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Le blog d'Yves Daoudal - Page 420

  • 4e dimanche de l’Avent

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    Saint François de Sales, sermon pour le 4e dimanche de l’Avent (extrait).

    *

    O radix Jesse

    O radix Jesse, qui stas in signum populórum, super quem continébunt reges os suum, quem Gentes deprecabúntur : veni ad liberándum nos, jam noli tardáre.

    O Racine de Jessé, qui êtes comme l’étendard des peuples, devant qui les rois fermeront leur bouche, et dont les nations imploreront le secours : venez nous délivrer, maintenant ne tardez plus.

  • Pour se consoler un peu...

    La très belle prise de parole de François-Xavier Bellamy au Parlement européen (en essayant toutefois d'oublier que c'est un homme de Pécresse...)

  • Le "Joyeux Noël !" du tyran romain

    François fait un cadeau de Noël aux fidèles de la liturgie immémoriale de l’Eglise latine : un grand coup de massue supplémentaire.

    C’est sous la forme de réponses à des dubia. François ne répond pas aux vrais dubia, mais il fait répondre par le Gauleiter de la Congrégation pour le culte divin aux dubia manifestement élaborés (en tout cas pour plusieurs d’entre eux) par ses bureaux (ça fait plus "synodal" que le décret qui était annoncé par la rumeur).

    En bref :

    Tout prêtre voulant célébrer la messe traditionnelle, ordonné après la publication du motu proprio, devra demander à un évêque diocésain susceptible de l’admettre dans son diocèse de demander à Rome l’autorisation de célébrer cette messe.

    Autrement dit il n’y aura plus de nouveaux prêtres célébrant la messe traditionnelle. Déjà il y a peu d’évêques bienveillants qui acceptent ces prêtres, mais si en plus l’évêque doit demander l’autorisation à Rome, il n’y en aura plus guère. D’autant que, sauf cas exceptionnel, la réponse sera négative, conformément à ce qui est martelé tout au long du document : le motu proprio Traditionis custodes a pour but de ramener les fidèles du rite antérieur à la seule vraie liturgie et à supprimer la célébration de ce rite qui est aboli.

    Les prêtres qui ont encore le droit de célébrer la messe traditionnelle pour les groupes déjà constitués n’ont plus le droit de célébrer quelque autre sacrement selon la forme traditionnelle : ni baptême, ni confession, ni mariage, ni extrême-onction, et l’évêque lui-même ne pourra pas conférer de confirmations, sauf dans les rarissimes paroisses personnelles. (C’est ce qui venait d’être édicté pour le diocèse de Rome.)

    Le reste consiste en un saupoudrage de pitoyables mesquineries. Lorsqu’il n’y a pas d’autre église pour accueillir le groupe des pestiférés que l’église paroissiale, la feuille paroissiale ne doit pas indiquer l’horaire de la messe traditionnelle puisqu’elle est strictement réservée au groupe qui y assiste. Un prêtre qui dit la messe de Paul VI ne peut pas dire le même jour une messe traditionnelle, puisque les pestiférés peuvent assister à la messe de Paul VI qui est la seule vraie. L’autorisation donnée par un évêque à un prêtre ne vaut que sur le territoire de son diocèse…

    La dictature se resserre donc tant sur le plan religieux que sur le plan civil. Si François arrive à ses fins l’Eglise dite latine n’aura plus de liturgie dans quelques décennies. Mais elle n’aura (logiquement) plus rien du tout. C’est la doctrine de la table rase, telle qu’elle vient d’être exprimée par le prédicateur pontifical Cantalamessa (ancien talentueux perroquet de Benoît XVI, devenu perroquet hystérique de François) dans son troisième "enseignement de l'Avent" :

    « Nous devons tout faire » pour que l'Église ne devienne pas un «château compliqué et encombré » qui empêche le message du Christ d'en « sortir libre et joyeux ». Nous savons « quels sont les murs de séparation » qui peuvent retenir le messager. « Il s'agit tout d'abord des murs qui séparent les différentes Églises chrétiennes les unes des autres, puis de l'excès de bureaucratie, des vestiges d’un cérémonial devenu insignifiant : des oripeaux, des lois et des controverses passées, qui ne sont plus que des débris ». Mais inévitablement, « le moment arrive où l'on se rend compte que toutes ces adaptations ne répondent plus aux besoins actuels, voire qu'elles constituent un obstacle ». C'est pourquoi, a déclaré le cardinal, « nous devons avoir le courage de les abattre et de ramener l'édifice à la simplicité et à la linéarité de ses origines, en vue d’un nouvel usage ».

    On va donc sans doute raser le Vatican. Mais c'est ce que s’acharnent à faire spirituellement les apôtres de « l’esprit du concile » depuis plus de 50 ans.

