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Il paraît qu’aujourd’hui c’est la fête du massacre des bébés, dite « journée internationale pour le droit à l'avortement ».
Donc, comme chaque année, le ministre préposé au massacre a annoncé des mesures destinées à tuer encore plus de bébés, afin qu’on puisse faire encore plus la fête.
La préposée est la Buzyn (en polonais bouzign), ex-belle fille de Simone Veil, ça tombe bien.
Pour corriger l’hétérogénéité entre les régions (le délai pour tuer le bébé varie de 3 à 11 jours), les avortements pourront désormais être pratiqués dans les « centres de santé ». Sic. La santé qui tue.
Et « l'accès à l'IVG » figurera parmi les critères d'évaluation des hôpitaux dans les contrats d'objectifs les liant aux agences régionales de santé. Bref, si l’hôpital ne tue pas assez il sera déconsidéré et risquera de voir ses subventions baisser.
Parmi les autres mesures, l'inscription « prioritaire » de l’avortement dans la formation continue des médecins et des sages-femmes…
Non seulement le meurtre des bébés est un « droit fondamental », mais c’est une « priorité » de santé publique…
Selon les derniers chiffres il y a aujourd’hui environ un avortement pour trois naissances.
La procession d’entrée et de sortie de la messe de la fête nationale de saint Wenceslas, le 28 septembre de l’an dernier, sur les lieux du martyre du « souverain éternel des Tchèques », à Stará Boleslav. Au chant de la litanie des saints. La tête couronnée du martyr à 2’50.
Il y a dix ans Benoît XVI était là, en compagnie du président Vaclav Klaus. A l’occasion de cet anniversaire sera dévoilé aujourd’hui un buste du pape, érigé sur la place Venceslas.
Je salue avec déférence Monsieur le Président de la République, auquel je présente mes vœux cordiaux à l'occasion de sa fête ; vœux qu'il me plaît d'adresser à ceux qui portent le nom de Venceslas, et au peuple tchèque tout entier au jour de sa fête nationale.
Ce matin le souvenir glorieux du martyr saint Venceslas, dont j'ai pu vénérer la relique, avant la messe, dans la Basilique qui lui est dédiée, nous réunit autour de l'autel. Il a versé son sang sur votre terre et son aigle que vous avez choisi comme écusson de la visite d'aujourd'hui constitue l'emblème historique de la noble Nation tchèque. Ce grand saint que vous aimez appeler 'éternel' Prince des Tchèques, nous invite à suivre toujours et fidèlement le Christ, il nous invite à être des saints. Lui-même est un modèle de sainteté pour tous, spécialement pour tous ceux qui conduisent le destin des communautés et des peuples. (...)
Venceslas est mort martyr pour le Christ. Il est intéressant de noter que son frère Boleslas réussit, en le tuant, à s'emparer du trône de Prague, mais la couronne que par la suite ses successeurs se mettaient sur la tête ne portait pas son nom. Elle portait le nom de Venceslas, en témoignage que «le trône du roi qui juge les pauvres dans la vérité restera solide pour l'éternité ». Ce fait fut jugé comme une merveilleuse intervention de Dieu, qui n'abandonne pas ses fidèles : « l'innocent vaincu vainc le cruel vainqueur de la même façon que le Christ sur la croix » (cf. La légende de saint Venceslas), et le sang du martyr n'a appelé ni haine ni vengeance, mais le pardon et la paix.
Chers frères et sœurs, en cette Eucharistie, remercions ensemble le Seigneur d'avoir donné à votre Patrie et à l'Eglise ce saint souverain. Prions en même temps pour que, comme lui, nous aussi nous marchions d'un pas alerte vers la sainteté. C'est certainement difficile, parce que la foi est toujours exposée à de multiples défis, mais quand on se laisse attirer par Dieu qui est Vérité, le chemin se fait décidé, parce qu'on fait l'expérience de la force de son amour. Que l'intercession de saint Venceslas et des autres saints protecteurs des terres tchèques nous obtienne cette grâce. Que Marie, Reine de la paix et Mère de l'Amour nous protège et nous assiste toujours. Amen !
Saints Anargyres et thaumaturges, visitez nos maladies : gratuitement vous avez reçu, gratuitement donnez-nous.
Ce tropaire de la liturgie byzantine (chanté par Nicodème Kavarnos) est non seulement très bref, mais il ne cite même pas les noms des saints. En fait, la liturgie aime les appeler « les Anargyres », comme si c’était leur nom propre. De même il y a des églises « des saints Anargyres ». Anargyre veut dire « sans argent » : ils guérissaient gratuitement, comme le souligne le tropaire. Le mot grec que je traduis par maladie mais qui est traduit par infirmité dans la version orthodoxe française a le mérite d’avoir une signification très étendue. Son sens premier est le « manque de force ». Il désigne donc toute faiblesse, physique et morale, et ce sont ainsi toutes nos misères que nous demandons à Côme et Damien de venir « visiter ».
Selon un sondage IBRiS pour le portail internet Interia, 57,1% des Polonais interrogés considèrent que le PiS est le parti qui mène la meilleure campagne pour les élections du 13 octobre prochain. Et 4,8% considèrent que c’est la Plateforme civique qui mène la meilleure campagne.
Rachid Madrane annonce qu’il sera candidat à la présidence de la fédération bruxelloise du parti socialiste face à Ahmed Laaouej, qui paraissait devoir l’emporter sans coup férir.
Hans Joachim Mendig, responsable de l’aide au cinéma dans le Land de Hesse, a été viré de son poste par le conseil de surveillance de l’Agence de promotion du cinéma de Hesse, suite à la publication sur Instagram d’une photo où on le voyait attablé avec le président de l’AfD Jörg Meuthen.
La Cour constitutionnelle italienne a décidé que le « suicide assisté », qui est interdit par la loi, peut être licite sous conditions (qui sont les conditions habituelles de l’euthanasie là où elle est légale).
Autrement dit, ce ne sont plus les ministres et les députés qui font la loi, mais les instances théoriquement chargées de veiller à leur constitutionnalité. C’est ce que l’on commence à voir un peu partout. Et l’on ose continuer de parler de démocratie.
Le 24 octobre 2018, la Cour avait donné un an au Parlement pour combler le soi-disant vide juridique sur le « suicide assisté ». Puisque le Parlement n’a rien fait, elle s’y substitue (avec un mois d'avance…).
Sandra Muller, qui avait lancé le mouvement #balancetonporc, a été condamnée à 15.000 € d’amende et 5.000 € de remboursements de frais de justice pour diffamation envers l’homme qu’elle avait accusé. Elle était pourtant défendue par Me Francis Szpiner. Sandra Muller dénonce une « justice bâillon » qui « supprime la liberté de parole » (sic) et fait appel.
A noter que Éric Brion, la victime de Sandra Muller, était défendu par une femme, Marie Burguburu.
La Marche pour la vie de Bratislava n’a eu aucun effet sur le Parlement slovaque, acquis comme tant d’autres (mais pourtant pas chez le grand voisin polonais) à la culture de mort : les quatre propositions de loi qui visaient à restreindre un peu l’avortement ont toutes été rejetées (l’une d’elles à une voix près : celle qui prévoyait d’aider les femmes à mener une grossesse secrète en vue d’adoption).