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  • Tiens…

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    C’est en rouge sur le fil du Figaro. Une grande nouvelle ? Macron aurait persuadé Poutine ?

    En fait c’est depuis le 8 août, il y a donc 11 jours, que le gouvernement russe demande instamment à l’AIEA de venir inspecter la centrale. Macron n’y est donc pour rien.

    Si l’AIEA n’y va pas, c’est parce que Zelensky ne le veut pas.

    Les Français « informés » par les seuls grands médias croient que les Russes bombardent la centrale (c’est-à-dire se bombardent eux-mêmes…) et vont donc être très surpris d’apprendre que Poutine est « d’accord » pour une inspection de l’AIEA.

    Ils vont peut-être même se demander pourquoi Zelensky ne veut pas que les experts internationaux aillent mettre leur nez à Zaporijjia…

    Le fait intéressant est que c’est donc Macron qui annonce lui-même aux Français que Poutine veut une inspection de l’AIEA et donc, en filigrane, que c’est l’Ukraine qui bombarde la centrale.

    Un premier indice de lâchage du sinistre clown de Kiev par la France ?

    On constate que l’aide militaire à l’Ukraine se réduit partout (et le gouvernement ukrainien est furieux contre l’Allemagne accusée sur les réseaux sociaux de collaboration avec la Russie…). Sauf aux Etats-Unis, qui deviennent le seul réel fournisseur d’armes, ce qui a l’avantage de montrer qu’il s’agit bien d’une guerre de l’Etat profond américain contre la Russie.

  • Sanctions

    Les revenus des ventes d’énergie vont rapporter cette année à la Russie 337,5 milliards de dollars, soit 38% de plus que l’an dernier, grâce à la hausse du prix du gaz et à l’augmentation des exportations de pétrole.

    Pendant ce temps-là l’inquiétude monte en Europe dans la perspective d’une pénurie d’énergie l’hiver prochain, et la panique est telle en Allemagne que le Premier ministre vert du Bade-Württemberg Winfried Kretschmann recommande de faire comme lui (dit-il) : chauffer une seule pièce, et se laver avec un gant de toilette au lieu de prendre une douche…

    Les sanctions, c’est efficace. Contre ceux qui les prennent.

    (Le Japon a discrètement repris ses importations de pétrole russe. Chut…)

  • La dictature

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    Les vaccinocrates sont hors d’eux à Toulouse parce que des affiches ont fleuri dans la ville dénonçant les effets secondaires des injections du produit « anti-covid ».

    Les véhéments appels à supprimer ces affiches sont restés sans effet parce que, si elles sont bien visibles de la rue, elles sont installées dans des lieux privés…

    Alors le gouvernement prend les grands moyens de la censure : l’Etat va interdire ces affiches par arrêté préfectoral…

    La liberté d’expression, c’était avant. Même chez soi.

  • Orbán

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    Lors d'une interview mise en ligne le 18 août sur le site du magazine en ligne allemand Tichys Einblick, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a conjecturé plusieurs répercussions négatives du conflit militaire en Ukraine sur l'influence occidentale à travers le monde, et plus particulièrement pour celle des pays membres de l'Union européenne. Comme le rapporte le mensuel, le dirigeant de la Hongrie a par exemple estimé que les sanctions antirusses mises en place par l'Occident depuis le début du conflit n'avaient «en rien déstabilisé la Russie» alors qu'elle sont au contraire, selon lui, à l'origine de «dégâts immenses pour l'Europe».

    Il a également souligné que, dans le cadre du conflit en cours, certaines puissances mondiales avaient choisi, contrairement aux pays de l'UE, de «ne pas se ranger derrière les Etats-Unis et l'Ukraine», citant les exemples de la Chine, de l'Inde, du Brésil, de l'Afrique du sud, et, globalement, du monde arabe et de l'Afrique. «Il est tout à fait possible que ce soit cette guerre qui mettra manifestement fin à la supériorité occidentale», a ainsi déclaré Viktor Orbán. Une situation qui profite à certains, pointe Orbán.

    Le chef du gouvernement hongrois a par ailleurs estimé que, de façon générale, les récents développements de la situation s'avéraient profitables d'un côté pour la Russie, de l'autre pour une partie de l'industrie pétrolière américaine. «Ceux qui ont leurs propres sources d'énergie en bénéficient.Les Russes en profitent. Les importations de l'Union européenne en provenance de Russie ont diminué d'un quart mais les revenus de Gazprom ont doublé. [...] Et bien sûr les grandes entreprises américaines en profitent», a déclaré le Premier ministre hongrois, évoquant la forte augmentation des bénéfices de groupes pétroliers américains tels qu'Exxon, Chevron ou encore ConocoPhillips.

