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La fête du massacre

Il paraît qu’aujourd’hui c’est la fête du massacre des bébés, dite « journée internationale pour le droit à l'avortement ».

Donc, comme chaque année, le ministre préposé au massacre a annoncé des mesures destinées à tuer encore plus de bébés, afin qu’on puisse faire encore plus la fête.

La préposée est la Buzyn (en polonais bouzign), ex-belle fille de Simone Veil, ça tombe bien.

Pour corriger l’hétérogénéité entre les régions (le délai pour tuer le bébé varie de 3 à 11 jours), les avortements pourront désormais être pratiqués dans les « centres de santé ». Sic. La santé qui tue.

Et « l'accès à l'IVG » figurera parmi les critères d'évaluation des hôpitaux dans les contrats d'objectifs les liant aux agences régionales de santé. Bref, si l’hôpital ne tue pas assez il sera déconsidéré et risquera de voir ses subventions baisser.

Parmi les autres mesures, l'inscription « prioritaire » de l’avortement dans la formation continue des médecins et des sages-femmes…

Non seulement le meurtre des bébés est un « droit fondamental », mais c’est une « priorité » de santé publique…

Selon les derniers chiffres il y a aujourd’hui environ un avortement pour trois naissances.

Commentaires

  • Ça va fêter en grand dans la fournaise de Lulu !

    http://jesusmarie.free.fr/elus_memling.jpg

  • C'est effroyable : le mal présenté comme un bien.
    Monsieur Daoudal, vous avez souvent parlé dans votre blog des écrits du cardinal Robert Sarah et je vous en remercie. Suivant vos conseils, je me suis procuré "Le Soir approche et déjà le jour baisse" (FAYARD, avec Nicolas Diat) et je viens de le finir.. Je crois que tout catholique devrait lire ce livre pour retremper son âme, retrouver des forces et raviver sa foi. J'aime cette idée, que le cardinal formule de façon puissante, selon laquelle l'Eglise est bien le rempart de la civilisation face à la barbarie contemporaine qu'incarne, par exemple, cette Buzyn.

  • "Malheur à celui qui appelle bien ce qui est mal et mal ce qui est bien" Isaïe 5-20.

  • Les rites maudits de Moloch-Baal :

    "S’il est vrai que même les dieux meurent, quelques uns d’entre eux, les plus anciens, ont fasciné les civilisations plus longtemps que les autres. Leurs cultes violents, en faisant appel aux plus profondes des pulsions humaines, en remontant dans la partie la plus sombre des psychés de leurs desservants, ont marqué davantage la mémoire des hommes. Rares sont les dieux qui peuvent se targuer d’une telle longévité. Baal, le vieux dieu Sémite, en fait partie : son culte a été célébré de ~ 3000 à l’époque romaine, sans discontinuer. Son nom, (« le maître »ou « l ‘époux » : synonymes révélateurs de sociétés où l’homme est le maître de son épouse) se retrouve dans tout le Moyen Orient, depuis les zones peuplées par les peuples Sémites, jusqu’aux colonies phéniciennes, au premier rang desquels on trouve l’immortelle Carthage, la ville dont le nom est à jamais attaché à celui du Dieu. Il est invariablement accompagné d’une divinité féminine dont les noms changent, Astarté, Ishtar ou Tanit à Carthage, la Tanit évoquée par Flaubert dans son magnifique Salambô. Baal n’est d’ailleurs qu’une appellation générique, c’est le second qualificatif qui révèle quel aspect de Baal est ici adoré : Baal Marcodès, Dieu des danses sacrées, Baal Shamen, Dieu des cieux, Baal Bek, le Baal solaire et surtout Hammon-Baal, le terrible dieu carthaginois…
    rappelons que Cronos mangeait ses propres enfants, que Saturne représente toute la sauvagerie originelle, la folie des temps premiers. Les sacrifices que la ville organisait pour le plaisir du Dieu sont les plus connus, parce qu’ils ont marqué la mémoire des contemporains comme au fer rouge. Diodore de Sicile, qui connaît d’autant mieux Carthage que les luttes furent permanentes entre les Grecs et Carthage pour le contrôle de la riche Sicile.

    En 310, vaincus et assiégés par les Grecs de Sicile, Carthage souffrait de manque d’eau. Les prêtres, pour se faire pardonner leurs péchés par Baal, organisèrent un holocauste, ces sacrifices de grande ampleur (tel est le sens premier du mot) qu’on appelle aussi, dans un vieux terme hébreu passé en langue punique, des Moloch. Selon Diodore, 500 enfants de la noblesse furent exécutés de la plus atroce des façons. Un immense Baal trônait sur la place centrale de la cité. Il était creux, et l’on entretenait à l’intérieur un immense brasier. Les bras de la statue, articulés, emportaient les enfants, encapuchonnés de noir, dans la gorge béante où ils étaient précipités vivants, sous les yeux d’une foule que Diodore de Sicile décrit ivre de joie démente et de folie meurtrière. Selon lui, des hommes et des femmes, rendus fous par la foule surchauffés, se poignardaient mutuellement, se précipitaient dans le bûcher."
    http://www.heresie.com/baal.htm

  • Illustré par Jacques Martin dans Alix, Le Tombeau étrusque.

  • Qui évoque Baal évoque Boul. Il est fait mention aujourd’hui encore de Belzebuth, dont le nom vient de Belzeboul ou Belzeboub. Belzeboul est un jeu de mots avilissant signifiant « Seigneur des excréments », que les Juifs ont construit sur Belzeboub, « Seigneur des Mouches ».

    On disait à Jésus qu’il chassait les démons par l’entremise de Belzeboub, prince des démons.

    Jadis au temps de Babylone, les prêtres de Baal-Zeboub s’infligeaient des mutilations.

    Le seigneur dieu Baal a divers noms : chez les Moabites, il est appelé Baal-Phégor, car il est adoré sur le mont Phégor. Les petites filles ne veulent pas faire comme leurs sœurs et leurs mères, qui se prostituent devant le dieu effrayant. Mais elles finiront par le désirer. Sur le mont, les filles sont des milliers à se donner au peuple dans des orgies, et les Juifs s’y étaient eux-mêmes conduits. Une fois ou l’autre, une fille d’Eve refuserait de se livrer, et serait sacrifiée, pure, dans la bouche enflammée de l’idole. Certaines se consacraient à Astarté, la femelle de Baal, qui est Vénus dans le ciel. Astarté, en persan starah, l’étoile (qui plus tard serait Aphrodite, Tanaïs, Artemis ; les Angles diraient “star” pour “étoile”).

    Baal renforcerait Jehovah, par réaction des Juifs. Samuel éradiquerait le dieu des prostituées. En Chanaan, on portait des prénoms tels que Maribaal ou Jézabeel. Maître en Phénicie, Baal composa une partie du nom d’Hannibal, à Carthage. Mais c’est à Babylone qu’il fut le plus puissant, il lui a donné son nom (Ba-bel).

    Baal-Zebubh est le “Baal des mouches”, le dieu qui éloigne cet insecte très redouté.

    Le dieu Belzeboub. Les Juifs en avaient fait un démon proche de Satan.

    Jésus le Nazaréen répondrait : « Si Satan se divise, comment subsistera son royaume ?”

  • Dans: https://www.roman-livre.com/dieu-ennemi-dun-dieu/

  • Les pro-vie devraient avoir une journée unique et mondiale de La Défense de la vie. Cela aiderait à sa médiatisation !

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