    *

    P.S. Je pense aux bisounours à œillères papolâtres qui affirmaient que la suppression de la commission Ecclesia Dei n'avait aucune importance...

  • Samedi des quatre temps

    Exsúlta satis, fília Sion, prǽdica, fília Jerúsalem : ecce, Rex tuus venit tibi sanctus et Salvátor.

    Exulte tout ton saoul, fille de Sion, proclame, fille de Jérusalem : voici que ton roi vient à toi, il est saint et il est le Sauveur.

    L’antienne d’offertoire de la messe de ce jour reprend un demi-verset du prophète Zacharie 9,9).

    Le verset entier dit ceci, dans la Vulgate :

    Exsulta satis, filia Sion ; jubila, filia Jerusalem : ecce rex tuus veniet tibi justus, et salvator : ipse pauper, et ascendens super asinam et super pullum filium asinæ.

    Exulte tout ton saoul, fille de Sion, jubile, fille de Jérusalem : voici que ton roi vient à toi, il est juste et il est le Sauveur. Lui il est pauvre, et monté sur une ânesse, et sur un poulain d’ânesse.

    Ce verset prophétise donc d’abord les Rameaux. Mais bien sûr il convient au temps de l’Avent puisque ce Roi pauvre, saint et sauveur qui vient aux Rameaux est d’abord celui qui est venu à Noël.

    On remarque que la Vulgate dit « jubila » alors que l’antienne dit « praedica ». Le texte de l’antienne est celui d’une version antérieure à la Vulgate, traduisant le texte grec de la Septante : κήρυσσε (kirissé), proclame. De même, la Vulgate dit « sanctus », quand l’antienne dit « justus », qui traduit le mot de la Septante δίκαιος (dikèos), juste. (Dans la deuxième partie du verset l’ancienne version latine a, conformément au grec, mansuetus, doux, et non pauper, pauvre. Et c’est ce mansuetus (πραὺς) que l’on retrouve dans l’évangile de saint Matthieu.)

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    *

    O Adonai

    O Adonái, et Dux domus Israël, qui Móysi in igne flammæ rubi apparuísti, et ei in Sina legem dedísti : veni ad rediméndum nos in bráchio exténto

    O Adonaï, et Conducteur de la maison d’Israël, qui avez apparu à Moïse dans le feu du buisson ardent, et lui avez donné la Loi sur le Sinaï : venez pour nous racheter par la puissance de votre bras.

     

  • L’avortement par la poste

    Le lobby abortionniste extrémiste américain UCLA (organisation de défense des droits civiques) annonce triomphalement que, suite à son action en justice, les autorités sanitaires ont pérennisé la mesure prise pendant le confinement de 2020 permettant aux femmes de recevoir les produits abortifs par la poste après prescription d’un médecin.

    « C’est un immense pas en avant qui va permettre à de nombreuses patientes d'avoir accès à ce médicament sûr », dit l’UCLA.

    Un médicament ? Définition de l’Académie française : « Substance destinée à être administrée à l'homme ou à l'animal pour prévenir ou guérir les maladies, pour soulager les souffrances. » La subversion du langage se poursuit inexorablement.

    Sûr ? Il y a un mois, une étude a montré que, dans les Etats où c’était déjà permis, les visites aux urgences suite à un tel avortement ont augmenté de 507% entre 2002 et 2015.

  • Encore une…

    Encore une loi pour faire respecter la « parité ». Il y a dix ans la « droite » avait imposé la « parité » dans les conseils d’administration des grandes entreprises : il est plus important d’y avoir 40% de femmes que d’y avoir des hommes compétents. Et ce n’est pas « à compétence égale », puisque pendant ces dix ans il a fallu ne choisir que des femmes pour aboutir au quota.

    Désormais l’obligation est étendue aux comités exécutifs et de direction : la loi pour une « égalité économique et professionnelle réelle » entre hommes et femmes, définitivement adoptée hier, instaure un quota de représentation de chaque sexe parmi les cadres dirigeants et les membres des instances dirigeantes des entreprises d'au moins 1.000 salariés : au moins 30% de femmes en 2027, et 40% en 2030.

    Il ne vient à l’esprit de personne, semble-t-il, chez les habituels tordus subitement muets, de remarquer que cette loi sexiste qui ignore totalement les identités de genre (comme celle qui impose la parité aux élections, d’ailleurs) est foncièrement transphobe et anti-non-binaire…

  • Euthanasie autrichienne

    Le Parlement autrichien a approuvé hier la légalisation du « suicide assisté » pour les personnes atteintes d'une maladie grave ou incurable.

    Il y a un an, la Cour constitutionnelle avait ordonné au gouvernement de revoir la législation, d’ici le 31 décembre 2021. Le gouvernement s’est exécuté. Le Parlement aussi. Si la Cour constitutionnelle leur demande de se suicider eux-mêmes, ils le feront aussi ?

