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Encore une…

Encore une loi pour faire respecter la « parité ». Il y a dix ans la « droite » avait imposé la « parité » dans les conseils d’administration des grandes entreprises : il est plus important d’y avoir 40% de femmes que d’y avoir des hommes compétents. Et ce n’est pas « à compétence égale », puisque pendant ces dix ans il a fallu ne choisir que des femmes pour aboutir au quota.

Désormais l’obligation est étendue aux comités exécutifs et de direction : la loi pour une « égalité économique et professionnelle réelle » entre hommes et femmes, définitivement adoptée hier, instaure un quota de représentation de chaque sexe parmi les cadres dirigeants et les membres des instances dirigeantes des entreprises d'au moins 1.000 salariés : au moins 30% de femmes en 2027, et 40% en 2030.

Il ne vient à l’esprit de personne, semble-t-il, chez les habituels tordus subitement muets, de remarquer que cette loi sexiste qui ignore totalement les identités de genre (comme celle qui impose la parité aux élections, d’ailleurs) est foncièrement transphobe et anti-non-binaire…

Commentaires

  • Oui, mais 40 % de pédales, ça fait beaucoup.
    Les hommes "devenus" femme vont pouvoir postuler, c'est plus intéressant que d'avoir accès aux chiottes des femmes ou gagner la médaille d'or en haltérophilie féminine.

  • Solution au problème: les grandes entreprises se scindent en X entreprises indépendantes de 999 salariés au besoin en licenciant le surplus, en commençant par les délégués syndicaux. cela leur évitera d'avoir des Ursula à des postes stratégiques.

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