Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Vexilla Regis

    L’hymne des vêpres du temps de la Passion, de saint Venance Fortunat, dans la version liturgique des moines de Solesmes sous la direction de dom Gajard. Puis trois adaptations de Liszt. Une pièce pour piano de 1864 éditée pour la première fois en… 1970, la même pièce orchestrée (la même année), et le Vexilla Regis pour orgue (ou piano) et chœur qui ouvre la Via Crucis (1879).

    Vexílla Regis pródeunt,
    Fulget Crucis mystérium :
    Quo carne carnis cónditor,
    Suspénsus est patíbulo.

    Les étendards du Roi s'avancent,
    mystère éclatant de la Croix !
    Au gibet fut pendue la chair
    du Créateur de toute chair.

    Quo vulnerátus ínsuper
    Mucróne diro lánceæ,
    Ut nos laváret crímine,
    Manávit unda et sánguine.

    C'est là qu’Il reçut la blessure
    d'un coup de lance très cruel,
    et fit sourdre le sang et l'eau
    pour nous laver de nos péchés.

    Impléta sunt quæ cóncinit
    David fidéli cármine,
    Dicens: In natiónibus
    Regnávit a ligno Deus.

    Ils sont accomplis, les oracles
    véridiques chantés par David
    lorsqu'il a dit : « Sur les nations,
    Dieu a régné par le bois ».

    Arbor decóra, et fúlgida,
    Ornáta Regis púrpura,
    Elécta digno stípite,
    Tam sancta membra tángere.

    Arbre dont la beauté rayonne,
    paré de la pourpre du Roi,
    d'un bois si beau qu'il fut choisi
    pour toucher Ses membres très saints !

    Beáta, cujus bráchiis
    Sæcli pepéndit prétium,
    Statéra facta córporis,
    Prædámque tulit tártari.

    Arbre bienheureux ! À Tes branches
    la rançon du monde a pendu !
    Tu devins balance d'un corps
    et ravis leur proie aux enfers !

    O Crux ave, spes unica,
    Hoc Passiónis témpore,
    Auge piis justítiam,
    Reísque dona véniam.

    Ô Croix, salut, espoir unique !
    En ces heures de la Passion,
    augmente la justice des saints,
    remets les fautes des pécheurs.

    Te summa Deus Trínitas,
    Colláudet omnis spíritus:
    Quos per Crucis mystérium
    Salvas, rege per sæcula. Amen.

    Dieu, Trinité suprême,
    que tout esprit Vous célèbre ;
    gouvernez sans fin ceux que Vous sauvez
    par le mystère de la Croix. Amen.

  • C'est fait

    Depuis ce matin la messe est interdite à Saint-Pierre de Rome si elle n’est pas concélébrée et « animée ».

    Ce qui est certain et qui était inédit, c’est qu’un pape qui interdit la messe c’est plus efficace que lorsque c’est un pouvoir civil. 

    Photos d’Edward Pentin ce matin, à l'heure où jusqu'ici il y avait des messes partout dans la basilique :

    Screenshot_2021-03-22 The Catholic Traveler ( MountainButorac) Twitter.pngScreenshot_2021-03-22 The Catholic Traveler ( MountainButorac) Twitter(3).pngScreenshot_2021-03-22 The Catholic Traveler ( MountainButorac) Twitter(5).png

    Screenshot_2021-03-22 The Catholic Traveler ( MountainButorac) Twitter(4).png

    L’unique messe concélébrée par les zombies masqués :

    Screenshot_2021-03-22 The Catholic Traveler ( MountainButorac) Twitter(2).png

    Mais aussi la messe traditionnelle dans les catacombes par le prêtre "autorisé"…

    Screenshot_2021-03-22 The Catholic Traveler ( MountainButorac) Twitter(1).png

  • Le naufrage

    1880469028.jpgJoseph Bonnemain a été sacré évêque vendredi dernier par le cardinal Kurt Koch en la cathédrale de Coire.

