Église, de la vérité de l’Eucharistie et des saintes Écritures qui sont la Parole vivante de Dieu, à la nature et la mission de l’Église. Nous ne cessons de nous interroger sur une partie de la jeunesse catholique qui cherche des sources vives dans la liturgie pré-conciliaire et qui ne perçoit pas l’enrichissement considérable apporté par le Concile, non pas une adaptation mais un enrichissement. Cette jeunesse est diverse, elle mérite notre attention, notre écoute, elle a besoin aussi que nous lui indiquions les sources les meilleures.

    Dans les années 70-80, les catholiques qui voulaient garder la messe traditionnelle étaient quelques vieux croutons rassis incapables de comprendre le progrès. Il suffisait d’attendre qu’ils disparaissent. Le problème est qu’aujourd’hui les jeunes qui veulent la messe traditionnelle sont plus nombreux que l’étaient les vieux croutons disparus. Au point d’inquiéter les évêques en réunion plénière. On notera que ces jeunes ont le même défaut que les vieux d’antan : ils ne comprennent pas que la néo-liturgie est un progrès considérable, et que cela ne se discute pas. La question n’est donc pas de prendre en compte ce que ces jeunes auraient à dire, mais à trouver le moyen de leur faire prendre des vessies pour des lanternes. Tout en appliquant le motu proprio, donc en interdisant progressivement toutes les messes traditionnelles, afin de régler définitivement le problème.

  • Saint Charles Borromée

    La prière suivante se trouve au milieu de l’allocution d’ouverture du quatrième synode organisé à Milan par saint Charles Borromée en application du concile de Trente.

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    Ce « portrait de S. Charles Borromée » a été retrouvé avec une lettre de condoléances envoyée par le saint à Don Garcia de Toledo Osorio, marquis de Villafranca, à l’occasion de la mort de sa femme (1563), dans une collection de 81 autographes réunis par Eduardo Fernández San Román et légués en 1888 à l’Académie royale d’histoire de Madrid.

  • Ukraine

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    Ceci est la cartographie des vols d’avions de l’OTAN entre le 1er octobre et le 1er novembre vers Rzeszów, la ville polonaise qui a l’aéroport le plus proche de la frontière ukrainienne. On voit que la plus grande partie des livraisons d’armes vient de Londres. Sans doute les armes américaines transitent-elles par la Grande-Bretagne. On voit aussi que le trafic est intense avec l’Italie et avec la Lituanie. Il est quasiment inexistant avec la France. Bien sûr il y a aussi le rail et la route.

    *

    Ilmar Tomusk, le directeur général du Conseil de la langue estonienne, a évoqué hier la nécessité de renforcer la politique linguistique en Estonie. A cause de l’invasion de l’anglais notamment dans les publicités, mais aussi à cause de l’arrivée massive de réfugiés ukrainiens. En Estonie toute autre langue que l’estonien est une langue étrangère, alors que dans le comté du nord-est 72% des habitants sont russophones, et qu’à Narva c’est 95% de la population. Dans l’ensemble du pays 25 à 30% des habitants ont le russe comme langue maternelle. En théorie il faut parler estonien pour trouver un travail, mais le russe fait de la résistance, notamment dans le secteur des services, et les Ukrainiens trouvent facilement un travail dans des entreprises où l’on parle russe, ce qui aggrave le phénomène... Ilmar Tomusk veut une loi pour que ça change, et que les Ukrainiens aient l’obligation de parler estonien au bout d’un an...

    *

    Josep Borrell :

    "Nous devons continuer à appliquer les sanctions contre l’économie russe. Nous devons soutenir l’armée ukrainienne, comme nous le faisons. L’Union européenne a déjà alloué 22 milliards d’euros pour soutenir l’Ukraine : 22 milliards d’euros. Et je ne compte pas dans ce chiffre le soutien militaire fourni bilatéralement par les États membres. Je ne compte que les 3 milliards d’euros au titre de la Facilité européenne pour la paix (FEP) et 19 milliards d’euros venant de l’Union européenne et des États membres pour soutenir financièrement et économiquement l’Ukraine."

