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  • "Lire et écrire"...

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    Ministre de l'Enseigenment supérieur.

    Et elle est fière de le montrer sur son compte twitter !

    (Via le Salon Beige)

  • A Bangui

    Les médias ont fini par découvrir que les mystérieuses émeutes de Bangui étaient des « affrontements interconfessionnels ». Comme on dit quand on ne veut pas prendre parti. C’est-à-dire quand on ne veut pas dire que ce sont des attaques musulmanes antichrétiennes.

    « Interconfessionnel », ça veut dire que les attaques viennent des deux côtés.

    Il faudrait alors nous expliquer comment il se fait qu’il y a aujourd’hui au moins 5.000 réfugiés de plus dans les églises de la capitale (certains disent jusqu’à 27.000), et… aucun dans les mosquées… Et pourquoi il n'y a pas d'imam qui accompagne l'archevêque dans sa visite permanente des hôpitaux et des paroisses.

  • Une mort qui rend gai

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    Le Paris Foot Gay a annoncé hier sa disparition.

    « Face à l’indifférence notable, la peur des institutionnels à s’engager réellement, la honte pour certains à traiter ce sujet, nous devons nous rendre à l’évidence: nous ne parvenons plus à faire avancer notre combat contre l’homophobie », écrit le PFG dans un communiqué.

  • Synode : une contribution polonaise

    « L’Eglise en Pologne, étant l’une des plus grandes Eglises en Europe, se sent dans l’obligation de prendre parole dans le débat sur les questions urgentes et importantes concernant le mariage et la famille catholiques. »

    Ainsi commence la présentation d’une « Lettre à l’assemblée générale du synode des évêques sur la famille », élaborée par un Forum « Entre les synodes », réuni sous l’égide de la faculté de philosophie chrétienne de l’université Stefan Wyszinski, qui est l’université d’Etat de Varsovie (mais les facultés de théologie, de droit canonique et de philosophie chrétienne dépendent de l’archevêque de Varsovie).

    Comme « ce devoir repose aussi sur le laïcat », le Forum était essentiellement composé de laïcs, et les prêtres participants sont en fait tous là comme professeurs d’université. Il en est un dont le nom attire l’attention : Franciszek Longchamps de Bérier, professeur de droit romain à l’université de Cracovie. Je découvre que les Longchamps de Bérier étaient des protestants français qui s’étaient réfugiés en Pologne après la révocation de l’édit de Nantes, et sont devenus une véritable dynastie de grands juristes polonais… catholiques.

    Le texte élaboré par ce Forum est publié en six langues, dont le français. Ce qui montre une claire volonté de diffusion mondiale. Or c’est un texte autrement plus intéressant que les pauvres « lineamenta » du synode, reprenant simplement les tristes conclusions du synode précédent.

    Quelques très brefs extraits :

    Nous espérons que le synode va approfondir la théologie du mariage et de la famille.

    Le silence de l’Eglise sur la redéfinition de la conception de la famille, qui a lieu aujourd’hui, est souvent perçu comme l’abandon des brebis par le berger.

    Le peuple de Dieu attend avec confiance que les Pères synodaux effectuent une analyse approfondie des idéologies et des mécanismes institutionnels qui menacent la famille. Nous espérons que le Synode qui s’approche va indiquer et appeler de leur propre nom les idées, les institutions et les mécanismes qui mènent à ce que le pape François appelle la « colonisation idéologique » du monde contemporain.

    La pastorale exige un enseignement doctrinal et moral lisible.

    il est indispensable que l’Eglise lance un appel aux autorités, au monde politique et aux institutions internationales pour que, dans les écoles appartenant au système de l’éducation publique, soit respecté le droit des parents à élever leurs enfants conformément à leurs convictions religieuses et morales.

    L’affaiblissement du rôle des parents est accompagné par la croissance de l’importance des organisations qui traitent l’école comme instrument d’athéisation planifiée et de sexualisation des tous petits.

    Il semble indispensable de souligner très clairement que l’éducation sexuelle n’est neutre ni du point de vue de convictions, ni du point de vue de religion.

    La foi s’exprime toujours par la civilisation, c’est pourquoi l’Eglise ne peut pas renoncer à bâtir une civilisation chrétienne. Les chrétiens doivent la créer et, celle qui existe déjà, la transformer de sorte à ce qu’elle soit capable de présenter la vérité révélée sur Dieu et la famille. Cultiver la civilisation chrétienne est une forme de coopération avec Dieu dans l’oeuvre du salut.

    Le texte intégral français ici, le document pdf en six langues ici.

