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Quelques propos de Jean-Marie Le Pen

Sur le parachute en or massif de Noël Forgeard :

« Je comprends qu’à la rigueur des gens prennent de l’argent à la tête de l’entreprise s’ils le méritent parce qu’ils ont conduit l’entreprise à de grands succès. Mais que quelqu’un qui a conduit l’entreprise à un échec, qui s’en va avec le paquet, cela me paraît être du gangstérisme mondain. » (France 2)

 

Sur les attentats en Algérie et au Maroc :

« On voit se multiplier ce genre d’actions de plus en plus près de nous, hier au Maroc, aujourd’hui grand attentat à Alger. Nous sommes un peu assis sur une poudrière, à tout moment on peut se trouver dans un climat d’insécurité aggravée. On peut craindre la mise en œuvre de réseaux organisés qui ont probablement dû prédisposer leurs dispositifs, et je ne suis pas certain que dans un pays où quelquefois au lycée on parle 50 langues différentes nous ayons des services de renseignement en mesure de suivre les différents réseaux de toutes nationalités. Il faut savoir que l’immigration, en France, elle n’est pas seulement nord-africaine, musulmane ou africaine, elle est planétaire. » (Public Sénat)

 

Sur Bayrou :

« Mes concurrents sont les piliers de la France décadente. M. Bayrou n’est pas le chevalier blanc. Il est l’homme qui parle à l’oreille des chevaux, mais moi, je suis celui qui parle à l’oreille des électeurs. » (Le Figaro)

 

Sur les racines chrétiennes de l’Europe – « Cela a un sens ? » :

« Cela a un sens évident. Tout le monde peut renier sa mère, mais cela n’empêche pas qu’on soit sorti de son ventre. Les autres sont des lâches, ils veulent se coucher devant la pensée unique. » (Le Figaro)

 

Sur Sarkozy et le président de la République :

« Je ne vois pas pourquoi moi je ne me prévaudrais pas d’être de La Trinité-sur -Mer quand le fils de Pal Sarkozy se prévaut d’être d’origine hongroise. Il y a dans la personnalité du président de la République une exigence d’adéquation avec le peuple français – et même d’incarnation de ce peuple – qui ne peut pas être le fait d’un candidat d’origine étrangère récente. Le président de la République est le successeur de nos rois, de nos empereurs, de nos présidents de la République, c’est une dimension particulière à sa fonction. » (Le Figaro)

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