    Les propos de Viktor Orban interviennent après la récente annonce de Budapest d'un accord avec la Russie permettant d'augmenter l'approvisionnement en gaz pour la Hongrie.
    (RT)

  • "Exceptionnel"

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    Ils ne se rendent vraiment plus compte de ce qu’ils disent, ou alors les mots « exceptionnel » et « historique » ne sont plus que des synonymes de « dernières nouvelles ».

    Ainsi, la sècheresse « historique » de cette année est tellement « exceptionnelle » que les « pierres de la faim » ont émergé dans plusieurs fleuves, dont l’Elbe.

    Sur ces pierres il y a des inscriptions soulignant que si on peut les lire c’est que la situation va être mauvaise du fait de l’impossibilité pour les bateaux de circuler et donc d’apporter les approvisionnements. « Si tu me vois, alors pleure ». « Lorsque cette pierre sera immergée, la vie reprendra des couleurs. »

    Mais la seule chose que cela prouve, c’est qu’il y a eu dans le passé la même sécheresse que cette année.

    Mieux encore, la plus célèbre de ces pierres porte les années où l’on a pu les inscrire : 1417, 1616, 1707, 1746, 1790, 1800, 1811, 1830, 1842, 1868, 1892, 1893.

    Voilà qui n’est plus vraiment exceptionnel… Et il est tout aussi faux de dire que ces pierres étaient « tombées dans l’oubli ». Car depuis 1893 il y a eu d’autres sécheresses découvrant les pierres de la faim. Celle qu'on voit sur la photo porte les années 1911, 1921, 1934, une autre 1947 et 1959, une autre 1963, et la dernière date qu’on peut lire sur une telle pierre est… 2018…

  • Saint Jean Eudes

    Lettre à Anne d’Autriche.

    A Paris, ce 2 septembre 1648.

    MADAME,

    Je ne puis rejeter la pensée qu'il a plu à Dieu me donner en lui offrant le saint sacrifice de la Messe pour Votre Majesté, durant ces troubles de Paris*, de la supplier très humblement, au nom de Jésus-Christ et de sa très sainte Mère, d'employer le pouvoir qu'ils lui ont donné pour arrêter le torrent impétueux de l'iniquité qui fait aujourd'hui un étrange ravage dans la France, qui entraîne une infinité d'âmes dans les enfers, et qui est l'unique cause de toutes les misères de ce Royaume.

    C'est une chose déplorable, Madame, et à larmes de sang, de voir périr tant d'âmes qui ont coûté le précieux sang de Jésus-Christ, et que ce mal va toujours croissant, et que si peu de personnes s'en mettent en peine. Lorsqu'il s'agit de quelque intérêt temporel des Princes et des Rois de ce monde, que ne fait-on point ? Mais les intérêts du souverain Monarque sont abandonnés. Nous nous tuons, dans nos missions, à force de crier contre quantité de désordres qui sont dans la France, par lesquels Dieu est extrêmement déshonoré, et qui sont la cause de la damnation de beaucoup d'âmes ; et il nous fait la grâce de remédier à quelques-uns. Mais je suis certain, Madame, que si Votre Majesté voulait employer le pouvoir qu'il lui a donné, elle pourrait plus faire, elle seule, pour la destruction de la tyrannie du diable et pour l'établissement du règne de Jésus-Christ, que tous les missionnaires et prédicateurs ensemble.

    Si Votre Majesté désire en savoir les moyens, il sera facile de les lui proposer, et à elle encore plus facile, moyennant la grâce de Notre-Seigneur, de les exécuter. Pour maintenant, je dirai seulement le plus puissant de tous, qui est de donner de bons Évêques à l'Église, car les bons Évêques et les bons prêtres feraient de bons chrétiens, et par ce moyen, dans peu de temps, l'Église de France changerait de face, et reprendrait sa première splendeur. C'est ici la plus grande obligation de Votre Majesté, Madame ; c'est le plus grand service quelle puisse rendre à Dieu et à son Église ; et il est de telle importance qu'il mérite bien que Votre Majesté en prenne soin par Elle-même**, puisqu'elle sera la première à qui le souverain Juge en demandera compte, et un compte d'autant plus terrible qu'il y va du salut d'une infinité de personnes qu'il a commises à ses soins. Car j'entends le Saint-Esprit, lequel, parlant par la bouche de saint Paul, crie hautement : Que quiconque n'a pas soin du salut de ceux qui dépendent de lui, celui-là a renié la foi et est pire qu'un infidèle, tellement qu'à l'heure de la mort, il sera condamné de Dieu comme un apostat, et sera châtié plus sévèrement que les païens et les infidèles.

