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  • Particulièrement immonde

    Comme on l’apprend par Le Salon Beige, la gay pride en bateau sur le canal, le 4 août à Amsterdam, aura cette année pour la première fois un bateau réservé aux enfants. Pas aux enfants adoptés par les homosexuels, mais aux enfants soi-disant eux-mêmes homosexuels. C’est un garçon de 14 ans qui a demandé ce bateau, et il a été soutenu dans sa demande par l’organisation de défense des droits des homosexuels COC. Il y aura 30 places. L’âge minimum pour faire partie de l’équipage est de 11 ans. « A partir de cet âge, il y a déjà des demandes parmi les jeunes homos d’avoir des contacts avec leur pairs de même inclination », déclare le COC.

  • Les Tchèques et la Constitution

    Lors d’une conférence organisée au Sénat de Prague, le Premier ministre tchèque Mirek Topolanek a déclaré à propos du futur traité européen qu’il fallait rechercher « un consensus sur le plus petit commun dénominateur définissant les pouvoirs et les règles valables pour tous ». Le vice-Premier ministre Alexandr Vondra a commenté à l’AFP : « Jusqu’ici, le traité constitutionnel a divisé l’Europe plutôt que de l’avoir unie. Nous devons maintenant balayer ces débris, et construire quelque chose sur quoi on pourrait se mettre d’accord. » Bref, les voilà globalement d’accord avec le président Vaclav Klaus, dont on nous faisait croire qu’il était le seul eurosceptique en Bohême…

    Autant dire que le projet d’Angela Merkel et de ses alliés espagnols, luxembourgeois ou… français, de ressusciter la Constitution européenne et de l’imposer aux peuples, a du plomb dans l’aile…

  • Le procureur et le jihad

    Les seuls blasphèmes punissables dans notre pays sont ceux qui concernent les tabous de la religion officielle de la République : racisme, antisémitisme, homophobie, contestation de la Shoah … L’injure à Mahomet n’y figure pas, donc les caricatures ne sont pas punissables. C’était couru d’avance.

    Ce n’est pas une raison pour dire n’importe quoi. Les juges devraient au moins se renseigner avant de dire des inepties au nom du peuple français. Le procureur de la République, Anne de Fontette, a justifié sa demande de relaxe en prétendant que ce qui est en cause dans les dessins c’est « la dénaturation de l’utilisation de la religion musulmane qu’en font les intégristes, c’est l’utilisation abusive du nom de Dieu, c’est le jihad, ce qui est dénoncé, c’est le dogme de l’islam quand il est dévoyé à des fins fanatiques ou extrémistes. »

    Anne de Fontette ne sait donc pas que le jihad, que l’obligation du jihad, fait partie intégrante de la foi musulmane et que cela figure en toutes lettres dans le Coran.

    Cette ignorance de ce qu’est l’islam est générale chez ceux qui ont à en juger comme chez ceux qui croient installer un « islam de France ». Et au lieu d’aller vérifier ce qu’on leur dit, ils vous traitent de raciste…

  • Le droit de travailler en français en France…

    Le  « Collectif pour le droit de travailler en langue française » a tenu hier une conférence de presse et une grande réunion dans une salle de l’Assemblée nationale, afin d’alerter sur le fort développement du « globish », une version rudimentaire d’anglo-américain qui devient la langue officielle et quasi obligatoire dans de nombreuses entreprises françaises.

    Le collectif a été créé à l’initiative de la CFTC (Jean-Loup Cuisiniez, qui est son porte-parole) et de la section syndicale CGT d’Alcatel-Lucent de Nozay (Martine Lamonnier, Claude Josserand) et il a été rejoint par le syndicat UDPA-UNSA d'AXA Tech (Franck Grandmaison), le syndicat CGC-MF (Marchés financiers, Marc Boutellier), les associations FFI-France (section française du Forum Francophone International) et ALF (Avenir de la Langue Française ), présidées par l'ancien ambassadeur Albert Salon, ainsi que le site militant de la francophonie voxlatina, édité par Alfred Mignot, secrétaire général fondateur du FFI.

    Au cours de cette réunion les intervenants ont souligné que de plus en plus dans les grandes entreprises des informations sont communiquées uniquement en anglais aux salariés, que des réunions du personnel se déroulent entièrement en anglais (ou en franglais…), et que les salariés qui ne connaissent pas la langue des initiés deviennent des salariés de seconde zone, ne sachant pas ce qu’on leur demande, et pouvant légitimement craindre d’être les premiers licenciés en cas de difficulté… Et la connaissance de l’anglais n’est même pas éventuellement suffisante : le délégué central CFTC du groupe Hewlett-Packard France se bat contre l'imposition aux employés d'un support technique exclusivement en anglais, basé en Inde, « ce qui rend d'ailleurs cet anglais incompréhensible même pour ceux qui ont la chance de bien le parler »…

    Pourtant un arrêt de la Cour d’Appel de Versailles du 2 mars 2006, condamnant une entreprise qui communiquait en anglais avec son personnel, stipule que les documents transmis par l’employeur doivent être en français, dès lors qu’ils comportent des obligations pour le salarié ou des dispositions dont la connaissance est nécessaire à celui-ci pour l’exécution de son travail.

