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Islam - Page 52

  • Padamalgam

    Des terroristes ont pénétré dans un restaurant du quartier diplomatique de Dacca, au Bangladesh, et ont pris les clients en otage. Après l’assaut de la police, on a trouvé 26 morts : 20 clients, tous occidentaux, et les 6 terroristes.

    L’attaque a été revendiquée par l’Etat islamique.

    Un des clients survivants a témoigné :

    Les assaillants ne se sont pas comportés brutalement avec les Bangladais, ils leur ont donné à manger. Ils testaient la religion de chacun en leur demandant de réciter un extrait du Coran. Ceux qui pouvaient citer un verset ou deux étaient épargnés. Les autres étaient torturés.

    Mais bien sûr ça-n’a-rien-à-voir-avec-l’islam…

    Selon le ministre de l’Intérieur, les terroristes étaient membres du Jamiat ul moujahidine du Bangladesh, mouvement islamiste (mais pas musulman, bien sûr) interdit depuis dix ans.

    Le ministre a souligné que ces hommes venaient de milieux aisés et avaient fait leurs études dans des établissements privés et à l’université.

    Voilà qui répond aussi aux larmoiements de ceux qui prétendent que c’est l’exclusion, la ghettoïsation, la pauvreté, le chômage, etc. qui font « basculer » dans le terrorisme.

    Mgr Gervas Rozario, évêque de Rajshahi et président de la commission Justice et Paix, a déclaré à AsiaNews :

    Le nom de Dieu ne peut pas et ne doit pas être mêlé à de tels actes. Maintenant les croyants musulmans doivent se dresser et intervenir pour sauver leur religion.

    Mais personne ne se lève…

  • Mystérieuse agression

    Le directeur du centre des Restos du Cœur de Montreuil a été agressé par un homme et une femme, celle-ci le frappant au ventre à coups de couteau, tandis que celui-là se jetait sur l’homme avec une hache. Puis le couple s’est enfui en criant « Allahou Akbar ».

    Donc la police appelle à la plus grande prudence sur les motivations de l’agression et souligne qu’aucune piste n’est privilégiée…

  • L’islam saoudien à Nice

    Le Conseil d'Etat a confirmé hier l'injonction faite en référé au maire de Nice d'autoriser l'ouverture d'une mosquée financée par l'Arabie saoudite (le propriétaire est carrément le ministre saoudien des Affaires islamiques).

    Selon le Conseil d’Etat, les lieux de prières existants à Nice ne permettent pas aux musulmans « d'exercer leur culte (?) dans des conditions normales de dignité et de sécurité », et « le refus du maire d'autoriser l'ouverture des locaux portait une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté de culte ».

    C’est ainsi que le Conseil d’Etat impose l’islam salafiste, se lavant les mains des conséquences.

    Christian Estrosi et le nouveau maire de Nice en titre ont répondu qu’ils ne se soumettront pas : « C'est désormais au préfet des Alpes-Maritimes de prendre ses responsabilités s'il veut se substituer au maire de Nice. »

    Addendum

    La préfecture a pris un arrêté autorisant l'ouverture de la mosquée, comme "établissement recevant du public", sans aucune indication de sa destination...

  • Ils tombent des nues

    Les autorités de l’enseignement en Flandre ont découvert qu’un très officiel professeur de religion islamique, qui faisait un remplacement à Willebroeck, fait l’éloge de « prêcheurs de haine » sur sa page Facebook. « La direction de l’école et l’inspection tombent des nues, nous dit le journal. Nous n’avions décelé aucun signe de radicalisme. »

    Ils ne veulent toujours pas savoir que le « radicalisme », c’est ce qui se trouve dans le Coran et les Hadiths. Et donc dans les prêches des innombrables prédicateurs salafistes. Ils n’ont pas fini de tomber des nues. Avant de tomber sous les coups.

    « Je vais ouvrir une enquête. Si vos allégations sont exactes, sa carrière d’enseignant est terminée. Ce que vous me racontez est inacceptable. Je ne l’enverrai plus jamais dans une école », déclare l’inspecteur anversois des cours de religion islamique. Qui s’appelle Ahmed Azzouz…

    Ce qui est semble-t-il « inacceptable », c’est d’appeler à tuer les juifs. Ahmed Azzouz ne paraît pas bien connaître la vie du beau modèle…

  • Kafir harbi

    Le grand mufti de l’Etat de Pahang en Malaisie, Abdul Rahman Osman, a déclaré que les que les musulmans qui soutenaient le parti d’action démocratique (DAP) commettaient un péché, et que plus généralement tous ceux qui contestent une loi visant à appliquer la charia sont « kafir harbi », à savoir des mécréants « de la guerre », autrement dit qu’il est licite de tuer. (Le « dar al Harb » est le pays de la guerre, de la guerre de l’islam pour soumettre les infidèles, par opposition au « dar al islam », le pays où règne la charia.)

