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  • La Pologne et l’euro

    Le gouvernement polonais s’est réuni hier sous la présidence du président de la République Bronislaw Komorowski pour examiner les perspectives d’adhésion du pays à l’euro.

    A la suite de cette réunion, Bronislaw Komorowski a annoncé qu’il n’y aurait pas de décision avant les élections de 2015.

    Selon le dernier sondage, 60% des Polonais sont hostiles à la monnaie unique.

  • Comme ça les pauvres iront à vélo

    Selon une étude de l’université technique d’Aix la Chapelle, les exigences qu’imposent les objectifs de l’UE en matière de lutte contre le réchauffement climatique vont augmenter jusqu’à 3.600 € le prix des voitures.

  • Les clowns ne sont pas toujours ceux qu’on croit

    Forcément, les eurocrates et leurs larbins sont furieux du résultat des élections italiennes, et très vexés de voir que leur employé Monti a été proprement viré du paysage électoral.

    Mais la résistance des peuples à leur rouleau compresseur n’a pas fini de les faire souffrir.

    Peer Steinbrück, le candidat social-démocrate à la chancellerie allemande, s’est dit « consterné par la victoire de deux clowns. »

    Il faisait allusion à la une du quotidien Bild :

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    Le titre dit : « Les clowns politiques italiens vont-ils tuer l’euro ? »

    Tiens, pourquoi pas ?

    Mais l’éditorialiste est grave, et fait la leçon, avec toute sa morgue euro-allemande : « Après ces élections il est clair que l’avenir de notre continent ne sera pas décidé à Bruxelles ou à Berlin (sic) mais dans des Etats membres qui ont déjà été déclarés morts. Si les électeurs n’y votent pas intelligemment mais plutôt sur un coup de tête, alors aucun renflouement ne pourra les aider. »

    Dans un autre journal, le président de la fédération allemande des exportateurs, Anton Börner, déclare : « La stabilité monétaire ne peut pas être négociée et nous devons envoyer un message clair au sud : Pour nous il y a une vie après l’euro. »

    Mais oui, Herr Börner. Pas seulement pour vous. Pour tout le monde il y aura une vie après l’euro…

  • C’est un évêque qui écrit cela…

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    Cette lettre est la « réponse » de Mgr Bernard Housset , évêque de La Rochelle et Saintes, accompagnateur du CCFD, à Jean-Pierre Moreau, expert de la subversion du CCFD depuis 30 ans (son livre L’Eglise et la subversion, le CCFD, sous le pseudonyme de Guillaume Maury, en 1985, lorsqu’il était au Figaro Magazine, avait été l’un des éléments essentiels du dévoilement de ce qu’était réellement le CCFD, après l’enquête menée par Pierre Debray dans sa lettre confidentielle, relayée par Présent, sans oublier les articles de Jean Bourdarias dans Le Figaro).

    On lira ici la lettre ouverte de Jean-Pierre Moreau à Mgr Housset, qui comporte les preuves de ce qu’il avance.

    En bref, le CCFD continue de subventionner, avec l’argent qu’il collecte pendant le carême, et avec la bénédiction de l’épiscopat, des organisations anticatholiques, marxistes, et contribuant à la culture de mort.

    (via Perepsicopus)

  • La une de Charlie Hebdo sur le conclave

    Un pays qui permet ça a perdu toute dignité et tout honneur.

  • Mercredi de la deuxième semaine de carême

    Au Saint-Sacrifice, nous voyons aujourd’hui le Sauveur « monter vers Jérusalem « pour souffrir ; de nouveau « il donne sa vie en rançon pour plusieurs », il nous offre son « calice » de la Passion et de l’Eucharistie.

    L’Église souligne fortement, aujourd’hui, le thème de la Passion. Nous le voyons encore dans les antiennes du lever et du coucher du soleil : « Voici que nous montons à Jérusalem et le Fils de l’Homme sera livré pour être crucifié » (antienne du Benedictus). « Il sera livré aux païens pour être insulté, flagellé et crucifié » (antienne du Magnificat).

    C’est donc le désir de l’Église que, pendant toute la journée, nous montions avec le Seigneur à Jérusalem, pour la Passion. Remarquons qu’en nous inspirant cette pensée de la Passion, l’Église ne mentionne pas la Résurrection.

    Dom Pius Parsch

  • Voici donc le règne de l’arbitraire

    La révision constitutionnelle de 2008 avait institué la possibilité pour les citoyens d’une pétition demandant l’avis du Conseil économique et social (et environnemental, ajouta-t-on alors). Cela sentait bon la « démocratie citoyenne », sans risque, puisqu’on mettait la barre à 500.000 signatures, ce qui n’arriverait sans doute jamais.

    Or voici que 700.000 citoyens ont signé une pétition au CESE.

    Diable. Que faire ?

    Dans un premier temps, le président du CESE, Jean-Pierre Delevoye faisait savoir que la pétition allait être rejetée parce qu’elle « demande que le Cese se prononce pour ou contre la loi », ce qui est « constitutionnellement impossible » et « donc irrecevable sur le fond »

    L’argument était absurde : la pétition se contentait de demander « l’avis » du CESE sur le contenu d’un projet de loi, ce pour quoi il est fait : donner des avis à ceux qui le lui demandent. Avant, c’était seulement le gouvernement ; maintenant, ce sont aussi les citoyens…

    L’argument était tellement absurde qu’il a fallu trouver autre chose. Il n’y avait rien à trouver ? Non. Alors on a inventé.