    Il a donné la communion (?) à trois personnalités calvinistes : Rita Famos, présidente de l'Église réformée suisse (donc la plus haute autorité calviniste du pays), Michel Müller, président du Conseil de l'Église réformée de Zurich, et Mario Fehr, membre du gouvernement du canton de Zurich.

    Un sacrilège public accompli par un évêque sous les yeux et donc avec l’assentiment d’un cardinal (et implicitement au moins du pape qui a imposé Joseph Bonnemain à Coire.)

    Du moins si l’on considère que Joseph Bonnemain ait réellement consacré les hosties. Comme il montre ouvertement qu’il ne croit pas plus à la présence réelle que les personnes à qui il donne la "communion", on peut se demander si la consécration est valide.

    Tout était à l’avenant. L’invité vedette était Martin Kopp, le vicaire général viré par l’ancien évêque pour absence de loyauté (et soutenu par la frange la plus extrémiste). Martin Kopp était là avec trois immigrés clandestins ès qualités. Il y avait aussi une religieuse avec trois prostitués, là aussi ès qualités – deux femmes et un homme. On ne dit pas si la communauté LGBTQIA+ était représentée. Peut-être l’était-elle par l’évêque lui-même.

    La bulle pontificale n’a pas été lue par un dignitaire de la curie diocésaine mais par la responsable de l'aumônerie de l'hôpital de Zurich, qui l'a portée dans la nef, accompagnée de deux autres femmes, pour la montrer aux rares personnes qui se trouvaient là, selon la jauge exigée par le Seigneur Virus.

    A la fin, le nouvel évêque s’est mis à genoux pour demander la bénédiction de l’assistance. Bien sûr.

    On notait deux absences de taille : celle du… curé de la cathédrale, l’abbé Gion-Luzi Bühler, et de Mgr Martin Grichting, vicaire général du temps de Mgr Huonder, resté délégué épiscopal et modérateur de la curie diocésaine, nommé prélat honoraire par Benoît XVI en 2011. Deux méchants « conservateurs » qui vont devoir s’exiler…

    (C’est au Liechtenstein que les catholiques doivent mesurer aujourd’hui la chance qu’ils ont… Les habitants de la principauté dépendaient du diocèse de Coire jusqu’à ce que Jean-Paul II crée l’archidiocèse de Vaduz en 1997 pour exfiltrer Mgr Haas victime des progressistes de Zurich. Mgr Haas est un ami de la Fraternité Saint Pierre et impeccablement pro-vie.)

  • Lundi de la Passion

    Saint Augustin, traité 31 sur saint Jean :

    « Vous me chercherez, et vous ne me trouverez pas, et, là où je suis, vous ne pouvez venir ». C’était là prédire déjà sa résurrection : ils n’ont pas voulu le reconnaître quand il était au milieu d’eux, et plus tard, lorsqu’ils virent que la multitude croyait en lui, ils le cherchèrent. De grands prodiges eurent lieu, même au moment de la résurrection du Sauveur et de son ascension : alors ses disciples opérèrent des miracles éclatants, mais ils n’étaient que les instruments de Celui qui en avait tant fait lui-même, car il leur avait dit : « Vous ne pouvez rien faire sans moi ». Lorsque le boiteux qui se tenait à la porte du temple, se leva à la voix de Pierre, et marcha sur ses pieds, tous furent dans l’admiration : alors, le prince des Apôtres leur adressa la parole, et leur déclara que s’il avait guéri cet homme, ce n’était point en vertu de son propre pouvoir, niais que c’était par la puissance de Celui qu’ils avaient fait mourir. Saisis de douleur, plusieurs lui répondirent : « Que ferons-nous ? ». Ils se voyaient souillés d’un crime énorme d’impiété, car ils avaient mis à mort celui qu’ils auraient dû respecter et adorer : et leur crime leur semblait impossible à expier. C’était là une grande faute : à la considérer dans sa laideur, il y avait de quoi tomber dans le désespoir ; mais le désespoir leur était défendu, puisque, sur la croix, le Seigneur Jésus a bien voulu prier pour eux, et qu’il avait dit : « Mon Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. » Parmi un grand nombre d’hommes qui devaient le méconnaître toujours, il en apercevait quelques-uns, destinés à lui appartenir ; il demandait leur pardon au moment même où ils l’insultaient : et ce qu’il considérait alors, ce n’était pas la mort qu’ils lui donnaient, c’était la mort qu’il endurait pour eux. Ce fut pour eux un grand bienfait que cette mort donnée par eux, et endurée pour leur salut ; aussi, quand on voit que les bourreaux du Sauveur ont obtenu le pardon de leur déicide, on n’a plus le droit de désespérer du pardon de ses propres fautes. Le Christ est mort pour nous, mais avons-nous trempé nos mains dans son sang ? Il est mort, victime de leur scélératesse ; ils l’ont vu rendre le dernier soupir, et ils ont cru en lui dès qu’il leur eut pardonné leur crime. Pendant qu’ils s’abreuvaient du sang divin qu’ils avaient répandu, ils désespéraient de leur salut ; voilà pourquoi il leur dit : « Vous me chercherez, et vous ne me trouverez pas, et là, où je suis, vous ne pouvez venir », car ils devaient le chercher après sa résurrection, dans les sentiments du plus profond repentir.

