Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 6

  • Daoudal Hebdo N° 61

    61.jpg
    Daoudal Hebdo n° 61

    Dans ce numéro

    Page 2
    Le croassement des corbeaux de la culture de mort

    Page 3
    La grotesque mise en scène du sauvetage de la planète

    Page 4
    Le grand commerce des droits à polluer

    Pages 5 & 6
    La propagande climatique de Paul McCartney au Parlement européen

    Page 7
    Après le référendum suisse

    Page 8
    Les grandes antiennes « O » de l'Avent
    Dimanche prochain...

  • O Sapientia

    O Sapientia, quæ ex ore Altissimi prodiisti, attingens a fine usque ad finem, fortiter suaviterque disponens omnia, veni ad docendum nos viam prudentiæ.

    Ô Sagesse, qui es sortie de la bouche du Très-Haut, qui atteins d'une limite à l'autre, et disposes toutes choses avec force et douceur, viens nous apprendre la voie de la prudence.

    (Les antiennes O de l'Avent)


  • Deux nouveaux attentats antichrétiens à Mossoul

    Deux attentats ont visé hier des églises à Mossoul dans le nord de l'Irak.

    Dans le centre-ville, l'explosion d'une voiture piégée, visant l'église syriaque orthodoxe de la Vierge Très Pure et une école chrétienne à proximité, a causé la mort d'un nourrisson et blessé 40 personnes, dont cinq lycéens.

    Une bombe a également explosé près de l'église syriaque catholique de l'Anonciation à Chourta, dans le nord de la ville, sans faire de victimes.

  • Rachida se vante bêtement

    Rachida Dati au « Talk Orange » du Figaro (5' 51'') :

    « Au Parlement européen, (...) je suis à toutes les commissions. »

    Il y a 23 commissions au Parlement européen. Un député ne peut évidemment pas faire partie de toutes les commissions.

    Rachida Dati est membre titulaire de la commission des affaires économiques et monétaires et de la commission spéciale sur la crise financière, économique et sociale. Et elle est membre suppléant de la commission de l'industrie, de la recherche et de l'énergie.

  • « Pôle emploi: les agents de Charleville-Mézières désemparés face à un public agressif » (AFP)

    Mauvaise réforme + aggravation du chômage + immigration incontrôlée + « quartiers sensibles » = ...

    Lire la suite

  • Islam : de nouvelles revendications en entreprise

    Tel est le titre d'un article du Figaro, qui se base sur les auditions de la mission parlementaire sur la burqa, dont voici un extrait :

    Carl Pincemin a raconté comment des salariés ayant obtenu des menus confessionnels, refusent désormais que «la viande halal soit proposée à côté de plats contenant de la viande "normale" jugée impure». En clair, ils désirent des cantines séparées et ne veulent plus «s'asseoir à côté de personnes qui mangent du porc !», tempête Jacques Myard, député UMP de la mission.

  • Mercredi des Quatre-Temps de l’Avent

    Pressé par le temps où nous sommes et l'habitude de notre dévotion, nous nous adressons à vous, frères très chers, avec une sollicitude toute pastorale: il faut célébrer le jeûne de décembre; par lui, de la manière la plus digne un sacrifice d'abstinence est offert pour l'achèvement de toute la récolte, à Dieu qui en a si généreusement donné les fruits. En effet, que peut-il y avoir de plus efficace que le jeûne? Par son observance, nous approchons de Dieu et, résistant au diable, nous triomphons de la séduction des vices.

    De tout temps, le jeûne fut un aliment pour la vertu. De l'abstinence enfin procèdent les pensées chastes, les décisions raisonnables, les conseils salutaires, et, grâce à ces mortifications volontaires, la chair meurt à ses convoitises, l'esprit est renouvelé par la pratique des vertus. Mais, parce que le jeûne n'obtient pas seul le salut de nos âmes, complétons-le par des actes de miséricorde à l'égard des pauvres. Consacrons à la vertu ce que nous retirons au plaisir. Que devienne nourriture du pauvre l'abstinence de celui qui jeûne.

    Appliquons-nous à défendre les veuves, à secourir les orphelins, à consoler les affligés, à rendre la paix aux adversaires. Qu'on accueille l'étranger, qu'on aide l'opprimé, qu'on habille l'homme sans vêtement, qu'on soigne le malade. Alors tous ceux d'entre nous qui, par ces bonnes œuvres, auront offert le sacrifice de cette miséricorde à Dieu, l'auteur de tous les biens, mériteront de recevoir de lui la récompense du Royaume céleste. Nous jeûnerons donc mercredi et vendredi; samedi, nous célébrerons également les vigiles auprès du tombeau de l'apôtre saint Pierre. Aidés par ses suffrages, puissions-nous obtenir l'objet de nos demandes par notre Seigneur Jésus-Christ, qui vit et règne avec le Père et l'Esprit Saint dans les siècles des siècles. Amen.