  • Férie

    On devrait aujourd’hui célébrer saint Charles Borromée, mort un 3 novembre. Je suppose que sa fête a été décalée au lendemain parce que lorsque le 3 novembre est un lundi c’est ce jour qu’on commémore les fidèles défunts. Parmi les saints du martyrologe du 3 novembre il y a saint Malachie d’Armagh, évêque de Connor, fondateur de l’abbaye cistercienne de Mellifont, mort à Clairvaux dans les bras de son ami saint Bernard. Voici la préface de saint Bernard à son livre sur la vie de saint Malachie.

    Il a toujours été d'une grande utilité d'écrire les vies des saints illustres pour qu'elles servent de miroir est d'exemple aux autres hommes et qu'elles soient comme l'assaisonnement de leur vie sur la terre. Par le moyen de ces histoires, ils semblent en quelque sorte vivre encore au milieu de nous, même après que la mort les a moissonnés, et ramènent dans les sentiers de la véritable vie beaucoup de ceux qui sont de véritables morts quoique vivants en apparence. Mais la rareté des saints rend ce travail plus nécessaire de nos jours que jamais, car nous vivons dans un temps stérile en hommes. La disette en est telle de nos jours que je ne doute pas que c'est de notre siècle qu'il a été dit : « L'iniquité des hommes sera arrivée alors au comble et la charité de beaucoup sera refroidie (Matth., XXIV, 12). » Je crois même que nous touchons à l'époque dont il est dit : « La disette — d'hommes — marchera devant sa face (Job., XLI, 13). » Si je ne me trompe, c'est de l'Antechrist qu'il est parlé ici et que la pénurie et la disette de tout bien doit précéder et accompagner. Mais qu'elle annonce que ce temps est venu ou seulement qu'il ne peut tarder à paraître, toujours est-il qu'il y a pénurie, disette évidente. Sans parler de la foule, de la vile multitude des enfants du siècle, jetons les yeux sur les colonnes mêmes de l'Église. Montrez-moi donc parmi ceux qu'on peut regarder comme destinés à éclairer les nations un seul homme qui ne soit pas plutôt, dans le lieu élevé où il est placé, une mèche fumeuse qu'une lampe qui éclaire. Or « si votre lumière n'est que ténèbres, que sera-ce des ténèbres mêmes (Matth. VI, 23) ? » A moins peut-être, mais je ne puis le croire, que vous ne trouviez que ceux qui n'estiment la piété qu'à ses avantages et ne recherchent que leur intérêt personnel plutôt que celui du Seigneur dans son propre héritage, répandent en effet de la lumière. Mais, que dis-je, ne recherchent que leur intérêt personnel ? Je tiendrais presque pour un homme irréprochable, pour un saint, celui qui se contenterait de ne rechercher que ses intérêts et de ne retenir que ce qui lui appartient s'il gardait son cœur et ses mains purs du bien d'autrui ; mais je lui rappellerais qu'il est en cela juste aussi saint qu'on demande à un païen de l'être. Est-ce qu'il n'est pas recommandé aux soldats de se contenter de leur paie (Luc III, 14), s'ils veulent être sauvés ? Comment donc trouver que c'est beaucoup demander à un docteur de l'Eglise que de lui demander de n'être pas plus exigeant qu'un soldat, et comme le Prophète le disait aux prêtres du Seigneur, mais d'un ton de reproche, « que le prêtre égale au moins l'homme du peuple (Isa., XXIV, 2). » O honte ! Est-il permis de réputer au premier rang des hommes qui, déchus de ce rang élevé, sont tombés si bas que c'est à peine s'ils ne sont point au fond même de l'abîme ? Et pourtant ceux qui se sont arrêtés au dernier degré sont bien rares dans le clergé même. Qui me donnera un clerc content du nécessaire et n'ayant que du mépris pour le superflu ? Et cependant c'est la règle que les apôtres ont laissée à leurs successeurs, en leur disant : « Si nous avons le vivre et le couvert, sachons nous en contenter (I Tim. VI, 8). » Où trouve-t-on cela maintenant ? Dans les