Le point de presse de Stoltenberg (sur la Russie) interrompu par l'allocution de Poutine au moment où ce dernier dit: "La victoire sera à nous". Le présentateur invoque un "problème technique, peut-être, une très étrange coïncidence"...
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Le point de presse de Stoltenberg (sur la Russie) interrompu par l'allocution de Poutine au moment où ce dernier dit: "La victoire sera à nous". Le présentateur invoque un "problème technique, peut-être, une très étrange coïncidence"...
Capture d'écran de l'allocution de Poutine aux Russes, sur la place Rouge, devant des dizaines de milliers de personnes, en compagnie des dirigeants des territoires de Lougansk, Donetsk, Kherson et Zaporojié, avant la fête avec des vedettes du théâtre, du cinéma et de la chanson.
Auparavant Poutine avait prononcé un discours de 40 minutes devant les élus de Russie, en prélude à la signature des documents à partir de 37:30) faisant des territoires de Lougansk, Donetsk, Kherson et Zaporojié des territoires de la Fédération de Russie.
Extrait:
Je voudrais maintenant revenir sur ce que j'ai dit et m'adresser également à tous les citoyens du pays - pas seulement aux collègues qui sont dans la salle - mais à tous les citoyens de Russie : voulons-nous avoir ici, dans notre pays, en Russie, "parent numéro un, parent numéro deux et parent numéro trois" (ils ont complètement perdu la tête !) au lieu de mère et père ? Voulons-nous que nos écoles imposent à nos enfants, dès leurs premiers jours d'école, des perversions qui mènent à la dégradation et à l'extinction ? Voulons-nous leur enfoncer dans le crâne l'idée que certains autres genres existent à côté des femmes et des hommes et leur proposer des opérations de réassignation sexuelle ? Est-ce cela que nous voulons pour notre pays et nos enfants ? Tout cela est inacceptable pour nous. Nous avons un autre avenir pour notre part.
Permettez-moi de répéter que la dictature des élites occidentales vise toutes les sociétés, y compris les citoyens des pays occidentaux eux-mêmes. C'est un défi pour tous. Ce renoncement complet à ce que signifie d'être humain, le renversement de la foi et des valeurs traditionnelles, et la suppression de la liberté en viennent à ressembler à une "religion à l'envers" - du satanisme pur. Démasquant les faux messies, Jésus-Christ a dit dans le Sermon sur la Montagne : "C'est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez." Ces fruits empoisonnés sont déjà évidents pour les gens, et pas seulement dans notre pays mais aussi dans tous les pays, y compris de nombreuses personnes en Occident même.
(Traduction de la traduction anglaise officielle)
Angela Merkel a fait sensation hier à Goslar (Basse Saxe), où elle était invitée pour le 1100e anniversaire de la ville. Dans son allocution, après avoir souligné que l’attaque de la Russie en Ukraine a été « la plus grande violation des principes du droit international en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale » (applaudissements dans la salle), elle a dit qu’il était nécessaire d’agir. A savoir… travailler à une architecture de sécurité paneuropéenne « avec aussi l’implication de la Russie » (stupeur dans la salle).
« Cet objectif peut nous sembler aussi irréaliste aujourd’hui qu’Adenauer à Goslar en 1950 pour la réunification », et pourtant il faut essayer, a-t-elle ajouté.
(Angela Merkel fait allusion au congrès fondateur de la CDU fédérale à Goslar, à la frontière de l'Allemagne de l'Est, en octobre 1950, avec l’élection comme premier président de Konrad Adenauer.)
Déjà elle avait fait polémique mardi pour avoir simplement dit à propos de Vladimir Poutine : « On devrait prendre ses paroles au sérieux. »
En mai dernier, le gouverneur de Californie Gavin Newsom avait fait voter une loi consistant en un « paquet de santé reproductive » de 125 millions de dollars pour promouvoir l’avortement dans l’Etat (et en prime les droits LGBT).
Le 27 septembre, il a signé pas moins de 13 nouvelles lois pour promouvoir l’avortement, toujours dans le cadre de ce qu’il ose appeler son « programme pro-vie ».
Pour un total de 200 millions de dollars, destinés à financer l’avortement, le recrutement de nouveaux avorteurs (non médecins), et s’assurer qu’aucun avortement ne puisse être poursuivi en justice.
L’une de ces lois peut être interprétée comme décriminalisant l’infanticide.
Une autre est spécifiquement destinée à promouvoir et financer l’avortement en Californie de femmes vivant dans les Etats où il est désormais interdit.
Tous les détails sur LifeSiteNews.
L’avortoir du Planning familial de Steamboat Springs, dans le Colorado, a fermé ses portes le 16 septembre, faute de demande.
Pourtant dans le Colorado on peut avorter, sans aucune restriction, jusqu’à la naissance. En outre, c’était le seul avortoir dans le coin nord-ouest de l’Etat, près de la frontière du Wyoming où l’avortement est désormais interdit.
Il n’y a donc eu aucun afflux du Wyoming, et même là où c’est un « droit » absolu il ne fait plus recette.