    Si Votre Majesté rend ce service à Jésus-Christ et à son Église, il la comblera de bénédictions spirituelles et temporelles ; mais si Elle néglige ces choses, je lui déclare, au nom et de la part du grand Dieu vivant, que tous les péchés qui seront commis en France, faute de pourvoir par Elle-même l'Église de bons Évêques, lui seront attribués comme si Elle-même les avait commis ; et qu'Elle en portera la condamnation et le châtiment ; et que toutes les âmes qui se perdront en suite de cela, et toutes les gouttes de sang que Jésus-Christ a répandues pour leur salut, crieront vengeance contre Elle à l'heure de la mort.

    Au reste, Madame, je puis bien protester à Votre Majesté, en toute vérité, qu'en tout ceci, je suis sans intérêt et sans autre prétention que celle de la gloire de mon Maître et du salut des âmes.

    Celui qui connaît le fond des cœurs sait que je dis vrai. C'est en lui et en sa très sainte Mère que je serai toujours, en tout le respect possible,

    Madame,

    De Votre Majesté,

    Le très humble et très obéissant et très fidèle sujet et serviteur,

    JEAN EUDES, Prêtre

    * Le 26 août a été la « Journée des barricades », début de la Fronde.

    ** Au lieu de s'en rapporter à Mazarin.

  • Sainte Hélène

    Le martyrologe du jour commence ainsi :

    A Préneste (Palestrina), la naissance (au ciel) de saint Agapit martyr. Agé de quinze ans seulement, et brûlant d'amour pour le Christ, il fut arrêté par ordre de l'empereur Aurélien et tout d'abord battu très longtemps à coups de nerfs de bœuf ; il souffrit ensuite de plus cruels supplices sous le préfet Antiochus ; l'empereur le fit exposer aux lions, qui ne lui firent aucun mal; enfin frappé par le glaive des exécuteurs, il reçut la couronne du martyre.

    On peut toujours célébrer en ce jour la messe des martyrs en mémoire de saint Agapit.

    Le martyrologe se termine ainsi :

    A Rome, sur la voie Lavicane, sainte Hélène, mère du très religieux empereur Constantin le Grand, qui le premier protégea l'Eglise et favorisa son extension, donnant ainsi l'exemple aux autres princes.

    Il est curieux que le martyrologe ne signale pas le pèlerinage à Jérusalem, entrepris alors qu’elle avait 79 ans, et qui lui permit de trouver la Croix du Christ.

    On peut célébrer la messe de sainte Hélène, à savoir la messe des saintes femmes "Cognovi", avec de belles oraisons propres :

    Dómine Jesu Christe, qui locum, ubi Crux tua latébat, beátæ Hélenæ revelásti, ut, per eam, Ecclésiam tuam hoc pretióso thesáuro ditáres: ejus nobis intercessióne concéde; ut vitális ligni prétio, ætérnæ vitæ prǽmia consequámur.

    Seigneur Jésus-Christ, qui avez révélé à la bienheureuse Hélène le lieu où votre Croix était cachée, pour enrichir par elle votre Eglise de ce précieux trésor ; accordez-nous par son intercession d'obtenir, grâce au prix de cet arbre de vie, les récompenses de la vie éternelle.

    Per haec sacra mystéria concéde nobis, Dómine, ut, sicut beátae Hélenae misericórditer tribuísti, ut Fílium tuum crucifíxum in corde semper gestáret ; ita et nos eum in córdibus nostris perpétuo deferámus.

    Seigneur, qui avez miséricordieusement accordé à la bienheureuse Hélène de porter sans cesse en son cœur votre Fils crucifié, faites, par ces saints mystères, que nous le portions toujours, nous aussi, dans notre cœur.

    Concéde nobis, miséricors Deus: ut, qui salutíferae Crucis tuae fructu in terra sumus recreáti, per intercessiónem beátae Hélenae, eódem júgiter pérfrui mereámur in caelis.

    Dieu de miséricorde, à nous qui avons été recréés sur cette terre par le fruit de votre Croix, source de salut, accordez que par l’intercession de la bienheureuse Hélène nous méritions de jouir au ciel de ce même fruit pour l’éternité.

    Dans mon diocèse de Vannes il y a (au moins) quatre chapelles Sainte-Hélène : à Auray, Bubry, Locmalo et Surzur. Et il y a une église Sainte-Hélène au centre du bourg du même nom (sur la rivière d’Etel) : le pardon y est célébré le 18 août (ainsi qu’à Surzur). Mais dans le diocèse la fête du jour est saint Armel.

  • L’effet Trump

    Liz Cheney, député du Wyoming depuis 2016 (trois législatures), a perdu la primaire républicaine face à Harriet Hageman, soutenue par Donald Trump.

