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  • A Bagdad...

    Huit personnes, dont au moins deux députés, ont été tuées, et 23 autres blessées, selon l’armée américaine, dans un attentat-suicide à l’intérieur du Parlement irakien, situé au cœur de la « zone verte » ultra-protégée, alors que les Américains ont mis en œuvre un nouveau plan de sécurité massif à Bagdad.

    Pourrait-on savoir pourquoi c’est l’armée américaine qui compte les morts à l’intérieur du Parlement de l’Etat irakien ?

  • Affaire Nouchet : non-lieu confirmé

    La cour d’appel de Douai a confirmé le non-lieu dans l’affaire de « l’agression homophobe présumée » de Sébastien Nouchet, qui affirmait que trois personnes l’avaient aspergé d’essence et l’avaient gravement brûlé.

    « L’agression homophobe » de Sébastien Nouchet « avait suscité une vague de réactions sans précédent en France jusqu’au plus haut sommet de l’Etat, faisant de M. Nouchet une icône de la lutte contre l’homophobie », comme le dit l’AFP. La loi sur la Halde et contre l’homophobie, votée peu après, fut appelée « loi Nouchet ».

  • Bravo Mgr Franco

    Le nonce apostolique en Israël, Mgr Antonio Franco, refuse de participer la semaine prochaine aux commémorations de la Shoah à Yad Vashem. « Cela me fait mal d’aller à Yad Vashem et de voir comment y est présenté Pie XII », a-t-il déclaré, faisant savoir qu’il a informé le directeur du mémorial qu’il n’assisterait pas aux commémorations tant que la présentation de Pie XII ne serait pas modifiée.

    Depuis l’ouverture du nouveau musée en 2005, une photographie de Pie XII est exposée, avec une légende qui met le pape parmi ceux « dont on devrait avoir honte pour ce qu’ils ont fait contre les juifs ».

    « Cette photo offense toute l’Eglise catholique. C’est ce que j’ai voulu faire savoir », souligne Mgr Franco. Qui, naturellement, ambassadeur du pape, s’exprime au nom du Saint-Siège.

  • Quelques propos de Jean-Marie Le Pen

    Sur le parachute en or massif de Noël Forgeard :

    « Je comprends qu’à la rigueur des gens prennent de l’argent à la tête de l’entreprise s’ils le méritent parce qu’ils ont conduit l’entreprise à de grands succès. Mais que quelqu’un qui a conduit l’entreprise à un échec, qui s’en va avec le paquet, cela me paraît être du gangstérisme mondain. » (France 2)

     

    Sur les attentats en Algérie et au Maroc :

    « On voit se multiplier ce genre d’actions de plus en plus près de nous, hier au Maroc, aujourd’hui grand attentat à Alger. Nous sommes un peu assis sur une poudrière, à tout moment on peut se trouver dans un climat d’insécurité aggravée. On peut craindre la mise en œuvre de réseaux organisés qui ont probablement dû prédisposer leurs dispositifs, et je ne suis pas certain que dans un pays où quelquefois au lycée on parle 50 langues différentes nous ayons des services de renseignement en mesure de suivre les différents réseaux de toutes nationalités. Il faut savoir que l’immigration, en France, elle n’est pas seulement nord-africaine, musulmane ou africaine, elle est planétaire. » (Public Sénat)

     

    Sur Bayrou :

    « Mes concurrents sont les piliers de la France décadente. M. Bayrou n’est pas le chevalier blanc. Il est l’homme qui parle à l’oreille des chevaux, mais moi, je suis celui qui parle à l’oreille des électeurs. » (Le Figaro)

     

    Sur les racines chrétiennes de l’Europe – « Cela a un sens ? » :

    « Cela a un sens évident. Tout le monde peut renier sa mère, mais cela n’empêche pas qu’on soit sorti de son ventre. Les autres sont des lâches, ils veulent se coucher devant la pensée unique. » (Le Figaro)

     

    Sur Sarkozy et le président de la République :

    « Je ne vois pas pourquoi moi je ne me prévaudrais pas d’être de La Trinité-sur -Mer quand le fils de Pal Sarkozy se prévaut d’être d’origine hongroise. Il y a dans la personnalité du président de la République une exigence d’adéquation avec le peuple français – et même d’incarnation de ce peuple – qui ne peut pas être le fait d’un candidat d’origine étrangère récente. Le président de la République est le successeur de nos rois, de nos empereurs, de nos présidents de la République, c’est une dimension particulière à sa fonction. » (Le Figaro)

  • Pourquoi tu veux que je parte ?