Vladimir Spivakov a été l’un des plus grands violonistes russes, et il est devenu peu à peu, aussi, l’un des plus grands chefs d’orchestre russes. Il est aujourd’hui le directeur artistique de l’Orchestre national philharmonique de Russie. Mardi dernier, il dirigeait un concert qui se terminait par la cantate Saint Jean Damascène de Sergueï Taneïev. La fin de l’œuvre est un chant quasi liturgique, pianissimo. Habituellement, dans ces cas-là, le chef ferme lentement le poing pour indiquer la fin. Mais là, regardez.
(Au fait, Vladimir Spivakov a été le signataire d’une pétition d’artistes russes contre la guerre en Ukraine. Non seulement il n’est ni en prison ni en exil, mais ses concerts sont retransmis en direct, or il dirige le plus prestigieux orchestre d’Etat, réunissant les meilleurs instrumentistes des orchestres moscovites.)
La lecture du troisième nocturne des matines, avant 1960, était le commentaire de l’évangile du jour (qui est celui du commun des docteurs) par saint Jérôme. C’est un échantillon typique de son travail, consistant en de brèves annotations : il répondait au désir de quelqu’un de pressé et il commenta tout l’évangile en deux semaines…
Les Apôtres et les docteurs sont appelés sel, parce que leur doctrine est le condiment de tout le genre humain. « Que si le sel perd sa vertu, avec quoi le salera-t-on ? » Si le docteur s’égare, par quel autre docteur sera-t-il redressé ? « Il n’est plus bon à rien qu’à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes. » La comparaison est tirée de l’agriculture. En effet, si le sel est nécessaire pour assaisonner les aliments et empêcher les viandes de se corrompre, il n’a point d’autre utilité. Du moins, nous lisons dans les écrits qu’il y eut des villes où la vengeance des vainqueurs fit répandre du sel, afin qu’il ne sortît plus du sol aucune végétation. Que les docteurs et les évêques se tiennent donc sur leurs gardes et qu’ils considèrent « que les puissants seront puissamment tourmentés, » que s’ils se perdent, il n’y a pas de remède, et que la chute des grands entraîne aux enfers.
« Vous êtes la lumière du monde. Une ville située sur une montagne ne peut être cachée. Et on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais sur un chandelier, afin qu’elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. » C’est la hardiesse de la prédication qu’il enseigne : il veut que ses Apôtres, au lieu de se cacher par crainte, et de ressembler à une lampe sous le boisseau, se produisent avec une entière liberté et prêchent sur les toits ce qu’ils ont ouï dans le secret.
« Ne pensez pas que je sois venu abolir la loi ou les Prophètes : je ne suis pas venu les abolir, mais les accomplir. » Soit qu’il ait accompli ce que d’autres avaient prophétisé de sa personne, soit que, faisant porter sa prédication sur les points laissés avant lui à l’état d’ébauche et d’imperfection, à cause de la faiblesse même des auditeurs, il les ait perfectionnés. C’est ainsi qu’il réprouve toute colère, qu’il supprime la peine du talion et condamne la concupiscence cachée au fond du cœur.
« Jusqu’à ce que le ciel et la terre passent. » Il nous est promis de nouveaux cieux et une terre nouvelle que fera le Seigneur Dieu. Si donc des choses nouvelles sont à créer, c’est que les anciennes doivent passer.
Plusieurs dizaines de milliers de Tchèques ont de nouveau manifesté sur l'esplanade Saint-Venceslas, hier, jour de la fête nationale de saint Venceslas, à l'appel du groupe "La République tchèque d'abord".
« Ce gouvernement est absolument anti-tchèque. Il ne sert que Bruxelles, le pouvoir américain et l'OTAN. Il n'a aucune considération pour les intérêts des citoyens tchèques », a déclaré un manifestant cité par Reuters.
L’européiste macroniste Nathalie Loiseau fait circuler une lettre parmi ses collègues du Parlement européen pour qu’ils la signent avec elle : elle demande à Josep Borrell que soient la cible de sanctions de l’UE tous les observateurs des référendums de Donetsk, Lugansk, Zaporojié et Kherson.
Ces observateurs provenaient d’une quarantaine de pays, mais la seule personne nommée est Vanessa Beeley, une Britannique que Nathalie Loiseau poursuit de sa vindicte depuis longtemps.
Ces affiches fleurissent à Donetsk. Sur la première on voit Jobidon, avec cette légende : "Merci papy pour notre VICTOIRE." Suit le résultat du référendum.
Sur l’autre on voit Ursule, et l’adaptation d’un vers d’un poème de Pouchkine, qui dit à peu près : "Ursule ! Bois du chagrin, mais où donc est la tasse…"
C’est dans le poème intitulé Soir d’hiver, l’un de ceux que Pauline Viardot mit en musique, et que l’on dédiera donc à Ursule. Le livret du CD donne la traduction de Louis Pomey, et la strophe où se trouve le vers est ainsi traduite :
Ça, buvons, ô bonne mère,
Si fidèle à mon malheur,
Bois avec moi, prends un verre,
Le bon vin donne du cœur.