    Le CESE n’hésite pas à affirmer que la saisine du Conseil sur un projet de loi « relève exclusivement du Premier ministre », « en vertu de l’article 69 de la Constitution et de l’article 2 de l’ordonnance du 29 décembre 1958 ».

    On peut lire et relire ces articles : ils ne disent rien de tel.

    Pour les interpréter ainsi, il faut y ajouter des précisions qui n’y figurent pas. Il s’agit donc d’une interprétation parfaitement arbitraire, qui n’a pu qu’être imposée au CESE par le gouvernement.

    C’est ainsi que nous entrons en dictature.

    Le Conseil n’est pas dupe, évidemment, de ce qu’on lui fait dire. C’est pourquoi il ajoute que, puisqu’on lui interdit d’examiner ce que demandent les citoyens, il « s’autosaisit » de la question :

    « Par ailleurs, le bureau du CESE estime que les évolutions contemporaines de la famille et ses conséquences en matière de politiques publiques justifient une autosaisine de la part de notre Assemblée. Le Bureau examinera avec les formations de travail concernées les conditions d’examen et le calendrier de cette autosaisine. »

    On ne parle pas explicitement du projet de loi, puisque le Premier ministre a arbitrairement décidé que seul le Premier ministre peut saisir, selon son exclusif bon plaisir, le CESE, mais c’est bien de cela qu’il s’agit…


    Addendum

    Jean-François Bernardin démissionne du CESE et déclare : « On se ridiculise et on insulte les 700 000 pétitionnaires que l’on balaie d’un trait de plume, alors que l’on aurait pu au moins recevoir les représentants en séance plénière. Au-delà des opinions de chacun, il s’agit de la première pétition qui rassemble autant de monde dans notre pays ». Il dénonce un « choix purement politique » et la propension « au politiquement correct » des membres de cette institution, « tellement contents d’être là au point de refuser de prendre des décisions qui peuvent déplaire ».

    Il y aura eu au moins un honnête homme, debout.

  • Une conférence de Bernard Antony sur Jaurès

     Le Centre Charlier

    serait heureux de vous recevoir à l’occasion de la conférence de

     Bernard Antony

    Président de Chrétienté Solidarité, de l’Institut du Pays Libre et de l’AGRIF

     Mon livre de réplique à la commémoration socialiste :

     « Jean Jaurès : le mythe et la réalité »

     JEUDI 21 mars 2013 à 19h30 précises

    au

    Centre Charlier, 70 Boulevard Saint-Germain 75005 PARIS

    (métro Maubert-Mutualité, autobus 24, 47, 63, 86, 87, RER B et C Saint-Michel)

     Téléphone : 01 40 51 74 07

    La conférence sera suivie de la signature des livres et d’un buffet

     Participation aux frais : 8 €

    Étudiants, chômeurs : 4 €

  • Un effet de la dictature européenne

    La dictature européenne avait imposé Mario Monti à la tête du gouvernement italien. La démocratie étant revenue, Mario Monti et ses fidèles ont obtenu à peine 10% des voix… L’homme de Bruxelles et de Goldman Sachs n’a pas eu de mal à se rendre impopulaire, mais le résultat de sa gestion est en outre un désastre politique. La gauche n’a la majorité absolue à la Chambre que grâce à la grosse prime au vainqueur (elle n’a fait que 29,5%, contre 29,1% à la coalition de Berlusconi qui était soi-disant enterré), mais au Sénat il n’y a pas de majorité possible, et sans majorité au Sénat il n’y a pas de gouvernement italien. Cela résulte notamment de l’arrivée en fanfare de celui qu’on appelle, improprement semble-t-il, le « Coluche italien » (j’avoue n’avoir rien compris à son programme), dont le « mouvement cinq étoiles » a fait 25% des voix…

  • Ce sont des MUSULMANS

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    Au nom de quoi notre gouvernement refuse-t-il obstinément de dire qui sont les preneurs d’otages, après avoir refusé obstinément de dire qui sont ceux contre qui nous faisons la guerre au Mali ?

    Le groupe Boko Haram, revendiquant l’enlèvement de la famille française au Cameroun, rappelle que son vrai nom est (en arabe, dans un pays où on ne parle pas arabe): « Jamā’at Ahl al-Sunnah li Da’wah wa-l-Jihād ». Ce qui veut dire: « assemblée (rassemblement) du peuple de la Sunna (la tradition musulmane) pour la prédication (l'éveil à la foi) et le jihad ». Derrière les otages, on peut lire la chahada : « Pas de dieu sinon Allah, et Mahomet est son prophète. » Comme sur le drapeau de nos ennemis maliens.

    Au nom de quoi leur dénie-t-on leur qualité de musulmans, alors que leur seule et unique motivation est d’étendre la loi musulmane, la charia, comme le commande le Coran ?