Lue sur e-deo, cette « blague » qui donne son véritable éclairage aux discussions de Copenhague sur les milliards d'euros ou de dollars qu'il faut donner aux gouvernements des pays « en développement » pour les aider à surmonter les effets du "réchauffement climatique" et développer des activités économes en gaz à effet de serre...
Un ministre africain vient en voyage officiel en France, et se fait inviter à dîner chez son homologue français. Il voit la somptueuse villa de ce dernier et toutes les toiles de maître aux murs. Il lui demande comment il peut bien s'assurer un tel train de vie avec sa paie, somme toute modeste, de serviteur de la République.
Le Français l'entraîne près de la fenêtre :
- Vous voyez l'autoroute là-bas ?
- Oui.
- Elle a coûté 20 milliards, l'entreprise l'a facturée 21 et m'a versé la différence.
Deux ans plus tard, le ministre français est en voyage officiel en Afrique et rend visite à son homologue.
Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il n'en avait encore jamais vu : marbre, argent, or...
Stupéfait, il demande :
- Mais je ne comprends pas, il y a deux ans, vous trouviez que j'avais un train de vie princier. Mais par
rapport à vous...
Le ministre africain l'entraîne près de la fenêtre :
- Vous voyez l'autoroute là-bas ?
- Non.
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Le président d’Eurojust tombe pour… complicité de corruption
« Eurojust est un organe de l'Union européenne institué en 2002 afin d'encourager et améliorer la coordination des enquêtes et des poursuites judiciaires entre les autorités compétentes des États membres de l'Union chargées de traiter les affaires de criminalité organisée transfrontalière », lit-on sur le site de l'Union européenne.
Son président, le Portugais José da Mota, a démissionné mercredi, peu après avoir été suspendu de ses fonctions pour 30 jours par la justice portugaise pour avoir fait pression sur des magistrats afin d'arrêter des poursuites impliquant le Premier ministre portugais José Socrates dans une affaire de corruption.
Le porte-parole d'Eurojust a fait savoir que cette affaire n'entacherait pas la réputation de l'agence parce qu'il s'agissait d'une affaire nationale qui n'implique pas l'agence européenne.
Il n'empêche qu'il s'agit du président d'Eurojust, et que les faits allégués datent de 2002, alors que José da Mota était déjà membre de l'agence...
A l'époque, José Socrates était ministre de l'Environnement, et selon l'enquête il avait permis la construction d'un centre commercial sur un terrain protégé en échange de pots de vin. Deux magistrats ont affirmé que M. Mota a tenté de les persuader d'abandonner l'enquête à la demande de Jose Socrates, devenu Premier ministre, et du ministre de la Justice.
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Oskar Freysinger
Pour connaître Oskar Freysinger, l'homme du référendum contre les minarets : quatre petites vidéos, avec quelques propos fort intéressants.
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Omerta universitaire
Extrait d'un article du Monde :
Lundi 14 décembre, il est un peu plus de 15 heures lorsque trois individus s'introduisent dans un amphi de Paris-XIII-Villetaneuse et commencent à chahuter. Un étudiant demande le calme. Invectives. Bagarres. Le bras que lève le jeune homme pour se protéger le visage est lacéré de plusieurs coups de couteau.
Coincée entre deux cités, l'université de Villetaneuse est un lieu de squat pour les jeunes des quartiers voisins. Faute d'y étudier peut-être, ils y zonent. Le raconter contribue à stigmatiser l'université, se taire, c'est laisser la violence s'installer.
« Oui, c'est l'omerta. Depuis pas mal de temps déjà, on fait comme si rien ne se passe. Je vote à gauche. Je n'aime pas le discours sécuritaire, mais je souhaiterais plus de présence policière », regrette Michel Renault, secrétaire pédagogique de l'institut d'études judiciaires. Une enseignante a demandé à ne pas assurer de cours en fin de journée pour éviter d'emprunter de nuit le bus qui mène à la gare.
Depuis septembre, une vingtaine de plaintes ont été déposées pour des faits qui se sont déroulés sur le campus. Selon une main courante électronique, mise en place par le président de l'université, Jean-Loup Salzmann, 83 incidents ont été signalés : 10 agressions, 7 dégradations de biens publics, 7 dégradations de véhicules, 14 vols de biens privés et 45 perturbations de cours. « Et tous les incidents ne remontent pas. Ce n'est pas dans la culture universitaire », tempère un professeur.
En attendant, « nous avons dévolu trois fonctionnaires à la sécurité, opté pour les services d'une entreprise de sécurité », rappelle celui qui dépense autant sur ce poste « que dans le budget de fonctionnement des laboratoires de recherche ». Et ça ne suffit pas.
(via François Desouche) -
La grande mosquée de… Canteleu
Canteleu, Seine-Maritime, 15 000 habitants, va voir sa grande mosquée...
Lu sur Paris-Noramandie d'hier :
« Entièrement financée par l'association cultuelle qui collecte sur toute l'agglomération, les dons des fidèles, la mosquée (1M €) comprendra deux salles de prière. L'une pour les hommes d'une capacité de 1 610 personnes. L'autre réservée aux femmes, d'une capacité de 504 personnes. Il y a aura aussi une salle d'activités et des annexes, avec une bibliothèque, une salle de réunion, six classes scolaires.« Et puis, adossé au bâtiment, un minaret. En général, les minarets s'élèvent autour de 15 m. A Canteleu, cet élément architectural qui défraye la chronique - la Suisse par referendum vient d'en interdire la construction sur son territoire - aura une hauteur de 12,15 m. »
(via l'Observatoire de l'islamisation) -
Attention !