livres, mais non point dans les hommes. Or, en parlant du juste, le Psalmiste a dit : « C'est dans leur cœur qu'est la loi de Dieu (Psalm. XXXVI, 31) », non pas dans ses livres. Encore le Psalmiste ne parle-t-il point là de celui qui est arrivé à la perfection ; pour celui-ci il faudrait qu'il fût prêt à se passer même du nécessaire. Aussi n'en faut-il point parler. Plût au Ciel seulement qu'on sût mettre une borne au superflu, et que nos désirs ne s'étendissent point à l'infini. Mais quoi, peut-être cela du moins n'est-il pas impossible à trouver ; si ce n'est point impossible c'est au moins fort difficile. Mais que fais-je ? Je me demandais où on pourrait trouver un homme parfait, capable d'en sauver plusieurs autres avec lui, et voilà que c'est à peine si, en cherchant bien, nous en trouvons qui se sauvent au moins eux-mêmes. On tient pour très-bon aujourd'hui quiconque n'est pas trop mauvais. Mais puisqu'il n'y a plus de saints sur la terre, il me semble que je n'ai rien de mieux à faire que de rappeler parmi nous quelqu'un des saints personnages qui nous ont été enlevés, un Malachie, cet évêque, cet homme vraiment saint, qui a brillé de nos jours de l'éclat d'une sagesse et d'une vertu singulières. C'était bien la lampe qui brûle et qui éclaire ; mais si on ne peut dire qu'elle est éteinte maintenant, du moins elle nous a été enlevée, Qui donc pourrait trouver mauvais que je la fisse de nouveau briller à nos yeux ? Mais que dis-je, il n'est pas de reconnaissance que ne me doivent les hommes d'à présent et que ne me devront plus tard les générations à venir, si je fais revivre sous ma plume celui que le trépas a frappé, si je rends au monde un homme dont le monde n'était pas digne, si je conserve aux souvenirs des mortels un des leurs, dont la mémoire sera bénie de tous ceux qui daigneront lire ces lignes, si enfin, à ma voix amie tirant un ami de son lourd sommeil, on entend sur notre terre la voix de la tourterelle prononcer ces paroles : « Voici que je suis avec vous tous les jours jusqu'à la fin des siècles (Matth., XXVIII, 20) » ? D'ailleurs comme il repose au milieu de nous, c'est à nous plus particulièrement qu'il convient d'entreprendre cette œuvre. Et puis ce saint homme ne m'honorait-il point d'une amitié toute particulière ? Je crois même que personne ne l'emportait sur moi dans son cœur. J'ai déjà recueilli les fruits de cette grande et sainte affection, elle n'a point été stérile pour moi. Il était à l'extrémité ou plutôt il était à l'entrée de sa nouvelle carrière, selon cette expression du Sage : « Quand l'homme est arrivé à la fin, il trouvera qu'il débute à peine (Eccli. XVIII, 6) », j'accourus auprès de lui pour recevoir sa bénédiction avant qu'il mourût. Et lui, qui avait déjà perdu l'usage de tous ses membres, recouvra toute sa force pour me bénir, et levant ses saintes mains sur ma tête, il me bénit en effet et sa bénédiction est l'héritage qu'il m'a laissé ; comment donc pourrai-je aujourd'hui ne plus parler de lui ? Enfin après toutes ces raisons, cher abbé Congan, mon frère vénéré et mon doux ami, vous venez d'Irlande avec toute l'assemblée des saints qui est sous votre direction, ainsi que vous me l'écrivez, m'enjoindre de vous parler de lui. Je le fais d'autant plus volontiers que ce que vous me demandez est moins un panégyrique qu'un simple récit de sa vie. Je mettrai tous mes soins à le faire simple et lumineux, propre à nourrir la piété sans fatiguer trop les tièdes. Vous pouvez bien croire que la vérité n'a rien à craindre de ma part dans cette histoire, d'autant plus que vous ne me demandez point de vous raconter autre chose que ce que vous connaissez parfaitement vous-même.

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    Eglise Saint-Malachie de Kinkora, Île du Prince Edward, Canada.