  • Les italo-albanais de… Manhattan

    Dimanche prochain 4 octobre, en l’église du Précieux-Sang de Manhattan (dans la « Petite Italie »), sera célébrée la divine liturgie grecque catholique italo-albanaise. Cette messe est organisée par l’association Saints Cosme et Damien, composée de descendants d’immigrants de San Cosmo Albanese, l’une des paroisses italo-albanaises de Calabre. Jusqu’ici l’association faisait célébrer sa messe patronale dans le rite latin, mais elle a décidé de renouer avec la tradition de ses ancêtres. Le célébrant sera le recteur de la chapelle… russe catholique de New York, qui fait partie de l’éparchie… grecque-catholique melkite de Newton (il a été ordonné par le patriarche d’Antioche…).

    C’est une résurrection, car les italo-albanais de New York n’avaient plus de célébrations liturgiques depuis 1946. Il y avait eu en effet une paroisse italo-albanaise à Manhattan, Notre-Dame de Grâce, entre 1904 et 1946, avec un prêtre, Papas Ciro Pinnola. Une paroisse si pauvre qu’elle n’avait pas d’église mais célébrait la liturgie dans un rez-de-chaussée d’immeuble. A la mort du père Pinnola, l’archidiocèse de New York, qui ne s’était jamais soucié de cette communauté, ne lui donna pas de remplaçant. Tandis que partout ailleurs les italo-albanais s’étaient déjà plus ou moins fondus dans les paroisses latines.

    Ces dernières années, des descendants d’immigrants italo-albanais se sont intéressés à leur héritage. C’est ainsi que s’est formée l’« Association grecque-catholique italo-albanaise Notre-Dame de Grâce » à New York, et une paroisse a même été constituée à Las Vegas, dépendant de l’éparchie byzantine catholique de Phoenix. Des liturgies sont également célébrées occasionnellement à la Nouvelle-Orléans.

    Les itallo-albanais sont des Albanais orthodoxes qui ont fui l’Albanie ottomane pour se réfugier en Calabre et en Sicile. En arrivant en Italie ils devenaient catholiques, mais l’Eglise romaine ne les appréciait guère, au point de leur refuser des évêques et d’accepter que leurs prêtres soient ordonnés par des évêques du patriarcat de Constantinople… Juste après le concile de Trente qui avait décrété l’uniformité ecclésiale et liturgique, le pape Pie IV décida d’en finir avec cette communauté qui faisait tache dans le sud de l’Italie : ils devenaient des fidèles latins comme les autres, avec interdiction de se faire ordonner par des schismatiques. Ce devait être la fin de la petite Eglise italo-albanaise. Mais on se rendit vite compte que cette communauté pouvait servir de pont et d’exemple pour les orthodoxes. En 1732, Clément XII fondait un séminaire albanais, et trois ans plus tard il admettait un évêque italo-albanais, qui n’avait de pouvoir en fait que sur le séminaire et sur les ordinations, et pour tout le reste était soumis aux évêques latins… Cela dura jusqu’en 1919, quand Benoît XV créa l’« éparchie de Lungro des italo-albanais ». En 1937 fut créé en Sicile un « diocèse de Piana des grecs », renommé « éparchie de Piana des albanais » en 1941. L’éparchie de Lungro a 29 paroisses, celle de Piana 15, pour un peu plus de 63.000 fidèles. Sans compter les Américains…

  • Saint Jérôme

    Lettre à Eustochia (traduction Benoît Matougues, 1838)

    A juger des choses par les apparences, la lettre, les bracelets et les pigeons que vous m'avez envoyés, sont des présents de peu de valeur; mais l'affection avec laquelle vous me les avez faits, leur donne tout leur prix et me les rend importants. Cependant, comme Dieu défendait, dans l'ancienne loi, d'offrir du miel dans les sacrifices qu'on lui offrait, aussi avez-vous su l'art de mélanger, pour ainsi dire, vos présents, et de mêler l'amertume à vos douceurs. Les choses les plus agréables et les plus douces, selon Dieu, paraissent fades et insipides, à moins qu'on n'ait soin de les relever par les traits de quelque vérité un peu piquante. L'amertume est l'assaisonnement de la Pâque de Jésus-Christ; mais comme nous célébrons aujourd'hui la fête de saint Pierre, il est juste de passer cette journée un peu plus agréablement que les autres, de manière néanmoins à ne pas trop nous écarter de nos pratiques ordinaires, et à mêler toujours à nos réjouissances quelque trait de l'Écriture sainte.