Ces derniers jours, j'ai reçu de trois correspondants différents une dénonciation d'un mariage collectif organisé dans la bande de Gaza entre 450 Palestiniens « héros » de la récente guerre avec Israël et 450 fillettes. Images insoutenables à l'appui, où l'on voit une procession de grands gaillards habillés de noir tenant par la main des petites filles de 8-10 ans habillées comme des mariées occidentales.
La cérémonie en question a eu lieu le 29 juillet 2009, et l'« information » a été sortie semble-t-il par le site Bivouac-ID (généralement mieux inspiré) le 31. Elle a circulé un peu partout sur la toile, et la vidéo a été mise sur Youtube. Depuis lors, Bivouac-ID a supprimé son article, et la personne qui avait mis la vidéo sur Youtube l'a également supprimée.
Car il s'agit évidemment d'un mensonge grossier. Même si l'on sait que certains oulémas justifient le mariage de fillettes au nom de l'exemple donné par le Prophète, le Hamas n'aurait pas eu la bêtise d'en faire une parade collective aux yeux du monde entier. En outre, quiconque connaît un peu l'islam pur et dur du Hamas sait que la mariée ne sort pas sans être voilée (or les fillettes ne le sont pas), ce qui est renforcé par le fait qu'on nous dit que ces hommes vont se marier. Or une femme qui va se marier ne sort pas dans la rue. Elle est cachée jusqu'au moment du mariage.
En réalité, ces fillettes sont les demoiselles d'honneur.
Le combat contre l'islam ne doit pas se tromper de cible, et doit faire preuve de la plus grande rigueur, s'il ne veut pas être déconsidéré. Il faut notamment faire très attention à certains sites anti-islam qui sont d'abord des sites sionistes extrémistes.
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O Adonai
O Adonai, et Dux domus Israel, qui Moysi in igne flammæ rubi apparuisti, et ei in Sina legem dedisti, veni ad redimendum nos in bracchio extento.
O Adonaï, et chef de la maison d'Israël, toi qui apparus à Moïse dans le feu du buisson embrasé, et qui lui donnas la Loi sur le Sinaï, viens nous racheter par la puissance de ton bras.
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Mossoul: encore un chrétien assassiné
Un ouvrier chrétien de 30 ans, Zeid Majid Youssef, qui venait de garer son véhicule pour rentrer chez lui a été abattu par des hommes armés à bord d'une voiture dans l'ouest de Mossoul. L'un des attaquants est même descendu pour s'assurer qu'il était mort avant de s'enfuir, a affirmé un témoin.
Mardi, deux attentats ont visé dans cette ville du nord de l'Irak deux églises, tuant un nourrisson et blessant 40 personnes.
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SOS-IVG
Voilà un site qu'il faut sans doute faire connaître.
Voir notamment la page « droits des femmes ».
On me dit qu'il a été créé intentionnellement le 8 décembre...
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Jean de Salisbury et la loi naturelle
Extrait de la catéchèse de Benoît XVI, hier, sur Jean de Salisbury (XIIe siècle) :
Selon Jean de Salisbury, il existe également une vérité objective et immuable, dont l'origine est Dieu, accessible à la raison humaine et qui concerne l'action pratique et sociale. Il s'agit d'un droit naturel, auquel les lois humaines et les autorités politiques et religieuses doivent s'inspirer, afin qu'elles puissent promouvoir le bien commun. Cette loi naturelle est caractérisée par une propriété que Jean appelle « équité », c'est-à-dire l'attribution à chaque personne de ses droits. De celle-ci découlent les préceptes qui sont légitimes chez tous les peuples et qui ne peuvent en aucun cas être abrogés. Telle est la thèse centrale du Polycráticus, le traité de philosophie et de théologie politique, dans lequel Jean de Salisbury réfléchit sur les conditions qui rendent l'action des gouvernants juste et permise.
Alors que d'autres thèmes affrontés dans cette œuvre sont liés aux circonstances historiques dans lesquelles elle fut composée, le thème du rapport entre loi naturelle et organisation juridique positive, au moyen de l'équité, est encore aujourd'hui d'une grande importance. A notre époque, en effet, surtout dans certains pays, nous assistons à une séparation préoccupante entre la raison, qui a la tâche de découvrir les valeurs éthiques liées à la dignité de la personne humaine, et la liberté, qui a la responsabilité de les accueillir et de les promouvoir. Peut-être Jean de Salisbury nous rappellerait-il aujourd'hui que ne sont conformes à l'équité que les lois qui protègent le caractère sacré de la vie humaine et qui repoussent la légalité de l'avortement, de l'euthanasie et des expérimentations génétiques irresponsables, ces lois qui respectent la dignité du mariage entre l'homme et la femme, qui s'inspirent à une correcte laïcité de l'Etat - une laïcité qui comporte cependant toujours la sauvegarde de la liberté religieuse -, et qui recherchent la subsidiarité et la solidarité au niveau national et international. S'il en était autrement, il finirait par s'instaurer ce que Jean de Salisbury définit la « tyrannie du prince » ou, dirions-nous, « la dictature du relativisme » : un relativisme qui, comme je le rappelai il y a quelques années, « ne reconnaît rien comme définitif et ne laisse comme mesure ultime que le propre moi et ses envies ».