    Cela devient une tendance, que dans les pays anciennement catholiques la culture de mort progresse non plus par les élus mais par les soi-disant gardiens de la Constitution.

  • Risques juridiques…

    Des « dizaines de millions de migrants » ne pourraient pas « bénéficier » d’un éventuel programme mondial de « vaccination » anti-covid parce qu’ils ne dépendent plus d’un gouvernement et qu’en cas de problème ils feraient payer les fabricants de « vaccins », alors que les gouvernements ont promis d’indemniser les fabricants pour tout effet secondaire dommageable... Extraits d’un très long article de Reuters.

    Des dizaines de millions de migrants pourraient se voir refuser les vaccins COVID-19 d'un programme mondial parce que certains grands fabricants s'inquiètent des risques juridiques liés aux effets secondaires nocifs, selon des responsables et des documents internes de Gavi, l'organisation caritative qui gère le programme, examinés par Reuters.

    Près de deux ans après le début d'une pandémie qui a déjà tué plus de 5 millions de personnes, seuls 7% environ des habitants des pays à faible revenu ont reçu une dose. Les livraisons de vaccins dans le monde entier ont été retardées par des problèmes de production, la thésaurisation par les pays riches, les restrictions à l'exportation et la bureaucratie. De nombreux programmes ont également été entravés par l'hésitation du public.

    Les préoccupations d'ordre juridique constituent un obstacle supplémentaire pour les responsables de la santé publique qui s'attaquent au coronavirus. Selon les Nations unies, de nombreux fabricants de vaccins COVID-19 ont exigé que les pays les indemnisent pour tout événement indésirable subi par des personnes à la suite de l'administration de ces vaccins.

    Là où les gouvernements n'ont pas le contrôle, cela n'est pas possible.

    Pour les réfugiés, les migrants et les demandeurs d'asile, ainsi que pour les personnes touchées par des catastrophes naturelles ou d'autres événements qui les mettent hors de portée de l'aide gouvernementale, le programme mondial connu sous le nom de COVAX a créé une réserve de vaccins de dernier recours à administrer par des groupes humanitaires. Gavi, l'alliance pour les vaccins, est un partenariat public-privé créé en 2000 pour promouvoir la vaccination dans le monde. Mais cette réserve ne dispose d'aucun mécanisme permettant d'offrir une compensation. Gavi, qui gère COVAX avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS), explique que lorsque les demandeurs de doses, principalement des ONG, ne peuvent pas supporter les risques juridiques, les livraisons à partir de ce stock ne peuvent être effectuées que si les fabricants de vaccins acceptent leur responsabilité.

    Les entreprises qui sont prêtes à le faire dans ces circonstances ne fournissent qu'une minorité des vaccins du programme, selon des personnes connaissant bien le dossier et les documents, rédigés par le personnel de Gavi pour une réunion du conseil d'administration qui débutera fin novembre.

    La réticence des fabricants de vaccins à assumer les risques juridiques constitue "un obstacle majeur" aux tentatives de fournir des vaccins pour les populations tampons, a déclaré à Reuters un porte-parole de Gavi. Gavi n'a pas commenté les détails contenus dans les documents, mais a déclaré que les demandes de vaccins sont confidentielles jusqu'à ce que les doses soient livrées. En septembre, le PDG de Gavi, Seth Berkley, a lancé sur Twitter un appel aux fabricants de médicaments pour qu'ils renoncent à leurs exigences en matière d'indemnisation légale.

    Il serait difficile de contrôler en permanence l'innocuité des vaccins dans les camps de réfugiés, et la livraison est très difficile sur le plan logistique et ne convient pas à tous les types de vaccins, a déclaré la Fédération européenne d'associations et d'industries pharmaceutiques (EFPIA), qui représente les grandes entreprises pharmaceutiques en Europe. Les gens peuvent blâmer les vaccins pour des problèmes qui apparaissent par la suite, même s'ils n'ont aucun lien, a-t-elle ajouté. "Cela pourrait conduire à une augmentation du nombre de litiges (...) au cours desquels la sécurité et l'efficacité du vaccin seraient publiquement remises en question", a-t-elle déclaré dans une déclaration à Reuters.

  • L'efficacité de leurs injections

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    (Dans un article de la BBC sur les 800.000 morts américains.)

  • La Déclaration de Bethléem

    Rapide traduction de la Déclaration de Bethléem, signée par trois évêques (Athanasius Schneider, Marian Eleganti, Rene Henry Gracida), un certain nombre de prêtres et diverses personnalités. Pour Elizabeth Yore c’est une « réponse définitive à la folie sanitaire tyrannique mondialiste ».