    Nous lisons dans les livres saints que le Seigneur mit des bracelets aux bras de Jérusalem, que Jérémie donna une lettre à Baruch, et que le Saint-Esprit descendit sous la forme d'une colombe. Pour rendre cette lettre plus piquante et vous rappeler celle que je vous ai écrite autrefois, prenez garde, je vous prie, d'abandonner la pratique des bonnes œuvres, qui sont vos véritables ornements et qui doivent vous tenir lieu de bracelets; craignez de déchirer « la lettre qui est écrite dans votre cœur, » de même qu'un roi impie arracha celle que Jérémie  avait donnée à Baruch ; craignez enfin que le prophète Osée ne vous dise comme à Ephraïm « Vous êtes devenue semblable à une colombe sans intelligence. »

    Votre style, me direz-vous, est un peu trop mordant , et je ne m'attendais pas à recevoir une semblable lettre un jour de fête. Vous vous l'êtes attirée, cette lettre, par l'amertume que vous avez mêlée aux présents que vous m'avez envoyés; je veux aujourd'hui vous rendre la pareille, et mêler un peu d'aigreur à mes compliments. Mais afin de vous ôter l'idée que j'ai dessein de diminuer le prix de vos présents, je vous remercie aussi du panier de cerises que vous m'avez envoyé; elles m'ont paru si fraîches et si vermeilles, que j'ai cru que Lucullus ne faisait que de les apporter; (car ce fut lui qui, après avoir conquis le Pont et l'Arménie, apporta le premier de Cerasonte à Rome cette sorte de fruit, qui a pris son nom du pays où il croit). Puisque l'Écriture sainte nous parle « d’un panier plein de figues » et qu'elle ne dit rien des cerises, j'appliquerai à celles-ci ce qu'elle dit de celles-là. Je désire donc que vous soyez comme ces figues que Jérémie vit devant le temple de Dieu, et dont le Seigneur disait

    « Celles qui sont bonnes sont très bonnes. » En effet, le Sauveur ne veut rien de médiocre, il prend ses délices dans une âme toute de feu; il ne rebute pas même celle qui est toute de glace, mais il nous assure dans l'Apocalypse, qu'il rejette les âmes tièdes et languissantes. Nous devons donc avoir soin de passer la fête que nous célébrons aujourd'hui, non pas dans les festins, mais dans une joie toute spirituelle ; car ce serait une chose indigne de vouloir honorer par la bonne chère un martyr qui s'est rendu agréable à Dieu par ses jeûnes. Mangez en sorte que vous puissiez vous appliquer à l'oraison et à la lecture immédiatement après le repas; et si quelqu'un n'approuve pas votre conduite en cela, dites-lui avec l'apôtre saint Paul : « Si je voulais encore plaire aux hommes, je ne serais pas servante de Jésus-Christ. »

  • Au Sri Lanka

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    La plus ancienne publication cinghalaise est le Gnanartha Pradeepaya (Lumière de la Sagesse), un hebdomadaire… catholique, qui vient de fêter ses 150 ans.

    A l’origine il avait 4 pages et donnait des nouvelles de l’Eglise aux quelques catholiques de Ceylan. Il a aujourd’hui 24 pages et est distribué à plus de 30.000 exemplaires, essentiellement dans les paroisses.

    Les catholiques représentent aujourd’hui 7% des 20 millions de Sri-Lankais (mais l'influence de l'Eglise déborde largement: on se souvient du retour triomphal de l'archevêque de Colombo, Mgr Ranjith, qui venait d'être créé cardinal).

  • A Bethléem

    Un incendie a gravement endommagé le monastère maronite saint-Charbel de Bethléem, samedi soir. Il s’avère qu’il ne s’agit pas d’un incendie accidentel, mais d’un attentat islamique, selon la police qui dit savoir qui sont les coupables.

    Il n’y a eu aucune victime parce que le monastère est en pleine rénovation et donc provisoirement inhabité.

    Les travaux étaient financés par un don de 100.000 $ de l’Autorité palestinienne.

  • La victoire de Poutine

    Il y avait dix ans que Vladimir Poutine n’avait pas parlé devant l’ONU, dit-on. Et ces derniers temps il était le grand méchant qu’il fallait punir. Et même c’était de pire en pire puisqu’il s’impliquait en Syrie et qu’il allait se rendre responsable d’une escalade parce que les Etats-Unis ne pouvaient pas accepter cela…

    Mais ces tout derniers jours ce n’était plus le discours de John Kerry…

    Et voilà qu’à la tribune de l’ONU, entre deux couplets assassins sur Poutine et sur Assad, Barack Obama déclare tout à trac qu’il est « prêt à travailler avec tout pays, y compris la Russie et l’Iran, pour résoudre le conflit ».

    Y compris avec les plus méchants des plus méchants : la Russie et l’Iran.

    Donc avec Assad.

    Et François Hollande a encore l’air d’un crétin, à répéter tout seul ses anathèmes contre Assad qui ne sont plus de saison…

    Tandis que Poutine peut savourer une victoire peu banale : le président américain faisant volte face pour venir sur sa position…

  • Dédicace de Saint-Michel

    La séquence d’Adam de Saint-Victor pour la fête de saint Michel a une mélodie qui sera reprise par le Lauda Sion. Elle est elle-même reprise d’une séquence célébrant la sainte Croix.