    (Saint Léon le Grand, 2e sermon sur le jeûne du 10e mois. Lecture des matines du 3e dimanche de l'Avent.)

  • C’est parti…

    L'ancien porte-parole de la mosquée de Genève, Hafid Ouardiri, a déposé aujourd'hui un recours devant la Cour européenne des droits de l'homme contre l'interdiction des minarets en Suisse, en vue de faire constater que cette mesure contrevient à la liberté de religion et à l'interdiction des discriminations.

  • Ecologisme : Benoît XVI remet les pendules à l’heure

    Voici les paragraphes 12 et 13 du Message de Benoît XVI pour la Journée mondiale de la Paix, le 1er janvier prochain, publié ce jour par le Saint-Siège.

    L'Église a une responsabilité vis-à-vis de la création et elle pense qu'elle doit l'exercer également dans le domaine public, pour défendre la terre, l'eau et l'air, dons du Dieu Créateur à tous, et, avant tout, pour protéger l'homme du danger de sa propre destruction. La dégradation de la nature est, en effet, étroitement liée à la culture qui façonne la communauté humaine, c'est pourquoi «quand l'"écologie humaine" est respectée dans la société, l'écologie proprement dite en tire aussi avantage». On ne peut exiger des jeunes qu'ils respectent l'environnement, si on ne les aide pas, en famille et dans la société, à se respecter eux-mêmes: le livre de la nature est unique, aussi bien à propos de l'environnement que de l'éthique personnelle, familiale et sociale. Les devoirs vis-à-vis de l'environnement découlent des devoirs vis-à-vis de la personne considérée en elle-même, et en relation avec les autres. J'encourage donc volontiers l'éducation à une responsabilité écologique, qui, comme je l'ai indiqué dans l'encyclique Caritas in veritate, préserve une authentique «écologie humaine», et affirme ensuite avec une conviction renouvelée l'inviolabilité de la vie humaine à toutes ses étapes et quelle que soit sa condition, la dignité de la personne et la mission irremplaçable de la famille, au sein de laquelle on est éduqué à l'amour envers le prochain et au respect de la nature.[29] Il faut sauvegarder le patrimoine humain de la société. Ce patrimoine de valeurs a son origine et est inscrit dans la loi morale naturelle, qui est à la base du respect de la personne humaine et de la création.

    Enfin, un fait hautement significatif à ne pas oublier est que beaucoup trouvent la tranquillité et la paix, se sentent renouvelés et fortifiés, lorsqu'ils sont en contact étroit avec la beauté et l'harmonie de la nature. Il existe donc une sorte de réciprocité: si nous prenons soin de la création, nous constatons que Dieu, par l'intermédiaire de la création, prend soin de nous. Par ailleurs, une conception correcte de la relation de l'homme avec l'environnement ne conduit pas à absolutiser la nature ni à la considérer comme plus importante que la personne elle-même. Si le Magistère de l'Église exprime sa perplexité face à une conception de l'environnement qui s'inspire de l'éco-centrisme et du bio-centrisme, il le fait parce que cette conception élimine la différence ontologique et axiologique qui existe entre la personne humaine et les autres êtres vivants. De cette manière, on en arrive à éliminer l'identité et la vocation supérieure de l'homme, en favorisant une vision égalitariste de la «dignité» de tous les êtres vivants. On se prête ainsi à un nouveau panthéisme aux accents néo-païens qui font découler le salut de l'homme de la seule nature, en son sens purement naturaliste. L'Église invite au contraire à aborder la question de façon équilibrée, dans le respect de la «grammaire» que le Créateur a inscrite dans son œuvre, en confiant à l'homme le rôle de gardien et d'administrateur responsable de la création, rôle dont il ne doit certes pas abuser, mais auquel il ne peut se dérober. En effet, la position contraire qui absolutise la technique et le pouvoir humain, finit par être aussi une grave atteinte non seulement à la nature, mais encore à la dignité humaine elle-même.

  • L’art et la manière

    Christine Boutin ne cessait de s'en prendre à l'UMP et au gouvernement, ulcérée qu'elle est qu'on ne veuille pas donner à son groupuscule de nombreuses places éligibles aux régionales.

    Nicolas Sarkozy vient de lui confier une « mission » : sur la "dimension sociale de la mondialisation".

    Christine Boutin est contente. C'est « une tâche énorme » qu'on lui confie, dit-elle : « Je vais me mettre au travail tout de suite »...