    Il ne dit pas : Où je serai, mais « où je suis », parce que le Christ était toujours là où il devait retourner ; il en était venu, sans pour cela s’en éloigner. A cet égard, il dit en un autre endroit : « Personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme, qui est au ciel ». Il ne dit pas, remarquez-le bien : Qui a été au ciel. Il parlait ici-bas, et il disait qu’il était dans le ciel. Il en est descendu sans en sortir ; il y est remonté sans nous délaisser. Pourquoi vous en étonner ? Il s’agit de Dieu. Par son corps, l’homme se trouve en un endroit, et il en sort ; et quand il a pénétré dans un autre, il n’est plus dans celui où il se trouvait auparavant. Pour Dieu, il remplit tous les lieux ; il est tout entier partout ; il n’est renfermé nulle part, dans un espace quelconque. En tant qu’homme, notre Seigneur Jésus-Christ se trouvait sur la terre ; par son infinie et invisible majesté, il était sur la terre et dans le ciel ; aussi dit-il : « Là où je suis, vous ne pouvez venir ». Il ne dit pas : Vous ne pourrez venir ; mais : « Vous ne pouvez venir », car alors ses interlocuteurs n’étaient pas en position de pouvoir le suivre. Et n’allez pas croire qu’il s’était exprimé de la sorte pour les décourager, car il avait tenu aussi à ses disciples un discours semblable : « Là où je vais, vous ne pouvez venir ». Il avait encore adressé pour eux à son Père cette prière : « Père, je désire que là où je suis, ceux-ci y soient aussi ». Il avait fait entendre à Pierre la même vérité, en ces termes : « Tu ne peux maintenant me suivre où je vais, mais tu me suivras un jour ».

  • Dimanche de la Passion

    Eripe me, Dómine, de inimícis meis : doce me fácere voluntátem tuam. ℣. Liberátor meus, Dómine, de géntibus iracúndis : ab insurgéntibus in me exaltábis me : a viro iníquo erípies me.

    Délivrez-moi de mes Ennemis, Seigneur ; enseignez-moi à faire votre volonté. Vous me délivrez de mes ennemis furieux, Seigneur ; et mous m’élèverez au-dessus de ceux qui se dressent contre moi ; vous m’arracherez des mains de l’homme inique.

    Comme tous les chants du propre du temps de la Passion, ce graduel, tiré des psaumes 142 et 17, est une plainte du Seigneur, une demande angoissée qui sait qu’elle sera exaucée in fine. La mélodie est superbe, et superbement interprétée par les moines d’En-Calcat ci-dessous (il serait bon que ces 45 tours qui couvrent toute l’année liturgique – dimanches et fêtes - soient repris en CD). On remarque que tout le début du verset (Liberator meus Domine de gentibus) se trouve également dans le graduel de la Quinquagésime. On remarquera surtout la formule finale, qu’on venait déjà d’entendre sur iniquo, qu’on avait déjà entendue sur iracundis, et dans une forme légèrement différente sur me, et qui se trouvait déjà dans le corps du répons sur facere. (La formule finale habituelle du troisième mode est celle de la fin du corps du graduel sur tuam : sol-la-sol-mi.)