    La loi est donc, tout de même, du côté de ceux qui veulent travailler en français en France. Reste à la faire appliquer…

  • La dernière de Marie-Ségolène

    Le blog du Conservateur remarque que dans une interview à un journal arabe, Marie-Ségolène fait du rejet du CPE (février-mars 2006) une raison des émeutes de novembre 2005…

  • Le Pen sur France 2

    Jean-Marie Le Pen a été traité hier soir sur France 2 comme un candidat à l’élection présidentielle, et non comme un épouvantail fasciste. Cela lui a permis de s’exprimer clairement et longuement, et a permis aux téléspectateurs de découvrir le vrai Le Pen, combatif mais serein, ayant contrairement à ses adversaires une véritable vision de la France, et hissant le débat au niveau des véritables enjeux. En outre, les téléspectateurs ont pu constater que l’âge du capitaine est une fausse question, tant Le Pen apparaissait dans une forme physique éblouissante et avec une vivacité d’esprit que bien des jeunes peuvent lui envier.

    Il est difficile de dire quels ont été les points forts de l’émission, car Jean-Marie Le Pen ne pouvait que profiter d’un tel passage pour en faire une suite de points forts.

    On remarquera surtout sa volonté de dire la vérité sur tous les sujets, en battant en brèche la démagogie ambiante, en montrant sur chaque sujet à quel point la situation est dramatique et nécessite des réformes drastiques. Par exemple sur les retraites ou sur l’immigration. Et il n’a pas hésité à montrer sa différence jusque sur le sujet de l’amnistie des infractions routières, se déclarant favorable à une amnistie « pour les faits qui n’ont pas entraîné de risque de mort ou de blessures », car « les automobilistes sont littéralement persécutés et il serait normal qu’on leur permette de souffler un peu ».

    On aura noté son insistance à parler de la nation et de la patrie, et à constater qu’il est le seul à défendre ces notions essentielles. Cela se décline en lutte contre l’immigration (par la suppression des pompes aspirantes), en instauration de la préférence nationale, en refus de la double nationalité : « A un moment donné, on demandera poliment et calmement de faire un choix » à ceux qui ont deux nationalités. Il faut empêcher de venir chez nous tous ceux qui quittent leur pays à cause de la pauvreté, car sinon « nous serons submergés et quand nous ne serons plus majoritaires chez nous, nous serons esclaves ». Sur la nécessité de la préférence nationale, Jean-Marie Le Pen a donné l’exemple de « Bitru, smicard, qui attend  depuis dix ans un appartement ». Mais il y a toujours « une famille kurde qui arrive à poil avec dix enfants qui est prioritaire », car elle n’a pas de logement. Et Bitru attend toujours…

    La défense de la nation, cela passe par la restauration des frontières, a insisté Le Pen. Les frontières nécessaires pour lutter contre l’immigration et contre les effets pervers de la mondialisation (droits de douane). La France doit retrouver sa souveraineté, notamment vis-à-vis de Bruxelles. S’il est élu, Jean-Marie Le Pen s’engage à entamer immédiatement des discussions avec nos partenaires pour une redéfinition de l’Union européenne, respectueuse de la souveraineté des peuples, seule possibilité de redresser la situation démographique, économique et sociale.

    On aura aussi remarqué, vers la fin de l’émission, les propos très forts de Jean-Marie Le Pen sur l’avortement, cet « acte terrible », et sur la politique d’aide aux femmes enceintes qu’il entend mener pour combattre efficacement ce fléau. Ce qui va de pair avec une politique familiale active, permettant notamment à la mère de pouvoir s’occuper de l’éducation de ses enfants, car c’est dans la famille que se fait l’apprentissage des valeurs morales et sociales.

  • Quand Barroso répond à Balkenende

    Suite aux propos tenus par le Premier ministre néerlandais Jan Peter Balkenende, en présence du président de la Commission européenne José Manuel Barroso, sur la Constitution européenne, celui-ci a déclaré dans une conférence de presse que les Pays-Bas avaient « signé » la Constitution , qu’ils avaient donc une « responsabilité » et devaient travailler eux aussi « à trouver une solution ». Ce n’était pas sur un ton comminatoire, mais quasiment sur le ton de l’imploration, comme en témoigne ce qui suit : « Tout le monde doit bouger. Les Pays-Bas doivent faire un mouvement. C’était mon message aujourd’hui : s’il vous plaît, aidez-nous ! »

    Voilà où ils en sont…

  • Reconquête

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    Reconquête N° 234

  • Enos

    « Adam connut sa femme, et elle mit au monde un fils, qu’elle appela du nom de Seth, disant : Dieu m’a accordé une descendance à la place d’Abel, que Caïn a tué. Et un fils naquit à Seth, qu’il appela Enos : celui-ci commença à invoquer le nom du Seigneur. »

    Ainsi se termine le chapitre 4 de la Genèse. Le chapitre 5 revient au commencement et dresse la généalogie d’Adam à Noé. Par Seth et Enos. Caïn a disparu. Sa descendance est effacée. Il était le premier-né d’Adam. Sa primogéniture est abolie. Comme il est dit ouvertement au début du chapitre 5, le premier-né d’Adam, « engendré à son image et à sa ressemblance », est Seth, dont le premier-né est Enos. Et c’est celui-ci qui commence à invoquer le nom du Seigneur. De premier-né en premier-né, jusqu’au Premier-Né qui sera le Seigneur lui-même.