    Lu dans un article du Monde en ligne sur l’ancien footballeur Basile Boli qui soutient Sarkozy :

    « Un jour, j'ai été convoqué par six cents Français d'origine africaine à Saint-Denis. Un homme m'a dit : en France grâce à mes enfants, je touche 6 000 euros par mois d'indemnités. Si je rentre au pays, je n'aurai droit à rien. Basile, pourquoi tu veux que je parte ? »
  • Pour ne pas provoquer d’incidents...

    Lu sur Novopress : « Une note du 7 mars émanant de la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de l’Essonne a demandé “qu’aucun contrôle ne soit fait autour des gares SNCF du département”. Selon plusieurs organes de presse et des syndicalistes de la Police Nationale , des instructions similaires auraient été données dans d’autres départements, dont la Seine-Saint -Denis. »

  • A propos de Pierre Bodein

    A propos de Pierre Bodein, de la question de la « récidive », et des errements des psychiatres, il peut être utile de se reporter aux deux éditoriaux que j’y ai consacrés dans National Hebdo en 2004 (8_juillet_2004.doc) et en 2005 (14_juillet_2005.doc). Dans le second, on verra notamment comment la sortie de prison de ce monstre est déjà programmée, depuis le début de l’été 2005, et comment les fameux psychiatres (j’avais alors eu accès à leurs ahurissantes analyses) évoquaient « le problème de défense sociale de son retour à la vie civile », qui « se posera dans des délais qui interdisent de le figer dès maintenant dans un rôle de pervers intraitable »...

    Rappelons que cette affaire nous touche tout particulièrement, non seulement en raison de l’horreur insoutenable des crimes de Bodein, mais aussi parce que la famille Kegelin, d’une très profonde foi chrétienne, est proche de Chrétienté-Solidarité. Il est poignant que le procès de Pierre Bodein commence en pleine joie pascale. Comme un témoignage que Jeanne-Marie est vivante, dans la gloire, pendant que son assassin et tortionnaire affronte la dérisoire justice des hommes.

    Fin juin 2004, M. et Mme Kegelin publiaient ceci :

    « Emus de l’immense feu de charité qui embrase la Chrétienté tout entière depuis la France et l’Europe jusqu’en Afrique, Inde, Océanie, Asie et Amériques, nous sortons de notre silence recueilli pour dire notre reconnaissance.

    Comment ne pas être touchés par la prière des abbayes et des monastères, des enfants des écoles, par les veillées de prières organisées partout, les Messes célébrées, les messages de soutien, les souffrances offertes pour celle qui, disparue le jour de la fête du Sacré Cœur de Jésus, écrivait dans un petit journal insoupçonné retrouvé après sa disparition :

    « Jésus, je te remercie parce que tu m’as donné la force d’être bonne et que tu as été crucifié pour nous sauver. Aide-moi à faire beaucoup de sacrifices et que je reste dans la joie. »

    Du fond du cœur merci à chacun d’entre vous, et qu’en toutes choses la volonté de Dieu soit faite. »

  • National Hebdo N° 1186

    « Qui a peur de Jean-Marie Le Pen ? » Pas les Français de souche. Pas non plus les Français issus de l’immigration, comme cela commence enfin à se savoir. Mais seulement les Royal, Sarkozy, Bayrou, etc., les représentants du système, les idéologues du système, les sondeurs du système... Voilà en résumé ce que détaillent plusieurs articles de ce numéro, tandis que dans mon édito je tente de cerner ce qui fait vraiment la « différence » de Le Pen.

  • Jeudi de Pâques

    Réjouissez-vous avec moi, vous tous qui aimez le Seigneur, car celui que je cherchais m’est apparu. Alors que je pleurais devant le tombeau, j’ai vu le Seigneur, alléluia, alléluia. Si les apôtres sont repartis, moi je ne suis pas repartie ; consumée du feu de son amour, je brûlais de désir. Alors que je pleurais devant le tombeau, j’ai vu le Seigneur, alléluia, alléluia.

    (répons des matines)