    Remise en question de la licéité morale des injections expérimentales COVID-19 entachées d'avortement, et appel à une opposition universelle aux obligations de vaccination

     

    « Car par son incarnation, le Fils de Dieu s'est en quelque sorte uni à tout homme » (GS 22).

     

    Considérant que le Concile Vatican II a résumé à juste titre l'horreur de l'avortement en le qualifiant de "crime abominable" qui inclut également un "suprême déshonneur pour le Créateur" (GS 51 § 3 ; 27) ;

    Considérant que saint Jean-Paul II a enseigné que tous doivent s'opposer à ce "meurtre" délibéré des plus vulnérables avec "le maximum de détermination" (EV, 58 ; CL) ;

    Considérant que le caractère sacré des enfants à naître, créés à l'image et à la ressemblance de Dieu (Gn 1, 27), est gravement violé par leur exploitation utilitaire et leur marchandisation, favorisant ainsi la descente de la race humaine dans « une civilisation des "choses" et non des "personnes", une civilisation dans laquelle les personnes sont utilisées de la même manière que les choses » (St. Jean-Paul II, GS 13) ;

    Considérant que tous les vaccins expérimentaux à base de gènes actuellement disponibles dans le monde occidental sont contaminés par l'avortement, ayant été testés ou développés par traitement de cellules fœtales volées dans le corps d'enfants à naître assassinés ;

    Considérant qu'en décembre dernier (2020), la Congrégation de la Doctrine de la Foi (CDF) a publié une Note sur la moralité de l'utilisation de certains vaccins anti-Covid-19 dont le sujet se limitait aux "aspects moraux de l'utilisation des vaccins contre le Covid-19 qui ont été développés à partir de lignées cellulaires dérivées de tissus obtenus à partir de deux fœtus qui n'ont pas été spontanément avortés", tout en précisant que la congrégation n'avait pas l'intention de juger de la sécurité et de l'efficacité de ces vaccins, bien que cela soit éthiquement pertinent et nécessaire ;

    Considérant que la Note affirme qu'il reste un "devoir moral d'éviter une telle coopération matérielle passive" au crime d'avortement par l'utilisation desdites injections ; mais explique que ce devoir n'est "pas obligatoire" en présence d'un "grave danger" qui peut être évité par le "vaccin", et lorsqu'une intervention sanitaire alternative "éthiquement irréprochable Covid-19" n'est pas disponible ;

    Considérant qu'en l'absence d'au moins ces critères, il reste moralement illicite de recevoir lesdites injections ;

    Considérant que, bien que la Note déclare que l'actuelle "propagation pandémique du virus SARS-CoV-2 qui cause le Covid-19" constitue le "grave danger" nécessaire pour justifier l'utilisation de vaccins contaminés par l'avortement, un tel jugement est "contingent et conjectural", s'appuyant sur des données scientifiques qui se développent continuellement dans le temps (DVer, 24), tout en étant également en dehors de la compétence propre des évêques, puisque leur autorité est définie comme relevant des domaines de la foi et de la morale (LG 25) ;

    Considérant que des centaines de professionnels de la santé dûment compétents sont parvenus à la conclusion opposée, qualifiant l'utilisation de ces injections expérimentales de COVID-19 d'"inutile, inefficace et dangereuse" ; que plus de 59.000 scientifiques et praticiens de la médecine ont affirmé qu'en raison du danger relativement faible du COVID-19 pour la grande majorité de la population, "ceux qui courent un risque minimal" devraient être autorisés à "vivre leur vie normalement [et] à développer une immunité [collective] contre le virus" en dehors de tout vaccin ; et que plusieurs milliers d'autres ont qualifié d'"irresponsable" le fait d'exposer la population à un vaccin insuffisamment testé pour contrer un virus aussi bénin.

    Considérant que "pour la grande majorité des gens (~99,8% dans le monde), le SRAS-CoV-2 n'est pas mortel. Il s'agit généralement d'une maladie légère à modérément grave. Par conséquent, l'écrasante majorité des personnes ne sont pas exposées au COVID-19 et n'ont pas besoin d'être vaccinées".

    Considérant que l'âge moyen de décès du COVID-19 est supérieur à celui de la population générale, ce qui démontre sa nature bénigne, avec un taux de survie global de 99,74% ;

    Attendu que les taux de survie rapportés pour les personnes de moins de dix-huit ans est de 99,998%, pour celles de dix-huit à cinquante ans, de 99,95%, de cinquante à soixante-cinq ans, de 99,4%, et pour celles de plus de soixante-cinq ans, de 94%, ce qui signifie que des personnes de moins de 70 ans ont une meilleure chance de mourir de la grippe que du COVID-19, qui présente une menace globale comparable aux pandémies de grippe moyennes de 1936 et 1957 ;

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