    Cette déclaration ayant provoqué une certaine émotion, et même des plaintes pour incitation à la haine, Abdul Rahman Osman a déclaré ensuite qu’il n’avait pas du tout prôné le meurtre de ceux qu’il avait appelés « kafir harbi », et qu’il n’avait pas utilisé l’expression de façon littérale. Il a précisé : « En tant que musulmans nous avons la responsabilité de déclarer le jihad contre les kafir harbi. Mais dans ce contexte, le jihad ne signifie pas nécessairement prendre les armes et aller à la guerre. Dans ce cas, le jihad signifie seulement que nous déclarons la guerre à leur idéologie par le débat. »

    Soulignant qu’il ne s’excuserait pas d’avoir utilisé cette expression (qui veut bel et bien dire que quiconque est en droit de tuer la personne ainsi désignée), il a ajouté que les non-musulmans n’ont pas à s’inquiéter des amendements visant à renforcer les tribunaux de la charia, puisque ces tribunaux ne concernent que les musulmans. « Cela ne les concerne pas et ils feraient mieux de ne pas interférer dans nos affaires religieuses… » Ce qui ressemble quand même à une nouvelle menace… Et l’on sait que non loin de là, dans la province indonésienne d’Aceh, la charia est aujourd’hui appliquée aux non-musulmans…

  • Sissi insiste

    A l’occasion de la « nuit du destin », le président égyptien Abdel Fattah al Sissi a demandé de nouveau à l’université d’al-Azhar, dans un discours télévisé, de « repenser le discours religieux » afin que l’islam ne puisse pas être une source d’inspiration pour le terrorisme.

    Répétant que l’extrémisme islamiste fait courir un danger majeur au monde musulman, il a souligné l’urgence de « corriger » le discours sur l’islam, rappelant qu’au début de l’ère musulmane les savants s’étaient élevés contre des paroles faussement attribuées au Prophète. « Je dis aux religieux d’Al-Azhar de poursuivre leurs efforts dignes d’éloges pour corriger les discours religieux et clarifier la véritable essence de l’islam qui prône la tolérance et la compassion. »

  • Au Japon

    La Cour suprême du Japon a définitivement rejeté la plainte de musulmans, qui reprochaient aux autorités de leur pays d'avoir violé leur vie privée en mettant en place une surveillance ciblée.

    Suite à des révélations concernant l’étendue des mesures de surveillance des musulmans mises en œuvre par les autorités, 17 musulmans japonais avaient porté plainte contre le gouvernement pour violation du respect de la vie privée et de la liberté religieuse, réclamant 90 millions de yens (800.000 €) de compensation.

    D'après l'avocat des plaignants, les magistrats ont estimé que le gouvernement n'avait en aucune manière enfreint la Constitution. La Cour suprême a également validé l'arrêt d'une cour de justice qui avait décrit les mesures de surveillance prises par les autorités comme «nécessaires et inévitables» afin de protéger le pays contre la menace du terrorisme international.

    Il n’y aurait que 10.000 musulmans dans l’archipel.

  • Pakistan : condamnés à mort pour “blasphème”

    Un chrétien et un musulman faisaient chanter le directeur catholique d’un complexe d’établissements scolaires (2.000 élèves) à Gujranwala, dans le nord du Pendjab. Ils lui réclamaient toujours plus d’argent pour ne pas divulguer un enregistrement audio où selon eux il tenait des propos « blasphématoires ». Le directeur a fini par porter plainte. Résultat : la police a arrêté les maîtres chanteurs, a mis la main sur l’argent extorqué et sur le fichier audio, et tous les trois se sont retrouvés devant le tribunal militaire antiterroriste (sic) qui vient de les condamner à mort : le directeur d’écoles pour blasphème, les deux autres pour détention de blasphème (ceux-ci sont aussi condamnés à 35 ans de prison et une forte amende pour extorsion de fonds).

    Alors que les propos supposés « blasphématoires » avaient été tenus en public, le tribunal a refusé d’entendre les témoins pour corroborer l’accusation. L’avocat du directeur d’écoles a souligné en vain les failles de l’enquête, et il ajoute que personne n’a écouté l’enregistrement audio pour vérifier qu’il s’agissait bien d’une affaire de blasphème, puisque l’Islam interdit l’écoute de propos blasphématoires…

  • Un prêtre copte tué

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    Un prêtre copte a été tué par balle, hier, à al-Arich, capitale du gouvernorat égyptien du Sinaï-Nord (la seule ville entre Port-Saïd et Gaza). Le P. Raphaël Moussa, 46 ans, était le curé de la paroisse Saint-Georges d’al-Arich,

    L’Etat islamique a revendiqué le meurtre, ainsi que celui d’un policier, indiquant qu’il continuerait de s’en prendre aux « ennemis de l’islam ».

    L’armée égyptienne vient de reconstruire cette église, qui avait été incendiée au cours des attaques des Frères musulmans en août 2013.

    La seule photo disponible de ce qu'on peut voir de l'église donne une idée de l’ambiance…

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  • A Qaa

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    Quatre terroristes ont attaqué avant l’aube le village libanais de Qaa, tout près de la frontière syrienne, sur la route reliant la Bekaa à la ville syrienne de Qousseir.

    "Le premier assaillant a frappé à la porte de l'une des maisons, mais face à la méfiance des habitants, il a déclenché sa ceinture explosive. Alertés, les habitants se sont rassemblés sur les lieux, à une centaine de mètres de l'église Saint-Elie, et alors qu’ils commençaient à soigner les blessés deux autres kamikazes se sont fait exploser. Le quatrième a été poursuivi et tué avant de pouvoir se faire sauter.

    Au moins cinq habitants ont été tués, et 15 blessés.

    Qaa est un village majoritairement grec-catholique, avec un quartier sunnite.

    Ci-dessous le monument à Notre Dame :

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    Addendum. Dans la soirée, trois autres terroristes se sont fait exploser, un devant l'église, les deux autres devant la mairie. Tous trois sont morts, et parmi les habitants il n'y a eu que quelques blessés légers...