    podcast

    Screenshot_2021-03-20 GregoBase - Eripe me Domine de inimicis.png

     

  • Samedi de la quatrième semaine de carême

    Saint Augustin, traité 34 sur saint Jean :

    Cette inaltérable lumière, cette lumière de la sagesse, cachée derrière le nuage de la chair, s’adresse aux hommes et leur dit : « Je suis la lumière du monde : celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie ». Vois comme il détourne tes regards de tout objet matériel, pour te rappeler à la considération d’un objet de nature toute différente. Il ne lui suffit pas de dire : « Celui qui me suit ne marchera point dans les ténèbres, mais il aura la lumière » ; car il ajoute : « de la vie », comme l’avait dit auparavant le Psalmiste : « Parce qu’en vous est la source de la vie ». Voyez donc, mes frères, quel accord se trouve entre les paroles du Sauveur et celles du Roi-Prophète : dans le psaume, il est aussi bien question de la lumière que de la source de la vie, et Jésus-Christ nous parle de la lumière de la vie. Dans notre manière d’apprécier les objets matériels, autre est la lumière, autre est une source : se servir de celle-ci, c’est le propre de notre gorge ; nos yeux doivent percevoir celle-là : quand nous avons soif, nous nous mettons en quête d’une fontaine ; nous nous munissons d’une lumière, si nous nous trouvons dans les ténèbres ; et si nous éprouvons, pendant la nuit, le besoin de boire, nous allumons un flambeau pour nous diriger plus sûrement vers la fontaine. Lorsqu’il s’agit de Dieu, il n’en est pas ainsi : en lui, ce qui est lumière, est en même temps source vive ; celui dont les rayons brillent à tes yeux pour t’éclairer, t’offre aussi d’abondantes eaux pour te rafraîchir.

    Vous voyez, mes frères, si vous avez des yeux intérieurs, vous voyez à quelle lumière le Seigneur fait allusion quand il dit : « Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres ». Suis l’astre du jour, et voyons si tu ne marcheras pas dans les ténèbres. Voilà qu’il se lève et s’avance vers toi ; il dirige sa course vers l’Occident : pour toi, tu veux marcher peut-être vers l’Orient. Si tu ne suis pas une route toute différente, tout opposée à celle qu’il suit lui-même, il est indubitable qu’à marcher dans le même sens, tu feras fausse route, et qu’au lieu d’aller à l’Orient, tu iras à l’Occident. Sur terre, tu te tromperas en le prenant pour guide ; il en sera de même du navigateur qui réglera sur lui sa course à travers l’Océan. Si, au contraire, tu as formé le dessein de te diriger dans le même sens que le soleil, et d’aller, comme lui, vers l’Occident, il nous sera facile de voir, après son coucher, si tu ne marches pas dans les ténèbres. Remarque-le, en effet : il te quittera lors même que tu ne voudrais pas le quitter ; il te laissera en arrière, pour fournir sa course et obéir aux ordres de celui à qui il est forcément soumis.