    Voici le texte, avec la traduction de dom Guéranger. Et les premières pages de la partition sur un prosaire italien du XVIe siècle (Bibliothèque nationale, pp. 11r et suivantes). On aura la mélodie intégrale (et plus pratique) sur le site de la Schola Sainte-Cécile. On verra ici, repris du prosaire d’Aix-la-Chapelle, une mélodie très différente.

    Laus erumpat ex affectu
    Psallat chorus in conspectu
    Supernorum civium
    Laus jocunda laus decora
    Quando laudi concanora
    Puritas est cordium.

    Empressée soit la louange ; que notre chœur, du fond de rame, chante en présence des citoyens des cieux : agréée sera-t-elle et convenable, cette louange, si la pureté des âmes qui chantent est à l'unisson de la mélodie.

    Michaelem cuncti laudent
    Nec ab hujus se defraudent
    Diei letitia.
    Felix dies qua sanctorum
    Recensetur angelorum
    Solemnis victoria.

    Que Michaël soit célébré par tous ; que nul ne s'excommunie de la joie de ce jour : fortuné jour, où des saints Anges est rappelée la solennelle victoire !

    Draco vetus exturbatur
    Et draconis effugatur
    Inimica legio.
    Exturbatus est turbator
    Et projectus accusator
    A celi fastigio.

    L'ancien dragon est chassé, et son odieuse légion mise en fuite avec lui ; le troubleur est troublé à son tour, l'accusateur est précipité du sommet du ciel.

    Sub tutela Michaelis
    Pax in terra, pax in celis
    Laus et jubilatio.
    Cum fit potens hic virtute
    Pro communi stans salute
    Triumphat in prelio.

    Sous l'égide de Michel, paix sur la terre, paix dans les cieux, allégresse et louange; puissant et fort, il s'est levé pour le salut de tous, il sort triomphant du combat.

    Suggestor sceleris
    Pulsus a superis.
    Per hujus eris
    Oberrat spatia.
    Dolis invigilat
    Virus insibilat
    Sed hunc adnihilat
    Presens custodia.

    Banni des éternelles collines, le conseiller du crime parcourt les airs, dressant ses pièges, dardant ses poisons ; mais les Anges qui nous gardent réduisent à néant ses embûches.

    Tres distincte hierarchie
    Jugi vacant theorie
    Jugique psalterio
    Nec obsistit theoria
    Sive jugis harmonia
    Jugi ministerio.

    Leurs trois distinctes hiérarchies sans cesse contemplent Dieu et sans cesse le célèbrent en leurs chants ; ni cette contemplation, ni cette perpétuelle harmonie ne font tort à leur incessant ministère.

    O quam mire caritatis
    Est superne civitatis
    Ter terna distinctio
    Que nos amat et tuetur,
    Ut ex nobis restauretur
    Ejus diminutio.

    O combien admirable est dans la céleste cité la charité des neuf chœurs ! Ils nous aiment et ils nous défendent, comme destinés à remplir leurs vides.

    Sicut sunt hominum
    Diverse gratie
    Sic erunt ordinum
    Distincte glorie
    Justis in premio.
    Solis est alia 
    Quam lune dignitas
    Stellarum varia
    Relucet claritas
    Sic resurrectio.

    Entre les hommes, diverse est la grâce ici-bas ; entre les justes, divers seront les ordres dans la gloire au jour de la récompense. Autre est la beauté du soleil, autre celle de la lune ; et les étoiles diffèrent en leur clarté : ainsi sera la résurrection.

    Vetus homo novitati
    Se terrestris puritati
    Conformet celestium.
    Coequalis his futurus
    Licet nondum plene purus
    Spe presumat premium.

    Que le vieil homme se renouvelle, que terrestre il s'adapte à la pureté des habitants des cieux : il doit leur être égal un jour ; bien que non pleinement pur encore, qu'il envisage ce qui l'attend.

    Ut ab ipsis adjuvemur
    Hos devote veneremur
    Instantes obsequio.
    Deo nos conciliat
    Angelisque sociat
    Sincera devotio.

    Pour mériter le secours de ces glorieux esprits, vénérons-les dévotement, multipliant envers eux nos hommages ; un culte sincère rend Dieu favorable et associe aux Anges.

    De secretis reticentes
    Interim celestibus
    Erigamus puras mentes
    In celum cum manibus.

    Taisons-nous des secrets du ciel, en haut cependant élevons et nos mains et nos âmes purifiées :

    Ut superna nos dignetur
    Coheredes curia
    Et divina collaudetur
    Ab utrisque gratia.

    Ainsi daigne l'auguste sénat voir en nous ses cohéritiers ; ainsi puisse la divine grâce être célébrée par le concert de l'angélique et de l'humaine nature.

    Capiti sit gloria
    Membrisque concordia. Amen.

    Au chef soit la gloire, aux membres l'harmonie ! Amen.

     

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