    Liz Cheney, fille du chef néo-con Dick Cheney (l’un des principaux responsables du sanglant désastre irakien), se posait en chef de la fraction républicaine anti-Trump.

    Donald Trump voulait donc faire tomber celle dont l’obsession était de l'empêcher d’accéder de nouveau à la Maison Blanche après avoir voté pour sa destitution.

    Selon les derniers résultats il y aurait 40 points d’écart entre les deux. Ce qui est spectaculaire. Beaucoup moins connue que Liz Cheney, Harriet Hageman s’était seulement présentée jusqu’ici à l’élection du gouverneur, en 2018, arrivant troisième.

    (Liz Cheney a salué l’arrêt de la Cour suprême sur l’avortement, mais seulement pour se féliciter que la question était renvoyée aux Etats. Harriet Hageman en revanche a fait de sa réaction une longue déclaration pro-vie. Liz Cheney a voté la loi autorisant le soi-disant mariage entre personnes de même sexe. Harriet Hageman refuse de s’exprimer sur cette question.)

  • Ukraine

    La loi contre le collaborationnisme (votée par le Parlement de l'exemplaire démocratie ukrainienne où les partis d'opposition sont interdits) est entrée en vigueur hier 16 août.

    Tout acte de collaboration avec l’ennemi est puni d’une peine de 15 ans de prison, pouvant aller jusqu’à la réclusion à perpétuité si l’acte de collaboration « a eu un tel impact que quelqu’un en est mort ».

    Détaillant les actes de collaboration avec l’ennemi tombant sous le coup de la loi, la porte-parole du ministère de l’Intérieur, Alyona Matveieva, a déclaré que cela comprenait notamment le fait d’accepter ou de distribuer de l’aide alimentaire russe.

    Heureusement que les territoires où arrive l’aide humanitaire russe ne seront plus jamais ukrainiens. (Il va de soi qu’une telle loi ne peut avoir que l’effet inverse de celui qui était voulu, et jeter dans les bras des Russes ceux qui hésitaient encore…)

    *

    Le ministre ukrainien de l'Education nationale a annoncé hier que dorénavant il n'y aura plus de cours de langue russe et que les cours de littérature étrangère ne feront pas mention de la littérature russe, sauf exception d'auteurs ayant eu des liens étroits avec l'Ukraine.

    En juillet était entrée en vigueur une nouvelle étape de la loi qui garantit "le fonctionnement de la langue ukrainienne en tant que langue d'Etat", et qui prévoit des amendes pour quiconque parlerait russe dans certains établissements publics. Désormais «les citoyens du pays doivent utiliser la langue ukrainienne dans tous les aspects de la vie sociale», souligne le commissaire à la protection de la langue d'Etat (sic), Taras Kremen, appelant la population à dénoncer les contrevenants aux forces de l'ordre locales. Ce qui bien évidemment ne peut que pousser les russophones à devenir... russes.

  • La dictature

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    Ceci est l’église de Chicago qui avait été confiée à l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre en 2004 par le cardinal George , l’église Saint-Gélase, devenue sanctuaire du Christ Roi. En application enthousiaste du diktat de François, l’actuel archevêque le cardinal Cupich a décidé de chasser l’Institut de cette église et de son diocèse. La dernière messe y a été célébrée le 31 juillet.

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    Et il y a eu devant l’église une adoration du Saint-Sacrement. Et une procession autour du quartier. La procession est passée devant la « Première église presbytérienne », avenue Kimbark. C’était la fin du culte, et le pasteur, David Black, avec nombre de fidèles… a suivi la procession.

    « Chaque fois que j’ai vu cette assemblée j’ai été étonné, tout d’abord par sa croissance, sa vitalité et son caractère multiculturel, dit le pasteur. Ce ne sont que de jeunes familles venues de partout – blacks, latinos, de nombreuses ethnies, beaucoup de familles d’immigrés, beaucoup de jeunes enfants. »

    Rappelons qu’en 2003 l’église devait être détruite par absence de fidèles, et avait été sauvée de justesse.

    Quant au pasteur Black il est bien connu des catholiques du Sanctuaire du Christ Roi pour les avoir longtemps accueillis dans sa salle paroissiale après l’incendie qui avait ravagé l’église en 2015.

    « Tout le monde dans le quartier est vraiment désorienté », dit une habitante, Heather Malpass, qui se souvient comment le chanoine Talarico s’est occupée de sa mère au long de la maladie qui devait l’emporter. « Leur contribution à la communauté était beaucoup plus importante (que leur genre de messe), et nous ne pouvons vraiment pas imaginer notre quartier sans eux. »

    Mais l’Eglise du cardinal Cupich et du pape François l’imagine très bien. Et installe le désert.