    Quoiqu’il n’apparût point aux yeux de tous, à cause du nuage de sa chair qui leur voilait ses rayons, Notre-Seigneur Jésus-Christ éclairait toutes choses par la puissance de sa sagesse. Ton Dieu est partout tout entier, et si tu ne te sépares point de lui, jamais ce soleil éternel ne se couchera pour toi. Aussi, dit-il, « celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie ». Ce qu’il a promis ne se réalisera, comme l’indiquent ses paroles, que dans l’avenir ; car il ne dit pas : Cet homme a la lumière de la vie, mais : « il aura la lumière de la vie ». Toutefois, il ne dit pas non plus : Celui qui me suivra, mais : « Celui qui me suit ». Ce que nous devons faire, il nous faut, d’après ses expressions, l’accomplir dès maintenant ; mais il nous donne à entendre que la récompense par lui promise à nos mérites ne nous sera accordée que plus tard. « Celui qui me suit aura la lumière de vie ». Aujourd’hui, on le suit : on jouira, plus tard, de la lumière : aujourd’hui, on le suit par la foi ; dans le siècle futur, on possédera la lumière en la voyant à découvert. « Pendant que nous habitons dans ce corps, nous marchons hors du Seigneur ; car nous n’allons vers lui que par la foi, et nous ne le voyons pas encore à découvert ». Quand le verrons-nous face à face ? Lorsque nous aurons la lumière de vie, lorsque nous serons parvenus à la vision intuitive, et que la nuit du temps présent se sera écoulée. De ce jour qui doit se lever plus tard, il a été dit : « Dès le matin, je paraîtrai en votre présence, et vous contemplerai ». Qu’est-ce à dire « Dès le matin ? » Quand la nuit de cette vie terrestre sera écoulée, lorsque nous n’aurons plus à redouter aucune tentation, après que nous aurons triomphé de ce lion qui tourne autour de nous pendant la nuit, en rugissant et en cherchant une victime qu’il puisse dévorer.

  • Le samedi de l'Acathiste

    Demain, dans la liturgie byzantine, c’est le samedi de l’Acathiste, le jour où l’on chante l’hymne intégralement (en fait généralement le vendredi soir). Voici le tropaire du samedi de l’Acathiste et le kondakion « Invincible chef d’armée », par le P Maximos Fahmé, protopsalte de l’église grecque catholique melkite Saint-Julien le Pauvre à Paris.


    podcast

    Τὸ προσταχθὲν μυστικῶς, λαβὼν ἐν γνώσει, ἐν τῇ σκηνῇ τοῦ Ἰωσήφ, σπουδῇ ἐπέστη, ὁ Ἀσώματος λέγων τῇ Ἀπειρογάμῳ· ὁ κλίνας τῇ καταβάσει τοὺς οὐρανούς, χωρεῖται ἀναλλοιώτως ὅλος ἐν σοί. Ὃν καὶ βλέπων ἐν μήτρᾳ σου, λαβόντα δούλου μορφήν, ἐξίσταμαι κραυγάζειν σοι, χαῖρε, Νύμφη ἀνύμφευτε!

    Lorsque l’incorporel prit connaissance de l’ordre mystérieux, il se présenta aussitôt dans la maison de Joseph et dit à la Vierge : Celui qui, en descendant sur la terre, a incliné les cieux, demeure entièrement en toi, sans éprouver de changement. Le voyant dans ton sein prendre la forme d’un esclave, de stupeur vers toi je m’écrie : Salut à toi, Epouse inépousée !


    podcast

    Τῇ Υπερμάχῳ Στρατηγῷ τὰ νικητήρια,
    Ὡς λυτρωθεῖσα τῶν δεινῶν εὐχαριστήρια,
    Ἀναγράφω σοι ἡ Πόλις σου Θεοτόκε.
    Ἀλλ᾿ὡς ἔχουσα τὸ κράτος ἀπροσμάχητον,
    Ἐκ παντοίων με κινδύνων ἐλευθέρωσον,
    Ἵνα κράζω σοι· Χαῖρε, Νύμφη ἀνύμφευτε.

    Invincible chef d’armée, à toi les accents de victoire ! Libérée du danger, ta ville, ô Mère de Dieu, t'offre des hymnes de reconnaissance. Toi dont la puissance est irrésistible, de tout péril délivre-moi, pour que nous puissions t'acclamer : Salut à Toi, Epouse inépousée !

  • Tonton pourquoi tu tousses?

    Screenshot_2021-03-19 L'ecstasy saisie par la police était en réalité de la poudre de fraises Tagada.png

  • Les derniers catholiques irlandais

    stpatricksday2021_810_500_75_s_c1.jpg

    Alors que les églises sont fermées depuis près d’un an et que le pays est strictement confiné, une poignée de catholiques ont osé sortir dans la rue pour esquisser un triste ersatz de procession de la saint Patrick.